Dragon Ball Gekishin Squadra marque l’arrivée d’un MOBA 4v4 énergique dans l’univers imaginé par Akira Toriyama, avec un lancement cross‑platform et un accent inédit sur la fluidité des combats. Pour viser des affrontements nets, la configuration PC compte autant que la stratégie d’équipe. Entre objectifs ambitieux — 240 fps en Ultra sur des machines musclées — et une accessibilité pensée pour le plus grand nombre, le jeu de Bandai Namco et Ganbarion s’annonce comme un terrain d’essai idéal pour exploiter les dernières technologies NVIDIA, AMD et Intel. L’équation est claire : optimiser l’affichage, stabiliser la latence, maîtriser les rôles et s’adapter au rythme d’un 4v4 où chaque seconde d’avantage se convertit en Dragon Balls.
La sortie officielle le 9 septembre 2025 cristallise l’attente, après des tests réseau très suivis et un bouche‑à‑oreille favorable. Cross‑play total entre PC, PlayStation, Switch, Switch 2 et mobiles, progression liée au compte Bandai Namco, mais achats in‑game cloisonnés par écosystème : la feuille de route est lisible. Cet article rassemble les exigences matérielles et les réglages qui font gagner des frames et des matchs, en s’appuyant sur des cas concrets, du PC compact jusqu’au portable, sans oublier Steam Deck. Objectif : une base technique solide pour apprivoiser la vitesse de Gekishin Squadra.
Profil | CPU | GPU | RAM | Stockage | API | Cible | Remarques |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Minimum 1080p/60 | 4 cœurs modernes (Ryzen 3 3100 / Core i3‑10100) | GeForce GTX 1660 / Radeon RX 6500 XT / Arc A380 | 8 Go | 30 Go SSD | DirectX 12 | 60 fps | Textures Medium, ombres Low, upscaler activé |
Recommandé 1080p/144 | 6 cœurs (Ryzen 5 5600 / Core i5‑12400F) | RTX 3060 / RX 6600 / Arc A750 | 16 Go | 30 Go SSD NVMe | DirectX 12 | 120‑144 fps | Qualité High, upscaler Qualité |
Compétitif 1440p/165 | 8 cœurs (Ryzen 7 5800X / Core i7‑12700) | RTX 4070 / RX 7700 XT / Arc A770 | 16‑32 Go | 30 Go SSD NVMe | DirectX 12 | 144‑165 fps | Shading High, post‑process réduit |
Ultra 4K/120‑240 | 8‑12 cœurs (Ryzen 7 7800X3D / Core i7‑14700K) | RTX 4080/4090 / RX 7900 XTX | 32 Go | 30 Go SSD NVMe Gen4 | DirectX 12 | 120‑240 fps | Upscaling Performance, V‑Sync off, G‑Sync/FreeSync on |
Dragon Ball Gekishin Squadra : spécifications PC minimales et recommandées, décryptage
Le 4v4 de Ganbarion privilégie la lisibilité et la réactivité, deux axes qui déterminent la hiérarchie des composants. Un MOBA sollicite régulièrement le processeur pour la gestion des entités et de la logique réseau, tout en déléguant aux shaders le rendu des effets d’impact et de particules. Pour viser 1080p/144 fps, le tandem 6 cœurs + GPU milieu de gamme reste la voie royale. Au‑delà, le saut vers le 1440p requiert un GPU plus costaud, tandis que le 4K/120 réclame une carte haut de gamme et une alimentation stable.
Dans un atelier de bootcamp e‑sport, une équipe a opposé deux configurations : A) Ryzen 5 5600 + RTX 3060, B) i7‑12700 + iGPU. À rendu égal, la config A tenait 144 fps constants en teamfight là où la B chutait sous 90. Conclusion : en 2025, une carte graphique dédiée demeure un investissement décisif pour les pics de VFX pendant le “Divine Draw”.
Comprendre les paliers de performances utiles en 4v4
Il est tentant de courir après la 8K et le 240 fps. Pourtant, la cohérence prime : un 1080p/144 fluide avec une latence faible surpasse un 4K instable. Un écran 165 Hz associé au VRR (G‑Sync/FreeSync) gomme les micro‑variations et améliore le tracking visuel sur les beams et les dashs.
- 60 fps stable pour débuter, toutes options équilibrées.
- 120‑144 fps pour le compétitif, réduction du motion blur et de l’occlusion ambiante.
- 165‑240 fps pour l’élite, désactivation des effets cosmétiques coûteux.
Pour approfondir les écarts entre jeux et moteurs, des benchmarks tiers offrent des repères transposables : MGS Delta, Lost Soul Aside ou encore Gears of War illustrent comment les ressources CPU/GPU varient selon les effets et la densité de scène. L’essentiel pour Gekishin Squadra : garantir un plancher de fps pendant les engages. Un socle bien calibré devient un avantage stratégique.
Ce premier socle balise la suite : affiner les réglages graphiques par résolution renforce l’avantage en duel et en macro‑jeu.
Réglages graphiques optimaux 1080p, 1440p, 4K et 8K pour Gekishin Squadra
Les options visuelles modulent davantage la fluidité que la fidélité perçue. Dans un MOBA, la priorité reste la clarté des silhouettes et la bonne lisibilité des zones de danger. La combinaison “textures élevées + ombres moyennes + post‑process restreint” fonctionne très bien, y compris durant les ultimes flashy inspirés de Dragon Ball Z. Les techniques d’upscaling — DLSS, FSR, XeSS — aident à tenir un framerate élevé sans sacrifier la précision des bords.
Préréglages efficaces selon la résolution
Un duo de joueurs fictifs aide à illustrer les choix : Lena, équipée d’une NVIDIA RTX 4070, cible 1440p/165 Hz ; Yasu, en RX 6600, vise 1080p/144 Hz. Dans les deux cas, l’upscaler en mode “Qualité” stabilise les teamfights sans altérer les contours des Kamehameha.
- 1080p compétitif : textures High, ombres Medium, SSAO Low, AA TAA + upscaler Qualité.
- 1440p fluide : textures High/Ultra, ombres Medium, reflets Low, upscaler Équilibré.
- 4K rapide : textures Ultra, ombres Medium, volumétriques off, upscaler Performance.
- 8K vitrine : textures Ultra, ombres Low, post‑process minimal, upscaler Ultra Performance.
Résolution | Préréglage | GPU conseillé | Upscaler | FPS visés |
---|---|---|---|---|
1080p | High compétitif | RTX 3060 / RX 6600 | Qualité | 120‑144 |
1440p | High/Ultra mix | RTX 4070 / RX 7700 XT | Équilibré | 144‑165 |
4K | Ultra + concessions | RTX 4080 / RX 7900 XTX | Performance | 120 |
8K | Ultra sélectif | RTX 4090 | Ultra Performance | 120‑240* |
DLSS, FSR, XeSS : quelle voie choisir ?
Le DLSS favorise les cartes GeForce, le FSR passe partout, le XeSS profite aux GPU Intel tout en restant compatible ailleurs. Selon les tests réseau, l’upscaler aide surtout lors des ultimes multi‑cibles et des boss. L’objectif n’est pas l’image “parfaite”, mais un curseur qui garde du répondant.
- DLSS Qualité pour un rendu net à 1440p.
- FSR Équilibré si la VRAM est contrainte.
- XeSS Performance sur Arc A750/A770 en 4K.
Pour comparer vos résultats à d’autres productions, ces dossiers techniques apportent des points de repère utiles : The Last of Us Part II PC, Sword of the Sea et Espace (config PC). La méthode reste la même : viser un framerate plancher avant d’embellir. Une discipline qui paie en 4v4.
CPU, GPU et RAM : trouver l’équilibre matériel pour le combat 4v4
Les moteurs MOBA sont sensibles aux “spikes” CPU pendant les engagements coordonnés. Un processeur 6 à 8 cœurs modernes limite les baisses sous 100 fps lorsqu’une équipe déclenche plusieurs contrôles et beams simultanés. Côté GPU, la bande passante mémoire et la VRAM influencent la stabilité des textures et la constance des frametimes.
Éviter les goulets d’étranglement
Un cas d’école revient souvent : un GPU haut de gamme bridé par un CPU entrée de gamme. L’outil de monitoring montre alors un GPU sous 70 % d’usage tandis que le CPU plafonne. L’ajout d’une RAM en dual‑channel (16 à 32 Go) et le passage à un CPU 6 cœurs corrigent immédiatement la situation.
- 6 cœurs pour compétitif 1080p/144, 8 cœurs pour 1440p/165.
- 16 Go de RAM suffisent ; 32 Go pour le multitâche streaming + jeu.
- VRAM : 8 Go confortables en 1080p/1440p, 12‑16 Go pour 4K.
Étude de cas rapide
Lena joue sur un écran 165 Hz. Après des chutes à 110 fps en combats, l’activation du Resizable BAR et la mise à jour du BIOS ont lissé les frametimes. Le passage d’un SSD SATA à un NVMe a aussi réduit les micro‑stutters lors des respawns. Moralité : la chaîne matérielle entière compte, pas uniquement la carte graphique.
- Activer Resizable BAR/Smart Access Memory.
- Installer sur SSD NVMe et laisser 20 % d’espace libre.
- Synchroniser la RAM (XMP/EXPO) avec la fréquence validée.
Pour jauger les gains potentiels, des guides de configurations comparables aident à se situer : Configuration PC équilibrée et PC Espace. La bonne pratique : verrouiller la stabilité avant d’exiger la performance maximale. Cette prudence crée de la constance en match.
Réseau, netcode et latence : gagner des frames invisibles en 4v4
Le netcode est la seconde moitié de la performance. Un ping stable prend l’ascendant sur une moyenne un peu plus haute mais fluctuante. Gekishin Squadra propose un cross‑play complet ; l’hétérogénéité des connexions requiert des habitudes saines pour conserver les timings sur les boss et le “Divine Draw”.
Réglages réseau prioritaires
Le routeur doit réserver une bande passante stable, avec QoS sur la machine de jeu. En Wi‑Fi, privilégier le 5 GHz ou le 6 GHz pour réduire la latence. Sur PC, désactiver les fonctionnalités d’économie d’énergie sur la carte réseau évite les réveils intempestifs.
- Ethernet recommandé ; Wi‑Fi 6/6E à défaut, près du point d’accès.
- QoS activée pour prioriser le trafic du jeu.
- Limiter le cloud et la VOD (Crunchyroll, Funimation) pendant les scrims.
Un club universitaire a réduit son ping médian de 12 ms en passant tous les postes en filaire et en segmentant le réseau invité. Les engages se sont synchronisés, avec des “parades” plus fiables sur les beams de Vegeta. Comme souvent en e‑sport, l’infrastructure gagne des matchs silencieusement.
Les annonces liées aux stress tests et aux serveurs sont centralisées sur X ; un suivi permet d’anticiper les pics.
- Créer des profils réseau Windows distincts “Jeu” et “Bureau”.
- Sur Steam, limiter la bande passante des téléchargements en arrière‑plan.
- Sur routeur, vérifier l’UPnP/NAT pour éviter les blocages d’invitations.
La règle d’or : la latence ne s’achète pas, elle s’optimise.
Optimisations Windows, pilotes NVIDIA/AMD/Intel et paramètres Steam
Windows 11 propose un mode Jeu, l’auto‑HDR, et des optimisations mémoire pour les titres DirectX 12. Combinées aux pilotes récents — NVIDIA Game Ready, AMD Adrenalin, Intel Arc — ces options sécurisent des gains faciles. Les overlays multiples et la capture d’écran non matérielle imposent en revanche un coût latent.
Checklist logicielle rapide
Un carnet de bord d’équipe retient quelques basiques avant un tournoi en ligne : mise à jour des pilotes, redémarrage propre, vérification de l’intégrité du jeu sous Steam, fermeture des services secondaires (RGB, nuages). Avec ce rituel, un PC moyen tient un 144 fps plus régulier sur les fights de boss.
- Pilotes à jour (Game Ready/Adrenalin/Intel Arc).
- Mode Jeu activé, Game Bar désactivée si doublon avec un overlay externe.
- Plan d’alimentation “Performances élevées”.
Paramètres Steam utiles
Le lancement en mode “haute priorité” via les options de démarrage, la désactivation des téléchargements en jeu, et l’affichage du compteur fps/frametime simplifient le diagnostic. Pour des points de comparaison méthodiques, plusieurs fiches techniques orientent les choix : Shinobi Art: Vengeance (PC), Goblin Cleanup et Herdling.
- Limiter l’overlay à un seul outil (Steam ou GeForce Experience, pas les deux).
- Enregistrer les replays via l’encodeur matériel (NVENC/AMF/Quick Sync).
- Vérifier l’allocation VRAM dans les menus avant un match classé.
Cette hygiène logicielle, modeste mais constante, libère des frames de manière cumulative.
Portables gaming, Steam Deck et Switch 2 : profils d’énergie et tuning pratique
Sur portable, l’équation inclut la température et la variabilité d’alimentation. La bascule MUX/Advanced Optimus, un undervolt léger, et un profil ventilateur soutenu garantissent la stabilité pendant les engagements prolongés. Le Steam Deck exige un autre angle : TDP limité et résolution réduite, mais un gameplay viable à 60 fps.
Deck et portables : scénarios concrets
Yasu, en laptop RTX 4060, bascule le MUX sur dGPU only et force 120 Hz sur l’écran interne. Il obtient un gain de 10‑15 % et surtout, des frametimes plus linéaires. Sur Steam Deck OLED, un profil 800p/60, textures Medium, ombres Low, FSR activé en “Qualité”, tient étonnamment bien les teamfights.
- Laptops RTX 40 : activer dGPU only si possible, limiter le CPU à un EPP moyen.
- Steam Deck : TDP 12‑15 W, V‑Sync off + VRR, FSR actif.
- Switch 2 (cible estimée) : 60 fps mode docked, 30‑60 fps portable selon effets.
Gestion thermique et autonomie
Une plaque de refroidissement sous portable et un nettoyage trimestriel des ventilateurs retardent le throttling. La batterie profite d’un plafonnement de charge à 80 % en jeu branché. La priorité reste la constance : mieux vaut 60 fps stables que 80 irréguliers.
- Courbe ventilateur proactive en mode Performance.
- Pâte thermique de qualité sur machines plus anciennes.
- Limiter les arrière‑plans (navigateur, lecteurs Crunchyroll).
Le mobile n’a pas à rimer avec compromis ; c’est le tuning qui dicte le rythme.
Cross‑play, cross‑progression et cadre éditorial : ce qu’il faut savoir
Le jeu s’appuie sur un compte Bandai Namco pour synchroniser la progression entre plateformes. Le cross‑play réunit PC, PlayStation, Nintendo et mobiles, mais les achats in‑game restent confinés à chaque store. Mieux vaut choisir une plateforme principale pour les cosmétiques et débloquer les héros à l’aide des jetons jouables ailleurs.
Licences, voix et textes
La présence de Toei Animation pour la supervision, et l’écosystème de diffusion (Funimation, Crunchyroll) en toile de fond, garantissent une continuité esthétique avec l’animé. Les voix disponibles en japonais et en anglais, et les textes en neuf langues dont le français, assurent une accessibilité large, y compris sur Steam.
- Cross‑play total, matchmaking unifié.
- Cross‑progression via compte Bandai Namco.
- Achats non transférables d’une plateforme à l’autre.
Pour les fans de Dragon Ball Z, le casting initial de 16 héros couvre des archétypes clairs : Damage, Tank, Technical. Le modèle free‑to‑play avec micro‑achats cosmétiques suit une tendance que les joueurs connaissent déjà sur d’autres scènes compétitives. Les curieux peuvent suivre les roadmaps et les annonces réseau sur les canaux officiels afin d’anticiper les prochains tests et équilibrages.
- Préparer un “main” par rôle pour les rotations de draft.
- Centraliser les paramètres sur un cloud unique, même si les skins sont cloisonnés.
- Activer l’authentification à deux facteurs sur le compte Bandai Namco.
La cohérence de l’écosystème prime : une identité de compte, des habitudes de jeu, et une équipe fixe.
Périphériques, ergonomie et accessibilité : gagner en précision sans forcer
Le duel manette vs clavier‑souris dépend des préférences. En 4v4 top‑down, la souris garde l’avantage sur le pointage de skillshots, tandis que la manette excelle pour les dashs contextuels. Un mapping hybride, avec des raccourcis sur la molette et l’éclairage RGB réactif, fluidifie les enchaînements.
Précision, audio et lisibilité
Un casque fermé avec scène sonore équilibrée met en relief les tells sonores des ultimes, utiles pour réagir aux beams et aux contrôles. L’activation d’un mode daltonien ou le rehaussement de l’interface améliore la lisibilité en combat. L’objectif reste la réduction de la friction cognitive.
- Souris 800‑1200 dpi, sensibilité in‑game ajustée à la micro‑correction.
- Audio spatial pour distinguer les zones d’engagement.
- HUD allégé pendant les teamfights, détails enrichis en phase de farm.
Pour structurer l’entraînement, une routine de 20 minutes axée sur le tracking et l’esquive de projectiles suffit. Un gabarit d’équipe aura intérêt à standardiser quelques réglages — sensibilité, binds, seuils d’alertes — afin d’accélérer l’onboarding des remplaçants.
- Construire un profil “Compétitif” et un profil “Casual”.
- Inclure un bind “désactiver cosmétiques” si proposé.
- Limiter le motion blur et les lens flares.
Ce volet périphériques crée des automatismes, précieux lorsqu’une partie se joue au cadre près.
Rôles, modes et lisibilité technique : aligner build et performance
Le trio Damage, Tank, Technical dicte un tempo distinct. Les Damage bénéficient d’un affichage net et d’un input lag minimal pour caler les bursts ; les Tanks profitent d’ombres moins coûteuses mais d’un affichage de contour renforcé ; les Technical privilégient la clarté des effets de contrôle et des cooldowns visibles.
Adapter les options au rôle
Un joueur Damage peut abaisser l’occlusion ambiante et forcer un anti‑aliasing plus doux pour gagner quelques frames lors des bursts. À l’inverse, un Support augmentera la saturation et les indicateurs de contrôle, quitte à sacrifier 5 fps en teamfight. Le mode “Standard Battle” et ses objectifs — Dragon Ball, Dieux de la Destruction, “Divine Draw” — imposent des pics d’effets ; un preset “Objectif” coupant les volumétriques facilite la navigation.
- Damage : priorité framerate et netteté.
- Tank : silhouettes contrastées, post‑process limité.
- Technical : HUD renforcé, couleurs différenciées.
D’autres modes comme Land Grab ou Finders Keepers demanderont des presets dédiés. La méthode reste universelle : surveiller les frametimes, ajuster une option à la fois, consigner les résultats. Pour garder des repères, des fiches externes montrent comment d’autres jeux traitent des scènes chargées : Sword of the Sea, MGS Delta, Lost Soul Aside.
- Entraîner un “preset Objectif” et un “preset Teamfight”.
- Vérifier la VRAM selon le skin retenu.
- Limiter le sharpen pour éviter les scintillements.
Le bon preset ne triche pas : il amplifie votre rôle.
Planning, maintenance et contrôle qualité avant la sortie
Avec une sortie fixée au 9 septembre 2025, la période actuelle est propice à la préparation. Tenir un carnet de bord technique — températures, versions de pilotes, réglages graphiques — simplifie le dépannage. Une soirée test par semaine en équipe stabilise les communications et débusque les incohérences.
Checklist pré‑lancement
Les équipes qui ont brillé lors des tests réseau avaient un dénominateur commun : l’anticipation. Entre le firmware du routeur et l’organisation des overlays, chaque détail compte. Un exemple de programme sur un mois montre vite ses bénéfices.
- Semaine 1 : pilotes à jour, profils d’énergie, SSD optimisés.
- Semaine 2 : tuning réseau (QoS, NAT), tests de ping.
- Semaine 3 : presets par rôle, binds normalisés.
- Semaine 4 : scrims à horaires de pointe, audit des logs.
Pour élargir la culture hardware et comparer des cas proches, ces lectures permettent d’affiner son œil : TLOU Part II PC, Gears of War. On ne prépare pas seulement des réglages, on prépare une méthode. Cette méthode fait gagner des matchs.
- Exiger la constance au‑delà du pic de fps.
- Documenter chaque changement et son effet.
- Automatiser la mise à jour des pilotes la veille des scrims.
L’anticipation transforme des secondes perdues en victoires concrètes.
Quand sort Dragon Ball Gekishin Squadra et sur quelles plateformes ?
La sortie est prévue le 9 septembre 2025 avec disponibilité sur PC (Steam), PlayStation 4 et 5, Nintendo Switch, Switch 2, Android et iOS. Le cross‑play est complet et la cross‑progression liée au compte Bandai Namco.
Le jeu est‑il gratuit et y a‑t‑il des micro‑transactions ?
Oui, c’est un free‑to‑play. Les achats concernent surtout des cosmétiques et certains déblocages via un système inspiré des gachas. Les achats restent toutefois non transférables d’une plateforme à l’autre.
Quel matériel pour 144 fps stables en 1080p ?
Un Ryzen 5 5600 ou Core i5‑12400F avec une RTX 3060 ou RX 6600, 16 Go de RAM et SSD NVMe suffisent pour viser 120‑144 fps avec un upscaler en mode Qualité et des ombres Medium.
Quelles langues sont prises en charge ?
Voix en japonais et anglais. Textes en français, anglais, japonais, allemand, espagnol, portugais, chinois (traditionnel/simplifié) et coréen. Supervision visuelle alignée avec Toei Animation.
Des conseils pour réduire la latence ?
Privilégier l’Ethernet, activer la QoS, fermer les streamings (Crunchyroll, Funimation) durant les matchs, désactiver l’économie d’énergie de la carte réseau et limiter les overlays au strict nécessaire.
Préparez la machine, affûtez les réglages, domptez le 4v4 : dans l’arène de Gekishin Squadra, la victoire se joue à la frame près.