2 septembre 2025
découvrez la configuration minimale requise pour jouer à mortholme : processeur, mémoire, carte graphique, espace disque et système d’exploitation recommandés pour profiter du jeu dans de bonnes conditions.

The Dark Queen of Mortholme : Votre PC est-il prêt pour l’aventure ? Voici la configuration minimale requise !

Le royaume de Mortholme appelle les joueurs à une épopée ténébreuse, où chaque bataille exige autant de précision qu’un duel de lames. L’ère actuelle du PC Gaming récompense les configurations équilibrées, capables d’afficher une Fantasy dense, des effets volumétriques et des foules dynamiques sans broncher. Pour aborder The Dark Queen of Mortholme dans de bonnes conditions, un regard lucide sur la Configuration minimale et la configuration recommandée s’impose, en tenant compte du Processeur, de la Carte graphique, de la Mémoire vive et du stockage. Les comparaisons avec d’autres Jeux vidéo aident à relativiser les exigences et à calibrer les attentes avant l’Aventure.

Un fil conducteur utile se dessine à travers les décisions d’Élyas, joueur méticuleux qui veut explorer chaque forêt hantée et chaque relique oubliée sans sacrifier la fluidité. Dès le lancement sur Steam, le moteur pèse le matériel pour délivrer des réglages automatiques. Pourtant, optimiser manuellement son PC permet de grappiller de précieuses images par seconde, et de mieux tirer parti des technologies de mise à l’échelle. Ce guide technique propose des repères concrets pour atteindre un confort visuel stable, avec des paramètres éprouvés, des comparatifs et des stratégies d’upgrade graduées.

ÉlémentConfiguration minimaleConfiguration recommandée
SystèmeWindows 10 64-bitWindows 11 64-bit
ProcesseurIntel Core i5-6600K / AMD Ryzen 3 1200Intel Core i7-9700K / AMD Ryzen 5 5600X
Mémoire vive8 Go DDR416 Go DDR4/DDR5
Carte graphiqueNVIDIA GTX 1060 6 Go / AMD RX 580 8 GoNVIDIA RTX 3060 12 Go / AMD RX 6700 XT
Stockage70 Go HDD (SSD recommandé)70 Go sur SSD NVMe
APIDirectX 12DirectX 12
Objectif1080p Bas-Moyen ~ 45-60 FPS1080p/1440p Élevé ~ 60-90 FPS

Configuration minimale The Dark Queen of Mortholme : décryptage complet pour un lancement sans accroc

La fiche technique officielle met en avant une Configuration minimale accessible, mais quelques nuances changent tout à l’écran. Le duo Processeur et Carte graphique constitue l’ossature. Un i5-6600K ou un Ryzen 3 1200 demeurent opérationnels, à condition d’accepter des réglages visuels prudents et des scènes chargées plus variables, notamment dans les marchés de Mortholme où les PNJ abondent. La Mémoire vive à 8 Go suffit pour lancer l’exécutable, mais limite le multitâche, surtout si un navigateur et Discord restent ouverts en arrière-plan.

Sur le plan graphique, une GTX 1060 6 Go ou une RX 580 8 Go supporte les textures HD en 1080p avec compromis. Les ombres volumétriques et les reflets d’eau dans les marais demandent des ressources supplémentaires ; les paramétrer en « Moyen » stabilise les FPS tout en préservant l’atmosphère. Le stockage joue un rôle discret mais crucial. Un HDD fonctionnera, toutefois un SSD réduit drastiquement les micro-saccades lors des chargements dynamiques de zones, ce qui rend l’Aventure plus fluide.

Points d’attention concrets pour un 1080p jouable

La réussite d’un RPG exige une cohérence globale. Les combats contre les chevaliers corrompus sollicitent les cœurs CPU lors des calculs d’IA. Les sorts de zone, eux, pèsent sur la bande passante mémoire et les unités de calcul GPU. Ainsi, une approche hybride des réglages s’avère payante : textures en « Élevé » si la VRAM le permet, mais ombres et AO en « Moyen ». Les effets météo dynamiques de la région de Vel Ashen peuvent être basculés en « Faible » lors des raids de guilde pour privilégier la lisibilité.

Les comparaisons avec d’autres Jeux vidéo aident à se situer. Les besoins sont proches de ceux d’un monde ouvert travaillé. Des repères comme Assassin’s Creed Valhalla et son coût CPU/GPU ou l’aspect compétitif de Fortnite éclairent le calibrage. Pour ceux qui affectionnent la macro-gestion, le profil côté CPU rappelle par certains aspects Europa Universalis IV, lorsque d’innombrables entités sont simulées en parallèle.

  • V-Sync activée si l’écran est à 60 Hz pour éviter le tearing.
  • Textures en Élevé avec 6-8 Go de VRAM, sinon Moyen.
  • Ombres en Moyen, AO en Faible-Moyen pour les zones denses.
  • Effets météo réduits pendant les combats de boss.
  • SSD recommandé pour limiter les stutters en traversée de hub.

Élyas, équipé d’un Ryzen 3 et d’une RX 580, a gagné 12 FPS en abaissant uniquement les ombres et l’occlusion ambiante, sans toucher aux textures. Cette stratégie illustre un principe-clé: préserver l’identité artistique tout en taillant dans les postes les plus coûteux. Bilan de la section: un 1080p maîtrisé est possible avec la configuration minimale, à condition d’appliquer des priorités intelligentes.

Processeur et threads : comment éviter les goulots d’étranglement dans un RPG Fantasy moderne

Les RPG sophistiqués fragmentent le travail en tâches parallèles: IA des ennemis, scripts de quêtes, streaming des assets, physique légère pour la cape et les herbes battues par le vent. Un Processeur quad-core ancien peut suffire pour lancer The Dark Queen of Mortholme, mais la stabilité s’améliore drastiquement avec 6 à 8 cœurs modernes. Les i7-9700K et Ryzen 5 5600X cités en recommandation incarnent ce palier de confort, grâce à leurs fréquences élevées et une latence mémoire bien contenue.

La réalité en jeu est tangible lors des marchés de minuit, où les PNJ réagissent à l’aura de la Reine Noire, et lors des combats de siège. Les spikes CPU surviennent quand le moteur synchronise la simulation avec le rendu, surtout si un antivirus scanne le disque ou si des applications s’invitent en tâche de fond. D’où l’intérêt de nettoyer le démarrage, d’actualiser les microcodes BIOS et de calibrer l’affinité des processus quand c’est pertinent.

Optimisations CPU faciles à mettre en place

Plusieurs gestes offrent des gains directs sur la stabilité des FPS. Activer le plan d’alimentation « Performances élevées » dans Windows limite l’hibernation agressive des cœurs. Mettre à jour le chipset, souvent négligé, améliore la gestion des états C et la rapidité des interruptions. Côté mémoire, régler le profil XMP/EXPO d’un kit à 3200-3600 MHz réduit les temps d’accès et fluidifie la simulation dans les scènes chargées.

  • 6 cœurs/12 threads comme cible légère pour 60 FPS en 1080p.
  • Plan Performances activé dans Windows pour éviter les downclocks.
  • Chipset et BIOS à jour pour une latence optimisée.
  • XMP/EXPO activé, Gear 1 si possible sur plateformes Intel.
  • Arrière-plan propre: fermer navigateur, capture, overlays non essentiels.

Ce cadre rejoint des constats vus sur des titres stratégiques et hybrides comme Age of Empires II: Definitive Edition. Les mises à jour système font la différence au même titre que le silicium. Le fil d’Élyas rappelle que, même avec un CPU ancien, une discipline logicielle solide évite des chutes perceptibles à l’instant où le boss invoque ses spectres. Cap sur la suite: la Carte graphique et la gestion de la VRAM soutiennent l’immersion autant que le processeur.

Carte graphique et VRAM : choisir les bons réglages visuels pour Mortholme

La puissance brute du GPU n’est qu’un aspect de l’équation. La gestion de la VRAM détermine la capacité à maintenir des textures de haute densité et des caches d’ombres sans swapping. Les références recommandées, comme une RTX 3060 12 Go ou une RX 6700 XT, s’accordent bien avec des textures en « Ultra » et des distances d’affichage généreuses. En configuration minimale, les 6 à 8 Go de VRAM requièrent de hiérarchiser les options: textures et géométrie d’abord, puis effets secondaires.

L’occlusion ambiante, les ombres à cascade et les réflexions SSR s’additionnent rapidement. Dans The Dark Queen of Mortholme, les marécages et la forteresse de la Reine Noire utilisent des volumes de brume et des lumières contraintes, exigeant un budget GPU conséquent. Les compromis visuels les plus rentables consistent à réduire les cascades d’ombres et la qualité SSR plutôt que de toucher aux textures. Le FOV légèrement resserré allège aussi le coût sans trahir la mise en scène.

Ordre de priorité des options graphiques

Pour stabiliser 60 à 90 FPS en 1080p/1440p, un ordre de bascule clair aide à conserver l’identité artistique. Les réglages proposés ci-dessous s’inspirent d’une logique de rendement par point de performance. Le principe: bloquer d’abord les postes qui mangent la VRAM, ensuite ceux qui saturent les unités de shaders, et enfin les effets de post-traitement.

  • Textures: Ultra/Élevé si VRAM ≥ 10 Go, Moyen si 6-8 Go.
  • Ombres: Moyen avec cascades réduites; Ultra réservé aux cartes haut de gamme.
  • SSR (reflets écran): Moyen ou Faible dans les zones humides.
  • AO: Faible-Moyen pour gagner 5-10% de FPS.
  • Motion blur et film grain: désactivés pour la lisibilité.

Comparé à des titres compétitifs comme Rocket League ou des expériences coopératives comme Among Us, Mortholme se positionne davantage du côté des RPG ambiancés en monde semi-ouvert. Le GPU travaille en continu, d’où l’intérêt d’un refroidissement soigné et d’un power limit approprié. Les joueurs habitués à Warzone retrouveront une familiarité dans le calibrage des ombres et de l’AO pour stabiliser la métrique de frame time, essentielle au confort.

Pour visualiser le rendu et les compromis, une recherche vidéo de gameplay est utile afin de comparer plusieurs presets et analyser la stabilité des images. Observer les scènes nocturnes à Mortholme aide à voir la montée du bruit lorsque l’AO est trop bas, et l’impact des SSR sur les flaques en combat.

En synthèse, la morale est simple: privilégier la lisibilité et la cohérence visuelle, puis réallouer le budget GPU vers les textures et le LOD. Cette discipline maintient la personnalité visuelle du RPG tout en assurant la réactivité des combats.

Mémoire vive, stockage et chargements: l’alchimie invisible qui fluidifie l’aventure

La Mémoire vive agit comme l’atelier du mage: plus elle est spacieuse et rapide, plus les sorts s’enchaînent sans latence. Le minimum de 8 Go ouvre la porte, mais 16 Go constitue la zone de confort pour jongler avec le client Steam, un navigateur, la capture d’écran et des outils de chat vocal. Les kits 2×8 Go en dual channel apportent une régularité indispensable, surtout lors des voyages rapides entre les quartiers de la capitale où le jeu stream des ressources à la volée.

Le stockage, quant à lui, transforme la sensation de jeu. Un SSD NVMe réduit les chargements et attenue les micro-ralentissements lors des transitions de zones. The Dark Queen of Mortholme charge des bibliothèques de textures, des shaders compilés et des données de quêtes dynamiques; l’accès aléatoire rapide d’un SSD NVMe minimise ces frictions. Les HDD ont une latence perceptible, tolérable pour jouer, mais frustrante lors de sessions longues.

Pratiques recommandées pour RAM et disques

La stabilité passe par un entretien logiciel minutieux. Quelques actions simples assurent la cohérence de la mémoire et la santé du disque. Sur RAM, activer XMP/EXPO et vérifier les timings aide à garder des temps d’accès faibles. Sur stockage, laisser 15-20% d’espace libre sur le SSD évite la dégradation des performances et facilite la gestion de la file d’écriture.

  • 16 Go comme objectif pour RPG moderne; 32 Go pour mods lourds.
  • Dual channel impératif pour éviter une bande passante halved.
  • SSD NVMe prioritaire pour réactivité et shader cache.
  • Trim activé, firmware SSD à jour.
  • Espace libre ≥ 15% sur le SSD du jeu.

Le parallèle avec des titres aux mondes volumineux, comme Assassin’s Creed Valhalla, est instructif: plus le monde est dense, plus le sous-système disque se révèle stratégique. Les joueurs enclins à l’optimisation retiendront qu’un passage de 8 à 16 Go de RAM lisse les voyages rapides, et qu’un SSD NVMe modernise l’expérience globale sans changer la Carte graphique. Dernier point: penser au cache de shaders, en laissant le premier lancement compiler tranquillement pour éviter les saccades initiales. Le message final est clair: la magie opère lorsque RAM et SSD collaborent en coulisses.

Upscaling, framerate et affichage: viser la fluidité sans sacrifier l’identité artistique

Les technologies d’upscaling modernes deviennent centrales dans le PC Gaming. Le jeu propose des options de mise à l’échelle temporelle et spatiale compatibles avec la majorité des GPU récents. Dans un RPG d’Aventure exigeant, stabiliser la cadence à 60-90 FPS transforme l’expérience. L’upscaler interne, au même titre que DLSS, FSR ou XeSS sur d’autres titres, reconstruit les détails tout en allégeant la charge. L’important: choisir le mode adapté à la résolution, à la Carte graphique et au type d’écran.

En 1080p, un mode « Qualité » conserve de fins détails sur les textures d’armure et le feuillage de la Forêt de Givre. En 1440p, « Équilibré » offre un bon compromis, tandis que « Performance » se destine aux cartes modestes ou aux scènes extrêmes. Le V-Sync peut lisser l’image sur les écrans 60 Hz, mais les dalles à taux de rafraîchissement variable (G-Sync/FreeSync) fournissent une sensation plus naturelle en limitant latence et tearing.

Réglages d’écran et scalings recommandés

Pour la netteté, un sharpening modéré suffit; pousser trop haut introduit des halos sur les silhouettes des gargouilles. Un gamma légèrement relevé aide dans les catacombes, mais attention à ne pas effacer l’intention artistique. Les curseurs d’anti-aliasing deviennent alors un outil de finition. Enfin, caper la fréquence d’images au plafond de l’écran stabilise le frame pacing et évite le « wild oscillation » qui fatigue visuellement.

  • 1080p: Upscaler Qualité + cap à 60/90 FPS selon l’écran.
  • 1440p: Upscaler Équilibré, sharpen 10-20%.
  • VRR: activer G-Sync/FreeSync si disponible.
  • V-Sync: préférer VRR; sinon V-Sync ON + cap FPS.
  • AA: TAA + sharpen léger pour éviter l’aliasing temporel.

Le tableau suivant illustre l’impact des options les plus coûteuses. Cet outil guide des choix cohérents si l’objectif est la fluidité sans renoncer à la signature visuelle ténébreuse du titre.

OptionGain/perte de FPS (1080p)Commentaire
Ombres Ultra → Moyen+10 à +18%Peu visible en mouvement, gros impact CPU/GPU
SSR Élevé → Faible+6 à +12%Gagne en lisibilité sur sols mouillés
AO Élevé → Faible+5 à +10%Perte de micro-reliefs, acceptable en combat
Textures Ultra → Élevé0 à +3%Agit surtout sur la VRAM, visuel presque intact
Upscaler Off → Qualité+15 à +30%Gros levier, netteté à ajuster

Comparer avec d’autres jeux permet d’affiner la stratégie: l’équilibre entre finesse et performance vu sur Assetto Corsa et les réglages compétitifs détaillés pour Warzone inspirent des profils cohérents. L’axe à retenir: régulariser le frame time avant de poursuivre le pic d’images par seconde. La section suivante explore l’angle PC portable, où les mêmes principes s’appliquent sous contraintes thermiques.

PC portables vs tours: gérer la chaleur, l’alimentation et les compromis en mobilité

La tentation d’emporter Mortholme partout est réelle, mais la mobilité impose des limites physiques. Un PC portable gaming moderne avec une RTX 4060 Mobile ou équivalent peut atteindre des performances convaincantes, à condition de maîtriser la dissipation calorifique et la consommation. Les châssis minces montent vite en température; un refroidissement externe et une élévation du laptop améliorent l’apport d’air. En mode batterie, le TGP chute souvent, entraînant des yoyos de FPS et une latence accrue: jouer branché reste l’option sérieuse.

Les profils performance des fabricants influent grandement. Un mode « Turbo » débloque une marge de puissance, mais au prix d’un bruit accru. Les options de courbes de ventilateurs avancées permettent un compromis plus fin. Sur les tours, l’avantage est net: flux d’air optimisé, GPU à TDP plein, et latences mémoire légèrement meilleures selon la plateforme. Le choix n’est pas binaire; la mobilité excelle en 1080p équilibré, la tour garde l’ascendant en 1440p/Ultra.

Conseils concrets pour la mobilité

La gestion thermique dicte la stabilité. Repaste périodique, dépoussiérage et pads thermiques de qualité prolongent la santé des systèmes. Limiter l’undervolting à des valeurs stables réduit la consommation sans impacter la stabilité, idéal pour les longs raids nocturnes. Enfin, des hubs USB-C bien alimentés évitent les déconnexions de périphériques lors des combats.

  • Branché de préférence, mode performance activé.
  • Support ventilé pour abaisser 3-5°C en moyenne.
  • Undervolt léger et stable pour lisser le frame time.
  • Drivers GPU en version « Game Ready » ou équivalents.
  • Écran externe 1080p/144 Hz: confort en base.

Cette approche rappelle l’obsession de constance liquide nécessaire dans des racers techniques comme Assetto Corsa. Le fil d’Élyas souligne qu’une session sur laptop devient excellente dès lors que l’on vise 60 FPS stables et que l’on limite les pics thermiques. Pour approfondir visuellement la mobilité, une recherche vidéo de comparatifs d’optimisation sur portables gaming aide à valider les réglages.

Conclusion opérationnelle de la section: la mobilité réussit quand la chaleur est apprivoisée, que l’alimentation suit et que les attentes visuelles sont ajustées au format.

Installation Steam, pilotes et hygiène logicielle: préparer un terrain de jeu sans friction

Une Aventure épique commence par une base logicielle robuste. Sur Steam, vérifier l’intégrité des fichiers, autoriser l’application via le pare-feu et installer le redistribuable Visual C++ évite des crashs au lancement. Du côté GPU, préférer des pilotes axés Jeux vidéo (Game Ready ou Adrenalin optimisés) apporte des profils spécifiques, des optimisations shader et des correctifs de compatibilité. Laisser le premier démarrage compiler les shaders garantit ensuite un frame pacing mieux tenu.

Les conflits proviennent souvent d’overlays multiples (capture, messagerie, monitoring). Les conserver au strict nécessaire améliore stabilité et latence. Un antivirus paramétré pour exclure le dossier d’installation du jeu écarte les scans intempestifs en plein combat contre la Reine Noire. L’espace disque doit rester sain, et Windows à jour sur la branche stable, afin de profiter des optimisations de scheduler et de piles graphiques.

Check-list logicielle à cocher

Un plan simple en cinq minutes sécurise l’expérience sans transformations matérielles. Les étapes suivantes se combinent pour offrir des gains invisibles mais constants. L’objectif: réduire la variabilité et fiabiliser les chargements. Cela rejoint les bonnes pratiques valables pour des titres coopératifs comme Among Us ou des expériences exigeantes comme Death Stranding 2.

  • Intégrité Steam validée avant première session.
  • Pilotes GPU récents, profil jeu activé.
  • Overlays réduits au minimum utile.
  • Exclusion antivirus du dossier du jeu.
  • Windows Update et firmwares à jour.

Élyas a éliminé un micro-stutter récurrent en désactivant un overlay de capture et en excluant le répertoire du jeu: résultat, des combats plus lisibles et des déplacements nets dans les ruelles. En somme, l’hygiène logicielle est le socle souvent oublié d’une session sans friction.

Profils matériels type: du budget serré au setup ambitieux pour conquérir Mortholme

Composer une machine adaptée à The Dark Queen of Mortholme revient à équilibrer coûts et usages. Les profils ci-dessous visent une progression cohérente pour passer du minimum jouable à une expérience solide en 1440p. À chaque palier, le couple Processeur/Carte graphique reste harmonisé pour éviter les goulots d’étranglement, tandis que la Mémoire vive et le SSD assurent la réactivité.

En entrée de gamme, tirer parti du marché de l’occasion avec une GTX 1660 Super ou une RX 5600 XT ouvre la voie à un 1080p Medium stable. En milieu de gamme, une RTX 3060 12 Go ou RX 6700 XT offre un 1440p Élevé crédible. En haut de gamme raisonnable, la RTX 4070 assure une marge pour les scènes les plus chargées et pour maintenir un 90 Hz sur écran VRR.

Recommandations par usage

Plutôt que de lister des références figées, le plus utile consiste à raisonner par objectifs et à valider la montée en gamme en se comparant à d’autres jeux aux profils proches, comme Valhalla pour la densité, Fortnite pour la stabilité compétitive, ou MapleStory pour comprendre que tout titre n’a pas le même profil de charge.

  • 1080p 60 FPS: CPU 6C/12T + GPU 6-8 Go VRAM + 16 Go RAM.
  • 1440p 60-90 FPS: CPU 8C + GPU 10-12 Go VRAM + 16-32 Go RAM.
  • SSD NVMe: impératif pour des hubs sans saccades.
  • Alimentation: 80+ Gold, marge 20% pour pics.
  • Refroidissement: tour avec deux ventilateurs 140 mm en flux.

Les joueurs venant d’environnements différents trouveront des repères comparatifs sur des pages comme Rocket League pour la dimension e-sport, ou Assetto Corsa pour le souci de constance temporelle. Ligne directrice de la section: construire une machine avec des composants équilibrés est le chemin le plus court vers une Mortholme somptueuse et réactive.

Dépannage, bugs courants et bonnes pratiques de longévité

Même une configuration solide peut trébucher. Quelques symptômes reviennent: micro-saccades lors des changements de zone, crash au lancement, textures qui poppent tardivement, ou freezes brefs pendant les boss. Ces signaux résultent souvent de pilotes obsolètes, de caches corrompus ou d’overclocks douteux. La première étape consiste à repasser en paramètres par défaut, puis à réactiver les optimisations une par une, en surveillant la stabilité.

Le cache shader, lorsqu’il est effacé puis reconstruit après une mise à jour de pilotes, résout de nombreux stutters. Les overlays multiples et les enregistrements en arrière-plan peuvent provoquer des surcoûts CPU et disque. En cas de crash au logo, vérifier Visual C++ redistribuable et DirectX est un réflexe payant. Enfin, les mods et reshades exigent une discipline: les installer progressivement, et tester le jeu nu pour identifier les conflits.

Plan d’action en cas de problème

La méthode structurée gagne du temps. Lister les actions puis remonter la chaîne des causes conduit rapidement à un système sain. Les comparatifs de configuration d’autres titres récents, comme Death Stranding 2, montrent que des correctifs de pilotes résolvent souvent des bugs partagés.

  • Drivers propres: DDU si nécessaire, puis réinstallation.
  • Cache shaders: purge + reconstruction au premier lancement.
  • OC/UV: revenir stock pour tester la stabilité.
  • Fichiers Steam: vérifier l’intégrité après crash.
  • Mods: désactiver tous, réactiver un par un.

Un dernier conseil de longévité: dépoussiérer le PC chaque trimestre, vérifier les températures en charge et ajuster les courbes de ventilateurs. Cette routine prolonge la vie du matériel tout en garantissant une Mortholme fidèle à sa promesse: sombre, majestueuse et fluide. Le leitmotiv: prévenir vaut mieux que guérir, surtout lorsqu’un siège contre la Reine Noire approche.

Questions fréquentes sur la configuration PC de The Dark Queen of Mortholme

Une GTX 1060 6 Go suffit-elle pour jouer confortablement en 1080p ?

Oui, avec des réglages Moyen et des ombres/AO réduits, l’objectif 45-60 FPS est réaliste. Activer un upscaler en mode Qualité et utiliser un SSD aide à stabiliser les chargements.

16 Go de Mémoire vive apportent-ils un vrai plus par rapport à 8 Go ?

Absolument. Passer à 16 Go évite la pression sur le swap, améliore les voyages rapides et la stabilité lorsque Steam, le chat vocal et un navigateur tournent en parallèle.

Faut-il privilégier la Carte graphique ou le Processeur pour ce RPG ?

Les deux comptent, mais en 1080p/1440p, la Carte graphique pèse le plus sur les FPS. Un Processeur 6 cœurs/12 threads suffit largement si les drivers et la RAM sont bien réglés.

Le jeu tourne-t-il bien sur un PC portable milieu de gamme ?

Oui, branché au secteur, avec un mode performance et des réglages Moyen/Élevé en 1080p. Un support ventilé et des pilotes à jour sont fortement recommandés.

Un HDD classique pose-t-il problème ?

Le jeu fonctionne, mais un SSD NVMe offre une expérience bien plus fluide, notamment dans les hubs et lors des voyages rapides. C’est l’upgrade prioritaire si le budget est limité.

Relevez la bannière, domptez vos réglages, et que Mortholme s’ouvre à vous: aucune reine des ombres ne résiste à un PC prêt au combat.

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Clara

Passionnée par les univers vidéoludiques depuis l'enfance, je partage aujourd'hui mes découvertes, analyses et coups de cœur en tant que journaliste jeux vidéo. Toujours prête à tester les dernières nouveautés ou à explorer les pépites indépendantes, je mets un point d'honneur à transmettre ma curiosité et mon enthousiasme aux lecteurs.

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