Kingdom Come : Deliverance 2 – L’Héritage de la Forge : Configuration PC complète et spécifications techniques

Warhorse Studios et Deep Silver prolongent l’épopée historique de Kingdom Come : Deliverance 2 avec « L’Héritage de la Forge », un contenu focalisé sur l’artisanat, la maison et la renommée au cœur de Kuttenberg. Prévu sur PC via Steam, ce DLC conjugue personnalisation avancée et gameplay systémique, tout en sollicitant des configurations modernes capables d’exploiter DirectX 12 et Windows 11. Au-delà de l’histoire familiale d’Henry, l’expérience propose un cycle économique, des quêtes journalières et un atelier à reconstruire, exigeant une machine équilibrée CPU/GPU et un SSD rapide. Ce guide technique rassemble les paramètres clés pour viser 60 à 120 i/s en 1080p, 1440p ou 4K, explique les réglages à privilégier, et décortique l’impact de la VRAM, de la RAM et des pilotes récents Nvidia GeForce et AMD Radeon. Les joueurs disposant de l’Expansion Pass ou de l’édition Gold recevront automatiquement le DLC à sa sortie, annoncée pour le 9 septembre 2025, avec un système de housing proposant jusqu’à 136 millions de combinaisons.

Kingdom Come Deliverance 2 : Configurations PC minimale et recommandée

« L’Héritage de la Forge » s’intègre à Kingdom Come : Deliverance 2 avec des scènes urbaines denses, des ateliers animés et des intérieurs détaillés. Cela se traduit par une charge conjointe sur le CPU et le GPU, particulièrement en 1440p et 4K. L’objectif est d’atteindre une fluidité stable dans Kuttenberg et ses quartiers, où le nombre de PNJ et les scripts de quêtes journalières sollicitent fortement le processeur.

Sur un Intel Core i5-12400 ou un Ryzen 5 5600X, combiné à une Nvidia GeForce RTX 3060 ou une AMD Radeon RX 6700 XT, la majorité des paramètres élevés tiennent 60 i/s en 1080p. L’activation d’un upscaler (DLSS, FSR ou XeSS) permet d’ajouter des marges pour les combats dans les ruelles étroites, les marchés ou l’atelier en feu lors de certaines quêtes. La VRAM de 8 à 12 Go devient alors un plancher confortable pour textures HD et caches géométriques.

La configuration minimale, avec une GTX 1660 Super, impose des compromis nets sur les ombres, l’occlusion ambiante et la distance d’affichage. L’expérience reste viable pour une approche narrative et artisanale, surtout si l’écran cible 30 i/s. En revanche, dès que les foules s’épaississent ou que la physique du foyer est pleinement simulée (soufflets, enclume, systèmes de braises), les limites du GPU et du CPU se manifestent.

À l’autre extrémité, une RTX 4070 ou une RX 7800 XT sécurise un 1440p qualitatif avec textures 4K sur les assets de forge, reflets spatiaux supérieurs et ombres haute précision dans les intérieurs. Le processeur devient alors l’élément à surveiller lors des événements scriptés de la guilde des forgerons, surtout si plusieurs tâches annexes restent actives.

Pour prolonger la lecture, plusieurs fiches de référence éclairent la hiérarchie CPU/GPU selon les genres exigeants. Le comparatif des configurations Gears of War rappelle l’impact des effets volumétriques, tandis que la configuration The Last of Us Part II illustre l’importance de la VRAM en textures denses. Les profils pour Lost Soul Aside et Sword of the Sea attestent que la stabilité CPU demeure primordiale dans les mondes ouverts détaillés.

• Objectif 1080p/60 : privilégier ombres moyennes, occlusion ambiante standard, upscaler Qualité.
• Objectif 1440p/60 : textures élevées, ombres élevées, reflets écran moyens, upscaler Équilibré.
• Objectif 4K/60 : textures Ultra, reflets élevés, ombres élevées, upscaler Performance si nécessaire.

Conclusion de cette section : un bon équilibre CPU/GPU associant 16 à 32 Go de RAM et un SSD NVMe garantit l’aisance dans la forge de Kuttenberg, même lors des pics d’animation et d’éclairage.

DirectX 12 et Windows 11 : réglages graphiques et performances dans Kuttenberg

Le moteur de Kingdom Come : Deliverance 2 profite de DirectX 12 sous Windows 11 pour mieux distribuer les charges sur les threads et optimiser l’accès à la VRAM. Les gains se voient surtout dans les zones urbaines, où la simulation sociale et les particules de la forge se superposent. L’objectif est d’ancrer un frame time régulier, plus important que le simple compteur d’images par seconde.

Le trio d’upscalers DLSS/FSR/XeSS devient un outil stratégique. Sur GPU GeForce, le DLSS Qualité offre la meilleure netteté en 1080p/1440p, tandis que le DLSS Performance peut soutenir la 4K en évitant les chutes pendant les cinématiques et les combats au marteau. Côté Radeon, FSR 2/3 en mode Qualité reste cohérent avec les matériaux métalliques et la granularité de la suie. Sur iGPU Arc ou solutions hybrides, XeSS équilibre netteté et stabilité.

Les ombres à contact doux et le brouillard volumétrique dans les rues de Kuttenberg sont gourmands. Les réduire d’un cran libère une marge confortable sans casser l’ambiance médiévale. Les reflets en espace écran ont un coût variable selon l’angle de la scène ; leur niveau « moyen » reste souvent indiscernable en mouvement tout en économisant de la VRAM.

Pour illustrer des approches similaires, les profils de titres exigeants aident à calibrer ses attentes. Les fiches configuration ferme PC et Mortholme montrent que le streaming de textures et l’IO du SSD amortissent les déplacements rapides entre intérieurs et extérieurs. À l’inverse, des jeux à arènes fermées comme Demon Slayer: Hinokami auront d’autres priorités, moins transposables aux quartiers labyrinthiques de Kuttenberg.

• Ombres : Élevées en 1080p/1440p, Moyennes en 4K si le GPU plafonne.
• Occlusion ambiante : SSAO Élevé ou HBAO+ si disponible, coûteux mais immersif dans les ateliers.
• Reflets : Écran Moyen pour éviter le miroitement excessif dans les bassins et cuves.
• Post-traitements : Bloom modéré, grain optionnel selon préférence, netteté via upscaler.

Résultat attendu : une image lisible, des métaux crédibles et des intérieurs stables en frame time, base d’un gameplay précis à la forge.

Après ces principes, un profil par résolution permet de viser plus juste, avec un tableau de correspondance entre presets et objectifs FPS dans la section suivante.

CPU Intel Core et AMD Ryzen : l’ossature pour la guilde des forgerons

Les scènes de marché, les pathfinding multiples et les routines de la guilde pèsent sur le CPU. Un Intel Core i5-12600K ou un Ryzen 7 5800X3D stabilise mieux les charges simultanées qu’un i5 d’ancienne génération, surtout quand l’atelier affiche braises, étincelles, PNJ et scripts de quêtes journalières. Les architectures hybrides (P-cores/E-cores) profitent à l’IA et au streaming d’assets, à condition d’avoir un scheduler bien configuré.

Le cache L3 large des puces X3D améliore la constance des FPS dans les carrefours animés. Dans « L’Héritage de la Forge », la cohérence du frame time conditionne la précision des mini-jeux d’artisanat et des QTE. Un CPU moderne réduit les micro-saccades à la transition entre maison, forge, et rues adjacentes.

La fréquence n’est pas tout : la capacité à maintenir des charges soutenues sans throttling compte. Les tours bien ventilées et un PL1 correctement dimensionné évitent la baisse d’horloge en plein rush de commandes. Les profils d’alimentation Windows « Performances élevées » ou « Équilibré » ajusté empêchent l’endormissement des E-cores au mauvais moment.

Le multijoueur n’étant pas au cœur du DLC, la priorité reste une latence locale faible. Néanmoins, les overlays et les applicatifs tiers (capture, monitoring) s’ajoutent au coût CPU. Un équilibre s’impose, en évitant les encodages lourds pendant les scènes critiques, ou en les offloadant sur NVENC/AMF si vous streamez.

Pour aller plus loin, consulter des profils de jeux PC complexes comme Europa Universalis IV rappelle que l’IA et la simulation peuvent saturer certains cœurs si le scheduler est mal réglé. Ce parallèle éclaire pourquoi un CPU moderne et un OS à jour sont essentiels dans Kuttenberg.

• Mettre à jour BIOS et chipset pour une gestion correcte des E-cores.
• Désactiver les éco-modes agressifs pendant les sessions de jeu.
• Surveiller les températures CPU pour éviter le throttling.

Point-clé : un processeur équilibré et un système bien réglé garantissent des interactions fluides avec la guilde et la narration du DLC.

GPU Nvidia GeForce et AMD Radeon : VRAM, pilotes et fidélité visuelle

Les cartes Nvidia GeForce et AMD Radeon dictent l’allure des métaux, du cuir et de la pierre qui composent la forge et l’habitat d’Henry. En 1080p, 8 Go de VRAM permettent de charger des textures élevées sans swapping agressif ; en 1440p, 12 Go assurent une marge pour les reflets écran et les caches de géométrie détaillée. En 4K, 16 Go deviennent une cible raisonnable si l’on souhaite maintenir des textures Ultra et des ombres hautes dans les intérieurs confinés.

Les drivers récents ont un impact direct sur la stabilité et le frame pacing. Les profils Game Ready/Adrenalin optimisent souvent l’utilisation de la VRAM et le chargement des shaders. Un précompilateur de shaders lors du premier lancement peut éviter les saccades pendant les quêtes critiques ou les cinématiques révélant l’héritage du père d’Henry.

Le ray tracing, s’il est proposé, gagnera à rester modéré dans les ruelles et ateliers, la priorité visuelle se situant sur les matériaux et les feux. Les reflets RT lourds en 4K peuvent plomber des cartes milieu de gamme ; leur désactivation partielle libère des ressources pour les textures et l’animation des PNJ.

Dans un atelier reconstruit, le feu de forge, les étincelles et la fumée s’additionnent. Le budget partiel des particules doit être contrôlé via les options d’effets. Une réduction de 10 à 20 % du nombre de particules au niveau Élevé ne nuit pas à l’ambiance mais stabilise l’image en plein rush de commandes.

Pour comparer les attentes, des fiches comme Shinobi Art: Vengeance ou jeux spatiaux exigeants illustrent la sensibilité aux reflets et volumétriques. Ces lectures aident à comprendre pourquoi la VRAM devient la vraie monnaie de la 4K dans la forge de Kuttenberg.

• GeForce RTX 3060/4060 : viser 1080p Élevé, DLSS Qualité.
• Radeon RX 6700 XT/7600 XT : 1080p/1440p mix Élevé, FSR Équilibré.
• RTX 4070 / RX 7800 XT : 1440p Élevé/Ultra, textures 4K possibles.
• RTX 4080 / RX 7900 XTX : 4K Ultra, upscaler Performance si nécessaire.

En synthèse, choisir la fidélité des matériaux et des textures avant le luxe des reflets lourds maximise l’impact visuel dans la forge.

RAM, stockage et I/O : SSD NVMe et streaming de textures à la forge

Un SSD rapide garantit la continuité entre les quartiers privés, l’atelier et les rues de Kuttenberg. Les temps de chargement courts favorisent l’immersion, mais surtout réduisent les micro-saccades lors du streaming de textures et d’assets lourds. Un SSD NVMe Gen3 est suffisant ; un Gen4 stabilise mieux la 4K avec textures Ultra.

La RAM de 16 Go constitue un point d’entrée. Pour le 1440p et au-delà, 32 Go apportent un confort notable, surtout si l’on capture ou streame le jeu. Le dual-channel à haute fréquence (3200–3600 MHz pour DDR4, 5600–6000 MT/s pour DDR5) diminue les « stalls » pendant la navigation entre atelier et ville.

Le DLC ajoute du contenu audiovisuel et des matériaux hautes définitions pour la personnalisation. Prévoyez 90–120 Go d’espace libre, davantage si vous installez des doublages multilingues ou conservez plusieurs sauvegardes lourdes. Les outils de nettoyage et de défragmentation des bibliothèques Steam aident à maintenir le débit, surtout quand l’OS tourne depuis le même disque.

Sur des machines modestes, un SSD SATA reste acceptable, mais il accentue l’importance de paramètres graphiques limitant la pression sur le streaming (textures un cran plus bas, pré-chargement réduit). Les copies locales de shaders et caches doivent idéalement résider sur le SSD principal pour réduire le coût des compilations à la volée.

Pour approfondir les relations entre stockage et chargements, des analyses issues de jeux à vastes zones d’exploration, comme les configurations minimales pour jeux spatiaux, montrent que la bande passante de l’IO influence la stabilité du frame time. Le même principe s’applique aux allées et venues d’Henry entre sa maison et la guilde.

• SSD NVMe recommandé : réactivité, streaming fluide, shaders précompilés stockés localement.
• RAM 32 Go conseillée pour 1440p/4K, multitâche et capture.
• Gestion des bibliothèques Steam : consolider le jeu et ses DLC sur un même SSD.

Conclusion pratique : l’IO rapide façonne la sensation de continuité dans la ville, clé du plaisir de construction et de personnalisation.

Profils 1080p, 1440p et 4K : presets, upscalers et cibles FPS

Viser un framerate stable évite les ratés pendant les commandes délicates de la guilde. Trois profils servent de boussole. Chacun combine presets, upscaler et marges de sécurité pour amortir les scènes chargées en PNJ et en particules, notamment lorsque l’atelier bat son plein.

1080p – Élevé avec réserve

Avec une RTX 3060 ou RX 6700 XT, garder en Élevé la majorité des paramètres et réduire légèrement les ombres procure 60 i/s robustes. DLSS/FSR en mode Qualité complète le tableau. Les textures restent en Élevé, et les reflets écran sur Moyen. Cette combinaison est idéale pour explorer la maison, interagir avec les clients et forger sans à-coups.

1440p – Élevé/Ultra équilibré

Sur une RTX 4070 ou RX 7800 XT, pousser les textures en Ultra est réaliste à condition d’employer DLSS/FSR en mode Équilibré. Les ombres Élevées et l’occlusion ambiante robuste maintiennent la profondeur des scènes intérieures. Les combats et les cinématiques conservent un frame time régulier, même autour des braises et des étincelles.

4K – Ultra avec discernement

Une RTX 4080 ou RX 7900 XTX autorise textures 4K et ombres élevées, tout en plaçant l’upscaler en Performance pour verrouiller 60 i/s. Les reflets lourds peuvent être limités ; les bénéfices de netteté seront plus marqués en travaillant la chaîne de sharpening post-upscaler. Dans la forge, la lisibilité du métal chauffé et des outils prime sur le miroir parfait des surfaces.

Deux cas concrets illustrent ces profils. Lucie, équipée d’un i5-12600K et d’une RTX 4070, fixe 1440p, upscaler Équilibré et textures Ultra : la forge reste impeccable, et les marchés restent fluides à 75–90 i/s. Amir, avec un Ryzen 7 7700X et une RX 7900 XTX sur un écran 4K, utilise FSR Performance et verrouille 60 i/s constants en conservant l’authenticité des matériaux. Les deux tirent parti de la VRR de leur écran pour polir la sensation de fluidité.

• Contrôler la VRAM via l’overlay pour éviter le swapping à 90–95 % d’usage.
• Activer la synchronisation adaptative (G-Sync/FreeSync) pour lisser les variations.
• Adapter les reflets selon la scène, priorité aux textures et à la lisibilité.

Le cap à retenir : un preset clair par résolution, un upscaler bien choisi et une marge de 10 % de performance disponible pour les pics de charge.

Pour ceux qui souhaitent comparer avec d’autres titres récents à exigence variable, un détour par cette analyse de Mortholme offre un bon référentiel sur la sensibilité des réglages d’ombre et de reflets.

Plateformes, Steam et écosystème PC : contrôleurs, overlays, mods

Le DLC est distribué sur Steam dans le cadre de l’édition standard, de l’édition Gold et de l’Expansion Pass. Les détenteurs du pass reçoivent automatiquement L’Héritage de la Forge à sa sortie. Cette structure simplifie la gestion des mises à jour et assure l’alignement des correctifs de performance entre le jeu de base et les contenus additionnels.

L’écosystème PC modernise l’expérience. Les manettes modernes (Xbox Series, DualSense en mode Steam Input) s’intègrent proprement pour les mini-jeux de forge. Les overlays de monitoring comme ceux des pilotes GeForce/Adrenalin aident à contrôler la VRAM, la latence et la température, sans excès d’occupation CPU.

Les mods axés sur l’interface ou la lisibilité des matériaux devraient accompagner le DLC, mais il est prudent d’éviter les packs de textures non optimisés au lancement. Priorité aux outils de qualité de vie, puis aux shaders lorsque les pilotes auront reçu leurs itérations post-lancement. Warhorse Studios publie régulièrement des notes de patch détaillant les optimisations ciblées, utiles pour savoir quand réactiver certaines options lourdes.

Sur Steam, la vérification des fichiers résout de nombreux soucis après grosses mises à jour. Les sauvegardes cloud facilitent l’alternance entre PC portable et tour, à condition de synchroniser après chaque session pour éviter les versions conflit. Les captures NVENC/AMF avec bitrate raisonnable minimisent les interférences CPU/GPU.

Pour explorer d’autres profils techniques et s’inspirer d’approches de réglages, la lecture de ce guide Shinobi Art: Vengeance ou de cette synthèse pour jeux spatiaux complète l’outillage mental nécessaire pour stabiliser un RPG dense comme Kingdom Come : Deliverance 2.

• Steam Input : profils par jeu, anti-deadzone fin pour mini-jeux d’artisanat.
• Overlay léger : monitoring VRAM/FPS/frametime sans scripts lourds.
• Mods : privilégier compatibilité et impact mesuré sur VRAM/IO.

Fil d’Ariane de l’écosystème : un socle Steam solide, des pilotes à jour, et une gestion mesurée des overlays pour préserver le frame pacing.

Un œil sur les annonces sociales aide à caler ses mises à jour de pilotes et de mods juste après les patchs d’optimisation.

Personnalisation et gameplay de la forge : impact sur la performance

Le cœur de « L’Héritage de la Forge » réside dans la personnalisation de l’atelier, des quartiers privés et des alentours avec jusqu’à 136 millions de combinaisons. Chaque ajout décoratif, chaque extension fonctionnelle et chaque amélioration structurelle possède un coût technique : plus d’objets à l’écran, de lumières dynamiques, d’ombres supplémentaires et d’appels GPU.

Au début, des choix pragmatiques s’imposent. Un atelier efficace privilégie l’ergonomie et la fonctionnalité : moins de sources lumineuses dynamiques, des matériaux cohérents, une disposition claire pour réduire la surcharge de particules. En avançant, l’investissement financier permet d’optimiser autant l’esthétique que les performances grâce à des éléments plus légers visuellement mais riches en identité.

Les quêtes journalières de la guilde des forgerons renforcent cette logique. Les commandes d’armes et d’armures génèrent des phases de particules, d’étincelles et d’effets thermiques. Les options d’effets et d’ombres calibrées à « Élevé » offrent un rendu satisfaisant sans pénalités irrationnelles. Les scènes à la nuit tombée cumulent flambeaux, lanternes et braises : un moment idéal pour vérifier l’empreinte des éclairages dynamiques dans vos paramètres.

La densité des PNJ augmente en fonction de la réputation au sein de la guilde. Mieux vaut prévoir une marge de 10–15 % de performance par rapport à votre cible pour démarrer le DLC. En fin de progression, cette marge absorbe sans heurt les pics lors des événements scénarisés, des célébrations ou des évaluations de maîtrise.

Pour qui souhaite une référence croisée sur la relation gameplay/densité visuelle, les guides Gears of War et The Last of Us Part II montrent pourquoi la granularité des matériaux et l’éclairage intérieur demandent des compromis réfléchis. Ce cadre s’applique à la maison d’Henry et à sa vitrine d’artisan.

• Phase initiale : limiter les lumières dynamiques ; effets en Moyen/Élevé.
• Milieu de progression : textures Élevées, ombres Élevées, reflets sur Moyen.
• Fin de progression : textures Ultra, upscaler Équilibré, VRR actif.

Idée-force : la beauté technique de la forge naît d’un équilibre mesuré, pas d’un maximalisme systématique.

Check-list d’optimisation : pilotes, BIOS, net et bonnes pratiques

Un parcours fluide tient souvent à des détails simples. Avant d’entrer dans la guilde, vérifier l’état logiciel et matériel du PC garantit la stabilité de Kingdom Come : Deliverance 2 et de son DLC. Des routines de maintenance légères évitent bien des frustrations au moment de livrer une épée ou de négocier une commande.

Mises à jour de pilotes d’abord. Les derniers drivers Nvidia GeForce et AMD Radeon débloquent souvent des correctifs cruciaux et des profils d’optimisation. Redémarrer après installation et purger l’ancien cache de shaders nettoie les reliquats de versions précédentes. Côté CPU, un BIOS récent améliore la gestion des cœurs et la compatibilité mémoire.

Sur Steam, effectuer une vérification des fichiers après une mise à jour majeure sécurise l’intégrité du binaire. Les overlays lourds, les applications de monitoring superposées et les hooks d’enregistrement temporellement agressifs nuisent au frame pacing. Rationaliser l’environnement d’exécution est un gain gratuit.

Le réseau n’est pas central pour ce DLC, mais la synchronisation cloud et les téléchargements d’assets pèsent pendant les mises à jour. Un cache de téléchargement propre et une planification hors des heures de pointe accélèrent l’opération. Les antivirus configurés en mode jeu évitent les scans intrusifs pendant les cinématiques clés.

Enfin, l’étalonnage de l’écran rehausse le rendu des métaux chauffés, du cuir et de la suie. Un gamma cohérent et une balance des blancs stable font ressortir la matière sans cramer les hautes lumières, surtout dans l’atelier. La cohérence artistique passe aussi par la justesse de l’affichage.

• Pilotes GPU à jour, cache shaders régénéré.
• BIOS/Chipset mis à jour, profils d’alimentation adaptés.
• Vérification des fichiers Steam après patch majeur.
• Overlay minimal, encoder matériel pour capture.
• Écran calibré, VRR activé si disponible.

Dernier conseil opérationnel : standardiser votre routine pré-lancement pour une forge sans accroc, du premier feu jusqu’au titre de Maître de la Guilde. Dans la chaleur de Kuttenberg, une machine bien réglée vaut toutes les étincelles.

Questions fréquentes sur « L’Héritage de la Forge » et la configuration PC

Quelle configuration pour jouer confortablement en 1080p/60 avec le DLC ?
Un i5-12400 ou Ryzen 5 5600X, associé à une RTX 3060 ou RX 6700 XT, 16 Go de RAM et un SSD NVMe. Sous Windows 11 et DirectX 12, activez DLSS/FSR en Qualité, gardez les ombres en Élevé et les reflets écran sur Moyen.

Combien d’espace disque faut-il prévoir pour Kingdom Come : Deliverance 2 et ce DLC ?
Comptez 90 à 120 Go libres sur un SSD, davantage si vous installez plusieurs packs de langues. Un NVMe Gen3/Gen4 réduit les chargements et stabilise le streaming de textures dans Kuttenberg.

DLSS, FSR ou XeSS : que choisir ?
Sur GeForce, DLSS Qualité ou Équilibré fournit la meilleure netteté. Sur Radeon, FSR 2/3 en Qualité convient aux scènes intérieures. Sur iGPU Arc, XeSS équilibre lisibilité et performance. Ajustez selon votre cible (1080p/1440p/4K).

La VRAM est-elle déterminante pour la 4K ?
Oui. Pour textures Ultra et reflets crédibles à 2160p, 16 Go de VRAM offrent une marge confortable. En 1440p, 12 Go suffisent largement pour la plupart des scènes de la forge.

Le DLC est-il inclus avec l’édition Gold ou l’Expansion Pass ?
Oui, « L’Héritage de la Forge » est inclus pour les détenteurs de l’édition Gold ou de l’Expansion Pass sur Steam. La disponibilité est annoncée pour le 9 septembre 2025.