Borderlands 4 arrive avec un double enjeu pour les joueurs PC : respecter une configuration solide pour encaisser l’Unreal Engine 5 et viser des performances multijoueur stables en crossplay. Entre Lumen, Nanite et un arsenal plus extravagant que jamais, la fiche technique donne le tempo : processeur costaud, GPU moderne et stockage SSD en standard. Les studios à l’origine du chaos, Gearbox Software et l’éditeur 2K (souvent référencé par les joueurs comme K Games), visent une expérience cohérente du 1080p au 4K, avec une emphase claire sur la VRAM et la bande passante. Les détenteurs de configurations NVIDIA, AMD et Intel doivent calibrer chaque option graphique, tandis que l’optimisation réseau conditionne les raids coop. Ce guide détaille les exigences minimales et recommandées, des scénarios d’usage concrets aux réglages Windows, en passant par des conseils d’upgrade ciblés. L’objectif est simple : garantir un framerate constant, un ping maîtrisé et un loot fluent, que l’on joue sur Steam ou Epic Games Store.
Profil | Processeur | Carte graphique | RAM | Stockage | OS | Notes |
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Configuration minimale | Intel Core i7-9700 / AMD Ryzen 7 2700X | NVIDIA RTX 2070 / AMD RX 5700 XT (8 Go VRAM) | 16 Go | 100 Go sur SSD | Windows 10 64-bit ou ultérieur | Réglages bas/moyens en 1080p, TSR recommandé |
Configuration recommandée | Intel Core i7-12700 / AMD Ryzen 7 5800X | NVIDIA RTX 3080 / AMD RX 6800 XT (10–16 Go VRAM) | 32 Go | 100 Go sur SSD NVMe | Windows 10 64-bit ou ultérieur | 1440p élevé/ultra, 4K via DLSS/FSR, VRR conseillé |
Configuration requise et configuration recommandée pour Borderlands 4 sur PC
Borderlands 4 exploite l’Unreal Engine 5, et cela se ressent dans la structure des recommandations matérielles. La configuration minimale met la barre à un Core i7-9700 ou un Ryzen 7 2700X, épaulés par une RTX 2070 ou une RX 5700 XT avec 8 Go de VRAM, plus 16 Go de RAM. L’objectif : tenir les 60 ips en 1080p avec des réglages bas à moyens et un upscaler actif. Le SSD n’est pas facultatif : le monde de Kairos charge en continu.
La recommandation vise un Core i7-12700 ou Ryzen 7 5800X, couplé à une RTX 3080 ou une RX 6800 XT, et 32 Go de RAM. Cette base autorise un 1440p élevé/ultra fluide, voire une 4K confortable si l’on active DLSS ou FSR. La marge de VRAM (10–16 Go) absorbe les textures haute définition, la densité de particules et les effets volumétriques.
Sur le plan pratique, la charge CPU suit les scripts de combat et les foules, avec des pics lors des assauts. Les CPU Intel hybrides (Alder Lake et au-delà) bénéficient d’un scheduling plus fin, tandis que les AMD Ryzen récents profitent d’un cache et de fréquences stables. Côté GPU, la rasterisation reste clé, mais l’upscaling et le temps d’ombre ont un impact majeur.
- À privilégier : SSD NVMe, 32 Go de RAM en dual-channel, GPU 10+ Go de VRAM.
- À surveiller : température GPU (
- À mettre à jour : pilotes NVIDIA/AMD, microcode BIOS, Windows et DirectX 12.
Pour situer l’exigence, comparez aux fiches d’autres titres récents. Les besoins approchent ceux de jeux vastes et denses. Utile pour se repérer : Monster Hunter Wilds, Warzone ou encore Fortnite en ray-tracing. La cohérence des spécifications indique que Gearbox Software anticipe une expérience multiforme, du butin solo aux raids à 4 en crossplay.
Ce que l’UE5 change pour les exigences matérielles
Lumen multiplie les rebonds de lumière et nécessite un budget GPU stable ; Nanite charge des géométries massives sans pop-in, mais veut de la bande passante. Les systèmes de foule et de physique mettent le CPU à contribution lors des combats de boss. En 2025, ces modules sont mieux optimisés, mais le 4K natif sans upscaler reste l’apanage des GPU haut de gamme.
- 1080p : raster + upscaler équilibré, textures en haut si VRAM disponible.
- 1440p : Lumen en moyen/haut, ombres en haut, visibilité maximale.
- 4K : DLSS/FSR en qualité, cibles 60–90 ips selon scènes et trafic réseau.
Retenir l’essentiel : la recommandation n’est pas superflue, elle est calibrée pour absorber les pointes d’activité réseau et les explosions d’effets, signature de la série.
Voici la configuration PC requise pour mener à bien votre quête et trouver le coffre-fort
Le passage de Pandore à Kairos bouscule le cahier des charges. Les configurations types ci-dessous couvrent trois profils : entrée 1080p, confort 1440p et ambition 4K. Les marques partenaires (ASUS, MSI) proposent des designs de refroidissement efficaces qui maintiennent les fréquences et donc la stabilité des ips.
Pour un 1080p robuste, un combo Ryzen 5 5600 ou Core i5-11400F avec une RTX 3060 12 Go ou RX 6600 XT suffit, à condition d’accepter un Lumen moyen et un upscaler actif. En 1440p, un Ryzen 7 5800X3D ou Core i5-12600K associé à une RTX 4070 ou RX 7800 XT offre une bonne marge. Pour la 4K, viser une RTX 4080 Super ou une RX 7900 XTX stabilise l’image avec DLSS/FSR en mode Qualité.
- Boîtiers ventilés : privilégier des châssis airflow (ex. ASUS TUF, MSI MAG) pour limiter le throttling.
- RAM : 32 Go en DDR4 3200 CL16 ou DDR5 6000 CL36, profil XMP/EXPO activé.
- Stockage : SSD NVMe 1 To, avec 20 % d’espace libre pour la mise en cache de shaders.
Exemple concret avec l’équipe “Escouade Kairos” : deux joueurs sur PC fixes et deux sur portables. La tour équipée d’une RTX 3080 tient le 1440p élevé avec DLSS Qualité entre 90 et 120 ips. Le portable MSI avec une RTX 4070 Laptop GPU vise 1080p très élevé à 100 ips, aidé par un mode turbo et une plaque de refroidissement. L’ASUS ROG Strix, doté d’une RX 7600S, maintient 80 ips en 1080p élevé avec FSR.
- Écrans : 1440p/165 Hz FreeSync ou G-SYNC Compatible, LFC pour lisser les variations.
- Périphériques : souris légère 60–70 g, capteur 26K DPI, clavier linéaire, casque fermé pour les appels.
- Réseau : Ethernet 1 Gbit, Wi‑Fi 6/6E en secours, QoS activé sur le routeur.
Pour comparer avec d’autres titres et dimensionner le PC, ces références sont utiles : GTA V (guide complet), Rocket League et Crusader Kings III. L’éventail illustre bien la différence entre jeux CPU-bound, physiques intenses et shooters modernes.
L’idée force : calibrer le PC sur le 1440p avec marge et activer l’upscaler en 4K pour garder des combats lisibles.

Borderlands 4 Configuration requise : Pouvez-vous l’exécuter sur votre machine actuelle ?
Déterminer la compatibilité ne se résume pas à aligner des chiffres. Un test rapide s’appuie sur la VRAM, la RAM, la fréquence CPU en charge et la vitesse du SSD. Les machines proches de la minimale (i7‑9700/R7 2700X + RTX 2070/RX 5700 XT) devront viser un 1080p avec upscaler, textures en élevé si 8 Go de VRAM sont libres.
Première étape : vérifier l’environnement logiciel. Un Windows à jour, des pilotes NVIDIA/AMD fraîchement installés et DirectX 12 activé garantissent un compilateur de shaders plus efficace. Sur portable, un mode performance verrouille les fréquences, tandis qu’un plan d’alimentation « Performances élevées » évite les micro-chutes.
- Monitoring : MSI Afterburner, HWiNFO pour traquer la VRAM, la charge GPU et le frametime.
- Nettoyage : vider le cache des shaders après une mise à jour majeure, fermer les overlays superflus.
- Drivers : passer sur les Game Ready (NVIDIA) ou Adrenalin optimisés (AMD) le jour du patch.
Sur Steam ou Epic Games Store, l’installation sur un SSD NVMe réduit les pop-ins et les temps de respawn. En cas de doute, un réglage “prêt à jouer” visant 60 ips procure une base saine. L’Escouade Kairos, citée plus haut, a fixé une limite à 120 ips en G-SYNC Compatible pour supprimer le tearing, ce qui profite aux duels en arène.
- Prioriser : résolution interne et ombres avant les reflets, car la lisibilité prime.
- Éviter : l’ultra systématique en 1080p sur GPU 8 Go, risque de stutter VRAM.
- Astuce : profil ventilateurs agressif pour traverser les vagues d’effets sans throttling.
Besoin d’exemples comparatifs pour jauger ? Parcourir d’autres fiches techniques aide à se situer : inZOI pousse fort sur CPU/GPU, BODYCAM illustre la lourdeur des effets, et Lost Soul Aside donne un repère UE4/UE5 hybride. À la clé, une décision éclairée pour reporter, upgrader ou ajuster les options.
Conclusion pratique : si la VRAM dépasse 90 % en combat, baissez textures ou distance de streaming avant toute autre chose.
Multijoueur Borderlands 4 : performances, ping et stabilité en crossplay
Le multijoueur coopératif à quatre est le cœur battant de l’expérience. Les combats de boss et les événements instanciés concentrent trafic réseau, scripts et effets, d’où l’importance d’un ping serré. En LAN virtuel, un ping de 20 ms paraît idéal ; en public, viser 30–60 ms stabilise les entrées et réduit les désynchronisations. Au-delà, les fenêtres d’invulnérabilité et les projectiles demandent davantage de compensation côté client.
Le crossplay attendu entre PC et consoles repose sur une architecture serveurs/clients modernisée. Les mécanismes anti-triche infligent un léger overhead, mais mieux vaut un paquet contrôlé que des lobbies ingérables. Sur routeur domestique, activer QoS, désactiver UPnP non nécessaire et préférer l’Ethernet limitent les spikes. La Wi‑Fi 6/6E reste viable si le spectre est propre.
Qualité réseau | Ping typique | Expérience coop | Conseils |
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Excellente | 15–30 ms | Entrées réactives, hitreg fiable, voix claire | Ethernet, routeur récent, latence buffer faible |
Correcte | 30–60 ms | Rare micro-rollbacks, coop stable | QoS activé, Wi‑Fi 6, éviter téléchargements parallèles |
Fragile | 60–100 ms | Compensation visible, timings de compétences à anticiper | Limiter devices, changer de canal, vérifier câblage |
À risque | > 100 ms | Rollbacks, désyncs, voix hachée | VPN off, NAT ouvert, test FAI, migration de lobby |
Les périphériques audio influent sur la coordination. Un casque fermé avec réduction passive améliore l’intelligibilité des appels. À quatre, l’assignation de rôles réduit les overlaps d’animations et rend la charge serveur plus prévisible. Le matchmaking “compétences et équipement” apporte également de la cohérence au tick.
- Checklist : Ethernet > Wi‑Fi, QoS, NAT ouvert, pas d’overlays excessifs.
- Surveillance : onglet netgraph en jeu, compteur de paquets perdus, jitter.
- Réglages : limiter ips à 120 si CPU modeste pour stabiliser frametime + réseau.
Si l’équipe est dispersée géographiquement, choisir un centre de données à mi-chemin fait souvent gagner une classe de ping. En clair : optimiser le réseau vaut parfois un upgrade CPU mineur.
Réglages graphiques Windows optimisés: 1080p, 1440p et 4K sans stutter
La bonne stratégie consiste à verrouiller d’abord la stabilité, puis à maximiser la qualité visuelle. Sous Windows, désactiver la barre de jeu et les superpositions non indispensables limite l’injection d’overlay. Un mode plein écran exclusif sur écran VRR (ASUS, MSI et autres) synchronise les rafraîchissements sans tearing.
Dans les options, commencer par le preset “Élevé”, fixer l’objectif ips (60, 90 ou 120) et ajuster Lumen, les ombres et la distance. Les textures doivent suivre la VRAM disponible ; au‑delà de 90 %, le système pagine et introduit des saccades. Le streaming de géométrie, très sollicité par Nanite, profite d’un SSD rapide.
- Priorité 1 : upscaler (DLSS/FSR/XeSS) en “Qualité” ou “Équilibré”.
- Priorité 2 : ombres sur “Haut”, post-process en “Moyen-Haut”.
- Priorité 3 : densité de foule et effets selon capacité CPU/GPU.
Pour l’Escouade Kairos, un réglage type 1440p élevé avec DLSS Qualité, Lumen Haut, Nanite actif et ombres Haut stabilise 100–120 ips sur RTX 3080. En 4K sur RX 7900 XTX, FSR 2 Qualité, Lumen Moyen et reflets modérés maintiennent 90 ips en moyenne. Les scènes urbaines denses imposent parfois un cap à 90 ips pour lisser le frametime.
- 1080p ciblé : textures Très Haut si 8–12 Go VRAM, TSR actif, visibilité maximale.
- 1440p ciblé : DLSS/FSR Qualité, Lumen Haut, SSAO élevé, foliages moyens.
- 4K ciblé : upscaler Qualité, Lumen Moyen, ombres Haut, motion blur faible.
Point clé : viser un frametime régulier compte plus que le pic d’ips. La fluidité se ressent sur chaque glissade et chaque critique.
Matériel conseillé: tours, portables gaming et écrans adaptés à Borderlands 4
Les cartes graphiques custom ASUS et MSI se distinguent par leur refroidissement et leur acoustique, ce qui aide à tenir des fréquences boost prolongées dans les zones à effets lourds. Un design à trois ventilateurs avec chambre à vapeur et pads thermiques soignés peut gagner 3–5 % d’ips en charge continue par rapport à un modèle d’entrée de gamme.
Sur portable, les variantes “Laptop GPU” imposent un TGP variable. Les châssis épais avec double ventilateur et caloducs dimensionnés tiennent mieux la cadence. Brancher l’adaptateur secteur, activer le mode performance et utiliser une plaque ventilée constituent un trio de base pour les longues sessions.
- Tours : airflow avant/haut, AIO 240/360 mm pour CPU > 125 W, filtre anti-poussière.
- Portables : Wi‑Fi 6E, RAM dual‑channel, SSD NVMe Gen4, écran 240 Hz 1080p ou 165 Hz 1440p.
- Écrans : 27” 1440p 165 Hz VRR, ou 32” 4K 120–144 Hz pour un rendu cinématographique.
Pour les périphériques, un casque fermé réduit les bruits d’environnement et une souris légère favorise les flicks. Un clavier à interrupteurs linéaires fluidifie l’exécution des compétences. Les fauteuils ergonomiques limitent la fatigue lors des raids prolongés, surtout quand la chasse aux coffres s’éternise.
- Audio : scène sonore précise, micro cardioïde, monitoring latence faible.
- Clavier : touche macro pour compétences, anti‑ghosting complet.
- Souris : 800–1600 DPI en jeu, capteur moderne, pied PTFE.
Pour l’entraînement mécanique entre deux sessions, certains titres restent pertinents pour la visée et le positionnement : Fortnite pour l’aim tracking, Rocket League pour la lecture des trajectoires, ou même MapleStory pour l’endurance combo. Oui, l’écosystème compte.
En synthèse, investir d’abord dans l’affichage et la stabilité thermique apporte souvent plus que viser la « plus grosse » carte sans VRR ni airflow.
Écosystème logiciel, compatibilité et plateformes: Steam, Epic Games Store et Windows
Borderlands 4 sera disponible sur Steam et Epic Games Store, avec sauvegardes cloud et matchmaking crossplay annoncés. Côté Windows, la compatibilité repose sur DirectX 12, Visual C++ à jour et pilotes graphiques récents. Les overlays et injecteurs tiers peuvent interférer avec les anti‑triches ; limiter leur usage en multijoueur maximise la stabilité.
La philosophie de Gearbox Software est claire : un PC bien entretenu vaut mieux qu’un PC surpuissant mal configuré. Nettoyer le dossier temporaire, vérifier l’intégrité des fichiers, garder 20 % de SSD libre améliorent les temps de chargement. Sur compte partagé, penser aux profils distincts pour éviter des conflits de réglages.
- Gestion : mises à jour planifiées, redémarrage hebdomadaire, pare-feu propre.
- Contrôle : monitoring en overlay hardware, pas de double superposition.
- Restauration : point de restauration avant gros patch, sauvegardes cloud vérifiées.
Les joueurs curieux de benchmarks et de tendances peuvent consulter d’autres configurations pour contextualiser leurs choix. À titre d’exemple, les pages Call of Duty: Warzone et Monster Hunter Wilds offrent des références utiles. Pour sortir des shooters, Crusader Kings III rappelle qu’un jeu “CPU‑centric” implique d’autres arbitrages.
- Anticiper : espace disque pour DLC, pack textures HD, shaders.
- Synchroniser : cross-progression, comptes reliés, paramètres réseau cohérents.
- Communiquer : patch notes via client, notes de compatibilité pilotes.
Conclusion d’écosystème : un environnement sain et des mises à jour coordonnées valent autant que 5 % d’ips supplémentaires.
Guides de réglages avancés: DLSS, FSR, XeSS et limites d’images utiles
Trois piliers optimisent l’expérience : l’upscaler, la limite d’ips et le VRR. NVIDIA DLSS, AMD FSR et Intel XeSS s’alignent sur la même logique : mieux vaut un mode “Qualité” avec sharpening modéré que “Performance” qui dégrade trop la micro‑lisibilité. La limite d’ips calée sur 3–5 % sous la fréquence maximale maintient un frametime plat et soulage le réseau.
Dans les scènes de poussière et d’explosions, la reconstruction temporelle absorbe les variations. La netteté dépend du filtrage et d’un léger post-sharpening. En 4K, un mode Qualité suffit souvent ; en 1440p, l’Équilibré gagne des ips sans briser la finesse. Attention à la profondeur de champ et au motion blur, qui affectent la perception des projectiles et des télégraphies.
- DLSS (RTX) : stabilité, anti‑aliasing supérieur, coût modéré.
- FSR (large compatibilité) : bon compromis, réglage sharpening crucial.
- XeSS (Arc, mais universel) : alternative propre, utile en 1440p.
Le cap d’ips est stratégique en coop. À quatre, viser 90–120 ips réduit le temps de réaction perçu et évite la surchauffe GPU. Les écrans modernes ASUS/MSI avec VRR et faible temps de réponse finalisent la chaîne de fluidité. Côté CPU, l’équilibre entre threads et fréquence prime lors des vagues ennemies.
- Cap recommandé : 120 ips en 1440p, 90 ips en 4K, 60 ips minimal en 1080p.
- Sharpen : 10–20 % selon l’écran, éviter la suraccentuation.
- Reflets : mode moyen sans RT pour gagner de la marge réseau/CPU.
À retenir : la qualité perçue vient d’un pipeline homogène plus que d’un seul paramètre isolé.
Étude de cas: scénarios de performances et estimations sur plusieurs profils PC
À partir des spécifications officielles et des tendances de l’UE5 en 2024–2025, voici des estimations réalistes pour Borderlands 4 en campagne et en coop. Elles servent de boussole pour ajuster sans tâtonner. La densité d’ennemis et les boss à phases multiples constituent les pires cas typiques.
Profil minimal “renforcé” (i7‑9700 / RTX 2070, 16 Go, SSD) : avec TSR ou FSR en qualité, 1080p mix moyen/haut, textures haut, ombres moyen, Lumen moyen. En solo, 70–90 ips hors villes ; en coop, 60–75 ips si le ping est sous 60 ms. Baisser légèrement la densité d’effets stabilise le frametime lors des ultimes.
- Réglage clef : limiter à 75–90 ips, VRR actif.
- Gain rapide : réduire les foliages, compenser par un sharpening léger.
- Risque : saturation VRAM sur textures Très Haut, à éviter.
Profil recommandé 1440p (i7‑12700 / RTX 3080, 32 Go, NVMe) : DLSS Qualité, Lumen haut, Nanite actif, ombres haut, SSAO élevé. En solo, 100–140 ips ; en coop, 90–120 ips selon scènes. Les combats multi-factions restent fluides avec un cap à 120 ips et un routeur QoS.
- Réglage clef : visibilité au maximum pour track des projectiles.
- Gain rapide : reflets moyens au lieu d’élevés.
- Risque : CPU bound ponctuel en zones denses, réduire densité foule.
Profil 4K ambitieux (Ryzen 7 7800X3D / RX 7900 XTX ou RTX 4080 Super) : FSR/DLSS Qualité, Lumen moyen/haut, ombres haut. En solo, 90–120 ips ; en coop, 80–100 ips via cap à 96 ips. Un écran 4K 120 Hz VRR fait la différence dans les pics d’effets.
- Réglage clef : cap à 96–100 ips pour garder marge thermique.
- Gain rapide : post-process moyen, Bokeh light réduit.
- Risque : RT optionnel à activer avec parcimonie.
Comparaison utile avec d’autres pages de configuration pour peaufiner : GTA V pour le CPU-bound, Monster Hunter Wilds pour l’open world, et BODYCAM pour le coût des effets.
Conclusion terrain : une cible d’ips maîtrisée vaut mieux qu’une course au “max setting” surévaluée.
Vérifications finales avant lancement: pilotes, BIOS, réseaux et bonnes pratiques
Avant l’atterrissage sur Kairos, une check-list de fiabilité s’impose. La chaîne logicielle commence par les pilotes NVIDIA ou AMD du jour et un BIOS à jour pour les plateformes récentes. Sur Windows, les services en arrière-plan doivent être élagués, et la planification d’énergie fixée sur “Performances élevées”.
Côté réseau, l’Ethernet reste roi. Un test de débit/jitter, le NAT ouvert et la QoS activée attribuent la priorité au jeu. En Wi‑Fi, privilégier 5 GHz/6 GHz, canaux peu encombrés et beamforming. La voix passe mieux en Opus 48 kHz qu’en codecs compressés, surtout avec quatre coéquipiers.
- Mises à jour : GPU, chipset, audio, réseau, redistribuables VC++.
- Stockage : 100 Go libres + marge, TRIM actif, indexation réduite.
- Stabilité : stress test léger (OCCT 10 min), monitoring en jeu.
Sur la partie sécurité, mieux vaut éviter les overlays multiples, limiter les hooks et vérifier les exceptions pare-feu pour Steam/Epic Games Store. L’anti‑triche apprécie la sobriété. Un point de restauration système avant patch majeur épargne bien des sueurs froides en cas d’incompatibilité.
- Audio/VoIP : push-to-talk assigné, seuil anti‑bruit ajusté.
- Thermique : courbes ventilateurs personnalisées, poussière retirée.
- Énergie : pas de plan “Équilibré” sur portable en session multijoueur.
Dernier mètre décisif : tester une mission courte en privé pour valider frametime et ping avant les raids publics. Chaos maîtrisé, loot assuré.
Questions fréquentes
Mon PC avec 16 Go de RAM et une RTX 2070 peut-il jouer en 1440p ?
Oui, en 1440p avec un upscaler (DLSS/FSR) en mode Équilibré et des réglages moyens/hauts, mais le 1080p élevé restera plus stable en coop intense.
Faut-il absolument un SSD NVMe pour Borderlands 4 ?
Un SSD SATA fonctionne, mais le NVMe réduit le stutter de streaming et accélère les chargements. C’est l’un des meilleurs upgrades “ressenti” pour ce jeu.
Le crossplay influe-t-il sur les performances PC ?
L’impact direct est minime. En revanche, la qualité réseau (ping, jitter) conditionne fortement la fluidité perçue et la précision des hits en coop.
32 Go de RAM apportent-ils un gain réel face à 16 Go ?
Oui, surtout en 1440p/4K avec textures hautes et tâches en arrière-plan. Les frametimes sont plus réguliers, notamment en multijoueur.
Steam ou Epic Games Store : y a‑t‑il une différence de performances ?
Non, le moteur est identique. Les performances dépendent surtout des pilotes, des réglages et de l’état de votre installation Windows.
Borderlands 4 n’attend pas votre machine : préparez-la, verrouillez vos réglages, et que le chaos vous trouve prêt.