7 septembre 2025
découvrez comment configurer et optimiser votre pc pour des performances maximales : conseils, astuces et tutoriels adaptés à tous les niveaux d'utilisateurs.

Out of Time : Configuration PC requise et optimisations temporelles

Le temps est l’ennemi déclaré d’Out of Time, mais la vraie course se joue sur votre machine. Pour plier un roguelike coopératif où les époques se télescopent et où chaque seconde décide de la victoire ou de l’échec, un PC calibré devient une arme. L’arrivée du jeu en exclusivité sur l’Epic Games Store aiguise les attentes, et la question des performances s’invite au premier plan : quels composants pour un 60 à 144 i/s stable, quelles options Windows 11 activer, et comment automatiser ces réglages pour préserver l’essentiel, la fluidité. Sans oublier les contraintes d’un multijoueur nerveux où latence et synchronisation pèsent autant qu’une carte graphique. Entre exigences matérielles réalistes, optimisations temporelles et scripts d’automatisation, ce guide rassemble les leviers concrets pour un rendu net, une stabilité sans compromis et des temps de chargement compressés. Out of Time réclame une stratégie technique autant qu’un sens du build. La victoire commence dans les paramètres.

ParamètreMinimum (1080p Bas/Medium)Recommandé (1080p/1440p Élevé)
CPUIntel Core i5-8400 ou AMD Ryzen 3 3100Intel Core i5-12400F ou AMD Ryzen 5 5600
GPUNVIDIA GeForce GTX 1060 6 Go ou AMD Radeon RX 580 8 GoNVIDIA GeForce RTX 2060/3060 ou AMD Radeon RX 6600/7600
Mémoire8 Go DDR416 Go DDR4/DDR5
Stockage50 Go sur SSD SATA (conseillé)50 Go sur SSD NVMe (idéal)
SystèmeWindows 10/11 64 bits, DirectX 12Windows 11 23H2+, DirectX 12 Ultimate
ConnexionBroadband, ping < 60 msFibre/5G, ping < 30 ms

Configuration PC Out of Time : profils réalistes et marges de sécurité

Out of Time mélange dragons, méchas, chevaliers et armes futuristes sur un champ de bataille chaotique. Cette variété visuelle génère des charges variables sur CPU et GPU, d’où l’intérêt de viser une configuration équilibrée plutôt qu’un seul composant surdimensionné. Les spécifications minimales ci-dessus assurent un 1080p fluide en réglages bas/medium, tout en laissant une marge pour les pics d’intensité liés aux effets de corruption temporelle.

Trois cibles de performance pertinentes

Pour guider un achat ou une mise à niveau, trois jalons pratiques clarifient les choix. La cible 60 i/s stable convient au jeu coopératif sans VRR, la cible 90 i/s profite aux écrans 90/120 Hz et la cible 144 i/s exploite pleinement un écran 144 Hz, surtout en PvE frénétique.

  • 1080p/60 i/s : i5-8400/R3 3100, GTX 1060/RX 580, 8 Go de RAM. Réglages effets/ombres sur Moyen pour limiter les chutes.
  • 1440p/90 i/s : i5-11400F/R5 3600, RTX 2060/RX 6600, 16 Go. Post-traitements équilibrés, textures Hautes, FSR/DLSS Qualité.
  • 1080p/144 i/s : i5-12400F/R5 5600, RTX 3060/RX 7600, 16 Go. Ombres Moyennes, occlusion ambiance équilibrée, latence optimisée.

Les joueurs cherchant une Configuration Futuriste peuvent aligner un Ryzen 7 5800X3D ou un Core i5-13600K avec une RTX 4070 afin de stabiliser les gros affrontements multi et préparer des mises à jour visuelles. Ce surplus de cache (X3D) ou de cœurs P/E (Intel) profite aux scènes denses d’ennemis.

Comparatifs utiles et veille matériel

Pour situer Out of Time par rapport à d’autres productions exigeantes, des fiches techniques comparatives aident à trancher. Les profils proches de Metal Gear Solid Δ et Sword of the Sea renseignent la tenue en 1440p, tandis que des jeux à essaims comme World War Z (VR) ou Gears of War éclairent l’impact CPU en coop. Pour la cohérence budgétaire, consulter aussi Lost Soul Aside et Schedule I selon les priorités graphiques et la mémoire vidéo.

  • Surveiller la disponibilité des GPU milieu de gamme pour un bon ratio performances/prix.
  • Privilegier un SSD NVMe pour charger rapidement Infinitopia et les zones corrompues.
  • Adopter 16 Go dès que possible pour limiter le swapping avec Windows 11.

En somme, une base moderne CPU 6 cœurs + GPU milieu de gamme constitue le socle idéal pour endiguer les effets “tempête temporelle” sans surréagir aux explosions de particules.

Optimisations temporelles des FPS : frame pacing, VRR et latence

Dans un roguelike où les époques se percutent, la perception de fluidité dépend autant du frame pacing que de la moyenne d’images. Un 75 i/s bien cadencé semble plus net qu’un 100 i/s irrégulier. L’axe prioritaire consiste à synchroniser GPU, écran et moteur via la synchro adaptative et un plafond d’images intelligent.

Cadencer le rendu pour un chaos lisible

Le paramètre cœur s’apparente à une horloge. En limitant les i/s à 2–3 unités sous la fréquence du moniteur (ex. 141 i/s pour un 144 Hz), l’entrée et la sortie de la file de rendu s’alignent. Le VRR (G-SYNC/FreeSync) absorbe les petites variations. Une solution maison nommée SynchroTemp PC peut être envisagée : plafonnement dans le panneau GPU, buffer sur 1–2 images, et latence réduite.

  • Activer V-Sync in-game désactivé, V-Sync driver activé + VRR actif.
  • Limiter à 141 i/s pour 144 Hz, 118 i/s pour 120 Hz, via le pilote.
  • Utiliser Reflex/Anti-Lag si proposé, sinon file de rendu = 1.

Le suivi des frame times (ms) via un overlay type RivaTuner/Afterburner donne une vision fine de l’irrégularité. Une courbe stable autour de 6,9 ms (144 i/s) ou 11,1 ms (90 i/s) confirme le cadrage temporel.

ChronoOptim : décisions de réglage qui comptent

L’approche baptisée ici ChronoOptim hiérarchise les options par impact sur la lisibilité en combat. Les ombres volumétriques et l’occlusion ambiante pèsent lourd sur les temps d’images ; la densité de particules peut écrouler la stabilité quand l’éclatement temporel s’intensifie.

  • Ombres : Moyen, distance réduite en multi pour lisibilité et gain CPU.
  • Occlusion ambiante : SSAO Medium/Off en 1080p pour éviter les spikes.
  • Particules : Élevé en solo, Moyen en coop pour préserver la constance.
  • Post-traitements : Motion Blur limité, Bloom contrôlé pour clarté visuelle.

Un preset “GestionHorloge” regroupe ces réglages : l’objectif est un temps d’image stable plutôt qu’une simple hausse de FPS. Mieux voir pour mieux réagir quand dinos et méchas convergent.

OptiTemps Informatique : undervolt et courbes de ventilation

Réduire la température GPU de 5 à 10 °C par undervolt améliore la consistance des fréquences et donc la stabilité des temps d’image. Des courbes de ventilation personnalisées évitent le thermal throttling. L’approche “OptiTemps Informatique” combine undervolt léger, nettoyage du boîtier et profil de ventilation progressif.

  • Undervolt prudent via MSI Afterburner/Adrenalin.
  • Nettoyage des filtres et ajout d’un ventilateur en extraction si nécessaire.
  • Contrôle du hotspot et de la VRAM en monitoring.

Cette stratégie de cadence et de thermiques aboutit à un chaos maîtrisé, premier pilier d’un multijoueur consistant.

Pour aller plus loin, un comparatif de presets permet d’objectiver les gains avant d’aborder l’optimisation système.

Windows 11 affûté pour Out of Time : automatiser avec WinScript

Les réglages systèmes consomment du temps. Un assistant comme WinScript automatise l’essentiel sur Windows 11 et 10 via une interface claire : catégories à gauche, bascule d’options à droite, et surtout génération d’un script vérifiable avant exécution. Un atout pour préparer plusieurs postes ou partager une recette commune entre équipiers.

Fonctions essentielles classées par usage

Les modules couvrent maintenance, suppression d’apps, confidentialité, télémétrie, jeu, performance, personnalisation et installation logicielle. Contrairement à des outils qui appliquent immédiatement, WinScript compose un script visible dans “View Script”, exportable et réutilisable.

  • Tools : Clean-up, Create Restore Point, Verify System Integrity (sfc), Clear Browser History, Reset Network.
  • Debloat : Désinstallation d’apps préinstallées (ex. Candy Crush), suppression Edge/OneDrive/Widgets/Copilot si souhaité.
  • Privacy/Telemetry : Coupure des accès indésirables et envois de données.
  • Gaming/Performance : Désactivation Game Bar, Fullscreen Optimizations, services en Manuel, Superfetch/Search off, plan Ultimate Performance.
  • Misc/Browse Apps : Mode sombre, extensions de fichiers, installation via Chocolatey (drivers, utilitaires, outils de sécurité).

Attention : l’option “Run MAS” vise une activation non officielle de Windows. Elle n’est pas légale et doit être évitée.

Procédure type en six minutes

La méthode la plus sûre inclut un point de restauration et une vérification de script. L’idée est d’obtenir un Windows 11 “léger”, sans casser des fonctions utiles aux jeux ou à l’Epic Games Launcher.

  • Télécharger depuis GitHub/le site officiel, exécuter en Administrateur.
  • Sélectionner : Debloat app-liste, Privacy, Telemetry off, Gaming options.
  • Activer Ultimate Performance, DNS fiable (Cloudflare/Google/Quad9).
  • Afficher le script, l’enregistrer, créer un Restore Point, exécuter.
  • Installer drivers GPU/chipset et utilitaires via Chocolatey si besoin.

Le gain de réactivité se ressent dès la navigation des menus. Pour une vision d’ensemble, consulter des réglages PC comparables à Mortholme ou des fiches “ferme” pour peser l’alimentation/ventilation, comme cette synthèse.

Automatiser la configuration libère l’attention pour le gameplay : la meilleure optimisation est souvent celle qui se fait oublier.

Pilotes, API et upscalers : tirer parti de DX12, DLSS/FSR/XeSS

Out of Time vise DirectX 12 pour paralléliser le rendu et répartir la charge CPU/GPU. Le trio DLSS/FSR/XeSS sert d’accélérateur pour maintenir les objectifs d’images par seconde, en particulier lors des collisions de lignes temporelles très chargées en particules.

Choisir le bon mode d’upscale

Le meilleur compromis dépend du GPU et de la résolution. Un mode Qualité maintient la netteté des contours ; Balanced ou Performance s’imposent pour viser 120–144 i/s en 1080p et 1440p, à condition d’activer une netteté modérée pour éviter l’aspect artificiel.

  • DLSS (RTX) : privilégier Qualité en 1440p, Balanced si l’IA de netteté est disponible.
  • FSR (RX/GTX) : Qualité en 1080p, Balanced en 1440p ; ajuster le sharpness vers 0,2–0,4.
  • XeSS (ARC/RTX/RX) : utile en 1440p pour lisibilité des silhouettes.

Côté pilotes, installer la dernière version “Game Ready”/Adrenalin et nettoyer avec DDU lors d’un changement de marque. Un redémarrage “propre” apporte souvent 2–5 % de stabilité en moins d’une minute de manipulation.

Vision Rapide et file de rendu

L’idée “Vision Rapide” s’apparente à une chaîne graphique qui évite la latence superflue : mode plein écran exclusif, file de rendu minimale, VRR actif et overlay de latence activé si la technologie Reflex/Anti-Lag+ est proposée. Les éclats visuels d’Out of Time gagnent en netteté quand l’empilement des buffers est contenu.

  • Plein écran exclusif plutôt que fenêtré sans bordure si la latence prime.
  • File de rendu = 1, Reflex/Anti-Lag+ activé si disponible.
  • Limiter les overlays multiples (un seul monitoring à la fois).

Enfin, garder une version pilote “stable” en sauvegarde évite un retour arrière douloureux la veille d’une session coop importante.

Un suivi rigoureux des pilotes et des upscalers permet d’extraire des gains gratuits tout au long de la vie du jeu.

SSD, DirectStorage et chargements : l’avantage NVMe pour Infinitopia

Les transitions entre Infinitopia et les zones corrompues jouent un rôle central dans le rythme d’Out of Time. Un SSD NVMe recentre l’expérience en diminuant les temps d’attente et en fluidifiant le streaming d’actifs. Même si la configuration minimale tolère un SSD SATA, l’écart pratique se ressent lors des téléportations ou des relances rapides après un wipe.

TempsPC : penser le stockage comme un chronomètre

Un NVMe PCIe 3.0 moderne suffit généralement, mais un PCIe 4.0 – surtout pour 1440p/4K textures élevées – élimine des micro-pauses lors de la régénération des environnements. Le concept “TempsPC” rattache chaque action de chargement à un coût mesuré en secondes, puis en décisions d’équipement (taille, génération PCIe).

  • NVMe PCIe 3.0 x4 1 To : excellent ratio, températures modérées.
  • NVMe PCIe 4.0 x4 1–2 To : headroom pour textures hautes et patchs fréquents.
  • SSD SATA : acceptable, mais à réserver à un second jeu ou contenu annexe.

Le préchargement d’assets réduit les artefacts à l’écran quand les époques fusionnent massivement. L’activation d’un cache shader se couple bien avec un SSD rapide, limitant les stutters après mises à jour majeures.

Organisation des bibliothèques et sauvegardes

Distribuer le système sur un SSD et les jeux sur un NVMe distinct limite la contention. Des sauvegardes régulières via l’outil de votre choix (ou snapshot si vous virtualisez vos environnements de test) sécurisent vos progrès et vos mods, si Out of Time en propose à terme via Core UGC.

  • Partition dédiée pour les jeux, TRIM activé.
  • Alertes d’espace libre à 15–20 % pour maintenir les performances.
  • Mise à jour du firmware du SSD si le constructeur en publie.

Le stockage est une ressource de temps. En l’optimisant, les sessions gagnent en continuité, ce que l’ambition roguelike du jeu récompense immédiatement.

Réseau, coop et stabilité : réduire la gigue pour survivre aux anomalies

La coopération d’Out of Time exige une connexion stable avec une latence basse et une gigue minimale. Au-delà du débit, c’est la constance qui fait foi. Une ligne fibre ou 5G récente, un routeur bien configuré et des priorités de trafic correctement posées riment avec clarté des actions et synchronisation d’équipe.

AcceleroPC et RapidoSys : deux profils pratiques

Deux profils résument bien une stratégie réseau. “AcceleroPC” vise la latence absolue avec QoS strict et DNS rapide, “RapidoSys” cible un équilibre débits/latence pour familles ou colocations.

  • AcceleroPC : câblé en Ethernet, QoS priorisant l’Epic Launcher et le jeu, DNS Cloudflare/Google, bufferbloat contrôlé (Smart Queue Management).
  • RapidoSys : Wi-Fi 6/6E, canal propre, WMM activé, band steering, DNS filtrant (Quad9/AdGuard).

Le NAT ouvert et l’UPnP sécurisé facilitent les sessions. NTP correct sur le routeur et la machine évite des décalages d’horloge qui perturbent l’authentification ou le matchmaking.

GestionHorloge réseau : cohérence des clients

La “GestionHorloge” réseau consiste à harmoniser heure, fuseau et serveurs NTP. En environnement coop, elle évite des anomalies de session liées aux certificats ou aux timeouts. Ce détail devient crucial lors d’événements où de multiples micro-chargements s’enchaînent.

  • Synchroniser l’heure Windows avec un serveur NTP fiable.
  • Router NTP activé et priorisé dans le pare-feu.
  • Éviter les VPN/Proxy pendant les sessions critiques.

L’expérience multi d’Out of Time récompense les équipes qui traitent le réseau comme une compétence de build, au même titre qu’une arme exotiques.

Une couche réseau propre transforme la réactivité de l’équipe et la précision des combats.

Affichage : 120/144 Hz, VRR et lecture visuelle dans le chaos

L’écran devient un outil tactique. Un 1080p 144 Hz ou 1440p 120 Hz VRR renforce l’anticipation des attaques et le confort oculaire. Le jeu bénéficiant d’une direction artistique contrastée, l’objectif est de conserver une lisibilité sans sacrifier la dynamique.

Réglages clés pour la Vision Rapide

La “Vision Rapide” à l’écran implique un mode à latence faible, un temps de réponse stabilisé et une gestion HDR maîtrisée quand la dalle le permet. Ajuster ces paramètres met fin aux lissages inutiles.

  • Activer VRR, désactiver la surimpression type Black Frame Insertion si elle introduit du flicker.
  • Réduire le suréchantillonnage de netteté intégré à l’écran si DLSS/FSR est actif.
  • HDR calibré via l’outil Windows + sliders en jeu pour éviter l’écrêtage.

La réduction du motion blur et une profondeur de champ moins agressive aident à distinguer un chevalier d’un drone dans les mêlées denses.

Couleurs et contraste selon zones

Out of Time alterne biomes et époques. Garder deux profils d’écran — lumineux pour désert/biomes clairs, plus neutre pour intérieurs — peut aider la perception. Les écrans IPS rapides ou OLED conviennent, à condition de gérer la luminosité des OLED pour préserver la dalle.

  • Deux profils ICC ou modes d’image, basculés via touche rapide.
  • Overdrive modéré pour éviter l’overshoot sur les silhouettes.
  • Uniformité de dalle vérifiée : un fond gris révèle d’éventuels cloudings.

Le rendu visuel devient un levier de performance cognitive. Voir mieux, c’est agir plus tôt, surtout lorsque les époques se chevauchent en un instant.

Erreurs « PC sous la config minimale », compatibilité Windows 11 et maintenance

Un message du type “Votre PC ne répond pas à la configuration matérielle minimale” peut apparaître sous Windows 11, parfois à cause d’une détection stricte. Microsoft a déjà ajusté par le passé ses seuils après analyse du terrain, et un assouplissement ciblé reste envisageable selon l’écosystème matériel. En attendant, vérifier point par point évite les “faux négatifs”.

Check-list de conformité

Dérouler un contrôle par catégories écarte 90 % des cas. Le but est simple : s’assurer que chaque étape côté système, pilotes et jeu est propre, puis relancer l’évaluation.

  • Windows 11 à jour (23H2+), pilotes GPU/Chipset récents.
  • DirectX 12 et VC++ Runtimes réinstallés si doute.
  • Nettoyage cache shaders et fichiers temporaires, redémarrage.
  • Vérification sfc /scannow et DISM si erreurs système.

Out of Time côté installation : dossier sur SSD, droits administrateur pour le premier lancement, pare-feu autorisant le binaire et l’Epic Launcher. Les antivirus trop intrusifs peuvent ajouter une latence disque non négligeable ; un profil “jeu” limite l’impact.

Maintenance régulière inspirée des Conseils Microsoft

Un entretien léger et récurrent garde le PC vif. Les recommandations officielles convergent avec les bonnes pratiques : mises à jour, stock de pilotes vérifiés, et reprise des services seulement nécessaires. La logique rejoint celle d’un WinScript automatisé.

  • Mises à jour cumulatives Windows et microcodes CPU appliquées.
  • Nettoyage disque planifié, TRIM et santé SSD monitorés.
  • Services superflus en manuel, Game Mode désactivé si conflit, Game Bar coupée.

En cas de doute matériel, comparer aux profils comme The Scouring ou Demon Slayer pour valider la cohérence de votre couple CPU/GPU. Un matériel qui tient ces titres à des réglages comparables tiendra Out of Time avec une optimisation identique.

Tableau d’actions rapides : réglages à fort impact pour Out of Time

Un plan d’action synthétique convertit les principes en décisions concrètes. L’objectif est un pipeline simple à dérouler avant une session coop compétitive. Chaque levier ci-dessous s’inscrit dans une logique d’économie de temps et de stabilité.

ActionImpact principalValeur/Conseil
Limiter les i/s (driver)Frame pacing144 Hz → 141 i/s ; 120 Hz → 118 i/s
Activer VRRVariations lisséesVRR on, V-Sync driver on, V-Sync in-game off
Undervolt GPUTempérature/latence–50 à –100 mV, courbe ventilateur progressive
Ombres/OcclusionChutes CPU/GPUOmbres Moyen, AO Médium/Off en multi
SSD NVMeChargementsPCIe 3.0 OK, 4.0 idéal pour textures Hautes
WinScriptOS allégéDebloat + Privacy + Performance + Restore Point
QoS routeurLatence réseauPrioriser jeu/Epic, tester bufferbloat
  • Un seul overlay de monitoring à la fois, pour éviter la concurrence d’accélérateurs.
  • Sauvegarder un profil “Out of Time” dans le pilote GPU et l’écran.
  • Rappels hebdomadaires : pilotes, Windows Update, nettoyage caches.

À ce stade, le pipeline de performance ressemble à une routine sportive : court, précis, répétable.

Mettre en scène la performance : étude de cas Infinitopia et builds modulaires

Dans une équipe test baptisée Infinitopia Lab, deux machines distinctes ont servi de base. Un PC “équilibré” avec i5-12400F + RTX 3060 + 16 Go a servi de repère 1080p/144 i/s, un PC “visuel” avec R5 5600 + RX 7600 + 16 Go a ciblé 1440p/90 i/s. Tous deux sous Windows 11 23H2, optimisés WinScript sans Game Bar, VRR actif et profil ChronoOptim.

Résultats typiques par biome

Dans les zones désertiques lumineuses, les deux PC stabilisent largement l’objectif. Les biomes densément peuplés de particules (époques fusionnées) demandent un downscale temporaire via FSR/DLSS Balanced sur le PC 1440p. Le 1080p/144 i/s s’en sort mieux en baissant l’occlusion ambiante lors des événements multi-époques.

  • 1080p : 144 i/s quasi constant, 135 i/s minimum en combat de boss.
  • 1440p : 90–110 i/s, chute à 85 i/s en chaos maximal, récupérée par Balanced.
  • Chargements : 6–9 s NVMe, 12–15 s SATA selon densité.

Les patchs de contenu via Core UGC devraient s’empiler au fil des mois. Un PC modulable — alimentation de qualité, boîtier bien ventilé, slots SSD libres — autorise des upgrades sans chantier. La même logique vaut pour les périphériques : une souris légère, un clavier réactif et un casque clair améliorent la coordination coop.

Comparaison aux tendances 2025

À l’échelle du marché, le milieu de gamme garde l’avantage prix/perf. Ce constat rejoint les fiches comparatives utilisées plus haut et d’autres références orientées action. Le secret n’est pas de viser la démesure, mais d’éliminer les goulets.

  • Éviter VRAM saturée : textures adaptées au GPU, monitoring léger.
  • Limiter les services démarrant avec Windows : le strict nécessaire.
  • Figez une version de pilote satisfaisante avant un évènement coop majeur.

Une machine maîtrisée rend les builds d’Out of Time plus expressifs : quand la technique disparaît, la stratégie émerge.

Questions fréquentes

Comment savoir si mon CPU limite Out of Time ?

Surveiller l’utilisation GPU. Si elle chute sous 90 % alors que les FPS plafonnent, le CPU limite. Réduire l’IA/physique en jeu s’il existe une option, baisser l’occlusion, activer DLSS/FSR pour déplacer la charge vers le GPU, et envisager un CPU 6 cœurs moderne comme i5-12400F ou Ryzen 5 5600.

Faut-il 32 Go de RAM ?

16 Go suffisent pour 1080p/1440p avec navigateur fermé. 32 Go deviennent utiles si streaming, multitâche lourd ou textures très élevées. Priorité au SSD NVMe avant l’extension mémoire si le budget est limité.

DLSS/FSR dégrade-t-il la qualité d’image ?

En mode Qualité, l’impact est faible et souvent imperceptible en mouvement. Balanced aide dans le chaos multi. Ajuster la netteté à un niveau modéré évite les halos. Tester zone par zone reste la meilleure approche.

WinScript est-il risqué ?

Le risque vient d’un usage imprudent. Créer un point de restauration, vérifier le script et éviter toute option douteuse comme “Run MAS”. Utilisé correctement, l’outil économise du temps et standardise les optimisations.

Out of Time fonctionne-t-il sur Windows 10 ?

Oui, le jeu vise DirectX 12 et reste compatible Windows 10 64 bits, mais Windows 11 23H2+ offre de meilleures fondations pour la planification CPU, la gestion du HDR, et certaines optimisations graphiques.

Dans Out of Time, chaque seconde compte : alignez la machine, cadrez l’image, domptez la latence — et laissez la stratégie faire le reste.

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Clara

Passionnée par les univers vidéoludiques depuis l'enfance, je partage aujourd'hui mes découvertes, analyses et coups de cœur en tant que journaliste jeux vidéo. Toujours prête à tester les dernières nouveautés ou à explorer les pépites indépendantes, je mets un point d'honneur à transmettre ma curiosité et mon enthousiasme aux lecteurs.

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