12 septembre 2025
découvrez les exigences pc pour jouer à terminator 2d : configuration minimale, recommandée et conseils pour une expérience de jeu optimale sur votre ordinateur.

Terminator 2D: No Fate : Exigences matérielles et optimisation des performances sur PC

Entre hommage à l’arcade et modernité logicielle, Terminator 2D: No Fate transpose l’intensité du film culte dans un jeu vidéo au pixel art tranchant, pensé pour tourner sur un large éventail de configurations PC. Les exigences matérielles officielles fixent la barre très bas côté stockage et RAM, tout en surprenant par le choix d’un processeur minimum inhabituel pour un titre 2D. Ce guide technique détaille les leviers d’optimisation des performances, du rendu « pixel-perfect » en 1080p à l’upscaling 4K, en passant par la gestion du VRR et l’écrêtage d’images pour une latence minimale. Les joueurs à l’équipement modeste comme ceux équipés d’une carte graphique récente trouveront des réglages adaptés, des matrices d’impact visuel/FPS et des checklists concrètes. L’objectif est clair : obtenir une fluidité exemplaire tout en respectant l’intention artistique. Des liens comparatifs d’autres titres PC permettent de situer les besoins de No Fate, tandis que des profils concrets illustrent les gains réels sur machines d’entrée, milieu et haut de gamme.

🔧 Paramètre🟢 Minimum (officiel)🔵 Recommandé
CPU ⚙️Intel Core i5‑12400TNon communiqué
Carte graphique 🎮ATI FireGL V7350Non communiqué
RAM 🧠4 GoNon communiqué
Espace disque 💾1 GoNon communiqué
OS 🖥️Windows 10 21H1+Non communiqué
Compatibilité 🌐Windows / macOS Big Sur / Ubuntu 22.04+

Terminator 2D: No Fate sur PC : configuration décortiquée et implications concrètes

Les spécifications minimales dévoilent une orientation atypique pour un jeu 2D : un processeur Intel Core i5‑12400T, six cœurs performants sur architecture Alder Lake, souvent associé à des PC sobres en énergie. L’énoncé laisse entendre un moteur exigeant côté simulation, IO ou graphismes pilotés via API modernes, malgré des sprites et tuiles en pixel art. À l’opposé, la carte graphique requise, une ancienne ATI FireGL V7350, signale une compatibilité large, l’accélération 2D/3D basique suffisant au rendu.

Traduction pratique : les GPU modestes et iGPU contemporains (UHD, Vega intégrés) devraient afficher le jeu confortablement en 1080p, tandis que le CPU minimum, élevé, garantit une marge pour les scripts, la physique, l’audio et les systèmes. 4 Go de RAM et 1 Go d’espace disque font de No Fate un invité léger sur SSD, parfait pour les machines compactes ou les setups secondaires.

Un joueur type, appelons-le Bastien, dispose d’un portable bureautique sous Windows 11, i5 U de 12e génération, iGPU Intel. Sur ce profil, des réglages prudents (V-Sync, cap 60 FPS, scaling integer) livrent une expérience nette et stable, à condition de verrouiller les processus en arrière-plan. Sur une tour milieu de gamme avec GTX 1650, passer en 144 Hz devient envisageable via VRR.

  • Ce qui compte le plus : latence d’entrée, stabilité des frametimes, respect du pixel ratio 🎯
  • 🧪 À tester en priorité : V-Sync adaptatif, limiteur de FPS, mode exclusif plein écran ⚡
  • 🧰 Outils utiles : overlays de performance, compteurs d’images, capture de traces DXGI 🧩
  • 💡 Astuce SSD : activer le cache écriture et TRIM pour réduire les micro-hésitations 📈

Pour situer ces besoins parmi d’autres titres, les comparatifs généralistes restent utiles. Des guides tels que configuration minimum PC jeu ou encore des fiches ciblées comme Flight Simulator 2024 et Borderlands 4 aident à estimer la marge de votre machine.

Conclusion opérationnelle : même si la barrière CPU annoncée surprend, l’empreinte mémoire et disque mince et l’accessibilité GPU confirment un jeu PC pensé pour tourner partout, pourvu que l’exécution soit optimisée.

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Optimisation des performances PC pour Terminator 2D: No Fate : de 60 à 144 Hz sans tearing

La majorité des soucis de fluidité sur les jeux 2D modernes ne viennent pas du GPU saturé, mais du CPU limité par le scheduling, des frametimes irréguliers ou d’un mauvais appairage V-Sync/VRR. La priorité sur No Fate consiste à stabiliser les temps d’image et réduire la latence d’entrée pour que la réponse aux tirs et esquives reste instantanée, même dans les arènes chargées.

Trois piliers guident l’optimisation : limiter l’oscillation des FPS, verrouiller le rythme de rendu, et éviter la sur-synchronisation. Sur un écran 60 Hz sans FreeSync/G‑Sync, la V‑Sync « on » + limiteur à 60 FPS fonctionne bien si la machine tient ce plafond. Avec VRR, désactiver V-Sync côté jeu et plafonner à la fréquence de l’écran moins 2 FPS fluidifie tout en abaissant la latence.

Réglages essentiels pour un rendu net et réactif

Un pipeline sain commence par le mode plein écran exclusif, qui donne la main au pilote pour gérer la file de rendu et le VRR. L’anisotropie, le filtrage bilinéaire et la mise à l’échelle doivent préserver le « pixel-perfect » : opter pour un scaling par multiples entiers quand c’est possible, et éviter les filtres trop doux.

  • 🖱️ Latence : réduire le pré-rendu (NVIDIA Low Latency, Radeon Anti-Lag) ⚡
  • 🧭 Cap FPS : n-2 sous 60/120/144, selon l’écran 🎯
  • 🧩 VRR : activer FreeSync/G‑Sync compatible si disponible 🔁
  • 🧹 Nettoyage : fermer overlays lourds, apps d’OSD, navigateur avec onglets vidéo 🧽
  • 🔌 Alimentation : plan « performances élevées », désactiver l’éco sur portables 🔋

Les pilotes récents corrigent souvent les spikes de CPU/GPU. Une mise à jour propre (DDU si nécessaire) peut faire gagner jusqu’à 5–10 % de stabilité sur le frametime. Sur iGPU, la mémoire partagée bénéficie d’une RAM en double canal; passer de 8 à 16 Go améliore l’iGPU sans changer de carte graphique.

Pour illustrer, Bastien jouait à 75 Hz sur un moniteur FreeSync. En plafonnant à 73 FPS, désactivant la V‑Sync du jeu et activant le VRR au niveau du pilote, les micro-saccades ont disparu. Le passage en plan d’alimentation « performances élevées » et la désactivation de l’économiseur de CPU en arrière-plan ont supprimé les baisses sporadiques sous 60 FPS lors des scènes avec particules.

  • 🧠 Tip mémoire : sur 4 Go de RAM, éviter les apps Electron et lancer No Fate en priorité haute 🧱
  • 🧪 Monitoring : RivaTuner pour cap FPS, MSI Afterburner pour volt/freq GPU, Perfmon pour E/S disque 📊
  • 🧯 Anti‑stutter : activer le mode jeu Windows et désactiver la barre Xbox si utile 🧰

Ce socle d’optimisation permet d’accueillir la section suivante sur l’impact du processeur et des threads dans un moteur 2D contemporain.

Processeur et threads : pourquoi un i5‑12400T en minimum pour un jeu 2D

Le choix d’un processeur Intel Core i5‑12400T en configuration minimale surprend au premier regard. Pourtant, le cœur d’un jeu 2D actuel ne se limite plus au rendu : scripts d’IA, collisions, audio spatial, streaming de ressources, logique réseau éventuelle et télémetrie de performance sollicitent la CPU. Un six cœurs modernes assure des frametimes stables, évitant l’effet « frame pacing » irrégulier perceptible à l’œil même à 60 FPS.

L’architecture Alder Lake s’appuie sur de gros cœurs performants et, sur d’autres modèles, des cœurs efficients. Même si le 12400T n’embarque que des P‑cores, le scheduler de Windows 10 21H1+ gère mieux les priorités, assignant la logique du moteur sur les cœurs les plus rapides. Le T suffix évoque un TDP réduit; cela ne signifie pas faiblesse, mais une courbe fréquences/tensions optimisée pour l’efficacité, souvent idéale pour des PC silencieux et stables.

Paramètres CPU à surveiller pour No Fate

La priorité est de garantir la constance des fréquences sous charge. Les portables abaissent parfois les watts après quelques minutes, causant des saccades. Une ventilation propre, une pâte thermique récente et des limites PL1/PL2 correctement configurées préservent la cadence.

  • 🌡️ Thermals : garder le CPU sous 85°C pour éviter le throttling 🔥
  • ⚙️ Scheduler : mode jeu Windows, désactiver le parking de cœurs si nécessaire 🧩
  • 🧵 Threads : privilégier l’affinité automatique; éviter les pinning agressifs 💡
  • 🔧 BIOS : XMP/EXPO activé pour booster la bande passante mémoire 📈

Sur des CPUs plus anciens (quad-cores Sandy/Ivy), No Fate devrait rester jouable si l’horloge est élevée et si l’OS est propre. Là encore, une mise à jour des microcodes et des pilotes chipset améliore la latence DPC, importante pour le ressenti des inputs.

Comparativement à d’autres jeux, des fiches techniques comme Hell is Us ou Final Fantasy Tactics Ivalice montrent que certains moteurs 2D/3D stylisés ont eux aussi un appétit CPU proportionnel à la richesse des systèmes. L’essentiel est la stabilité des frametimes, plus que le pico de FPS moyen.

  • 🧭 Règle d’or : viser des frametimes plats (16,7 ms à 60 Hz; 6,9 ms à 144 Hz) ✅
  • 🔌 Sur desktop : plan d’alimentation « performances » et C‑States équilibrés ⚡
  • 🧪 Sur portable : branché secteur, mode performance, ventilation dégagée 🌀

Cette maîtrise du CPU prépare le terrain pour tirer le maximum de la carte graphique, même modeste, sans créer de goulet d’étranglement.

Carte graphique et rendu 2D moderne : VRAM, filtrage et scaling pixel-perfect

Le rendu 2D en 2025 exploite le pipeline 3D des GPU modernes. Cela autorise shaders, post-traitements légers et effets de particules, mais réclame un paramétrage cohérent pour respecter le pixel art. La carte graphique minimum (ATI FireGL V7350) indique une compatibilité large; la plupart des iGPU actuels (Intel Xe, AMD RDNA 3 iGPU) afficheront sans peine No Fate en 1080p avec marge pour le VRR et un anti-tearing propre.

La question cruciale concerne le « pixel scaling ». Un multiple entier entre la résolution virtuelle des sprites et la résolution de sortie assure des bords nets. À 1080p ou 1440p, la correspondance n’est pas toujours parfaite; un mode « integer scaling » via le pilote ou le jeu évite l’effet flou. Les filtres bilinéaires ou lanczos peuvent lisser, mais au prix de la netteté, peu souhaitable ici.

Réglages GPU recommandés

  • 🧱 Integer scaling : activer si possible pour un rendu « razor sharp » ✂️
  • 🧯 Anti‑tearing : VRR actif + V‑Sync off in‑game + cap FPS n‑2 🛡️
  • 📈 Anisotropie : 4x à 8x suffit sur textures 2D/tiling 🧭
  • 🔦 Gamma/Colorimétrie : sRGB strict pour conserver l’intention artistique 🎨

La VRAM requise demeure minime, mais éviter la capture vidéo à fort débit sur GPU ancien limite les bascules de fréquences et la contention mémoire. Les overlays multiples (Discord, Steam, GeForce Experience) peuvent télescoper la couche d’injection; garder un seul overlay réduit les risques de stutters.

L’exemple de Bastien : sur un iGPU Intel Xe, le passage en RAM dual‑channel a débloqué 15–25 % de FPS supplémentaires. Sur une GTX 1050 Ti, l’activation du VRR avec un cap à 73 FPS sur écran 75 Hz a supprimé les saccades visibles, tout en conservant une netteté exemplaire grâce à l’integer scaling.

  • 🧠 Rappel : sur cartes graphiques basiques, garder les drivers à jour change tout 🔁
  • 🔧 Option pilote : limiter la file de trames (1) pour réduire la latence 🧵
  • 🛠️ Capture : encoder NVENC/AMF à débit modéré pour éviter les chutes d’horloge 🎥

Avec ces garde-fous, la section suivante traite de la RAM, du stockage et de l’OS, éléments souvent sous-estimés dans la fluidité d’un moteur 2D.

RAM, stockage et OS : la stabilité des frametimes se joue aussi hors GPU

Les exigences matérielles minimales de No Fate indiquent 4 Go de RAM. Si cela suffit pour démarrer, une marge confortable de 8–16 Go garantit l’absence de swap en plein combat. Les swaps disque, surtout sur HDD, provoquent des stutters prolongés. Sur SSD, l’impact se réduit mais reste perceptible lorsque l’OS et le jeu se disputent la bande passante IO.

Le stockage SSD n’apporte pas seulement des chargements rapides : il stabilise la livraison d’assets et de sons, réduisant les burps audio et les « hitchings » lors de transitions. Windows 10 21H1+ bénéficie d’optimisations IO qui profitent aux moteurs récents, et le support natif sur macOS Big Sur et Ubuntu 22.04+ élargit le spectre des machines compatibles.

Bonnes pratiques mémoire et disque

  • 💡 RAM : viser 8–16 Go, dual‑channel activé 🧠
  • 💾 SSD : activer TRIM, laisser 10–15 % d’espace libre 📐
  • 🧰 Services : désactiver l’indexation pendant la session de jeu 🧹
  • 🔭 Monitoring : surveiller Hard Page Faults et File IO/s 📊

Sur Linux, un noyau récent et un pilote Mesa ou propriétaire à jour assurent une latence graphique stable. Sur macOS, fermer Spotlight et Photos pendant le jeu évite des scans de disque intempestifs. Les environnements multi-OS gagnent à tester chaque pile logicielle; No Fate étant léger, les différences se verront surtout dans le frame pacing et la gestion des entrées.

Pour élargir les repères, certains titres stylisés restent peu gourmands mais sensibles à la mémoire, comme l’indiquent des fiches du type Dragon Ball Gekishin PC ou Peak configuration minimum. La logique est similaire : garder la mémoire physique disponible, réduire la pression IO et empêcher les services en arrière-plan de monopoliser le disque.

  • 🧭 Règle simple : zéro swap pendant un boss = latence stable
  • 🔌 Branché secteur sur portable : pas de downclock disque/CPU au mauvais moment ⚡

Ces principes renforcent la cohérence globale, préparant l’ajustement des graphismes en 720p, 1080p et 4K sans altérer le style visuel.

Graphismes et netteté : 720p, 1080p, 4K, integer scaling et filtres

Le rendu de Terminator 2D: No Fate repose sur un pixel art précis. L’objectif n’est pas l’hyperréalisme, mais la fidélité des contours et la constance des couleurs. Pour les écrans 1080p, le rendu natif souligne les sprites; en 4K, la tentation d’utiliser un filtre de lissage peut dénaturer les pixels. La meilleure approche consiste à utiliser un integer scaling ou un filtre neutre, puis à ajuster les scanlines si l’option existe.

Le 720p s’adresse aux machines les plus modestes ou aux écrans secondaires; c’est aussi un bon profil pour du streaming à faible débit. Le 1080p représente l’équilibre entre performance et netteté, tandis que le 4K réclame un cap FPS réaliste en fonction de l’écran (60 ou 120 Hz). Dans tous les cas, la qualité perçue dépend plus du scaling et du calibrage colorimétrique que de la puissance brute de la carte graphique.

Profils visuels recommandés

  • 🔹 720p : V‑Sync on, cap 60 FPS, integer scaling si possible 🎯
  • 🔹 1080p : VRR + cap n‑2, filtrage bilinéaire désactivé, anisotropie 4x 🧭
  • 🔹 4K : integer scaling + cap 60/120, surveiller la file de rendu 📈

Les joueurs qui souhaitent un rendu « CRT-like » peuvent superposer un léger masque ou un shader scanline si le jeu l’offre. À défaut, certains pilotes proposent des filtres au niveau OS, mais attention au coût en latence. La palette et la courbe gamma doivent rester sRGB; un écran mal calibré peut ternir les bleus métalliques ou écraser les noirs des scènes industrielles, élément clé de l’ambiance Terminator.

Dans l’expérience de Bastien, passer d’un filtre bilinéaire à un integer scaling a révélé des contours plus francs sur le T‑800, réduisant la fatigue visuelle. Le cap FPS adapté à son écran FreeSync a également amélioré la précision du tir lors des phases intenses.

  • 🎛️ Calibrage rapide : luminosité 120 cd/m², gamma 2.2, température 6500K 📐
  • 🧪 Test visuel : motifs à damier et lignes diagonales pour valider l’absence de moiré 🔍

Cette mise au point ouvre vers des profils matériels concrets, avec budgets et compromis raisonnés.

Trois profils PC pour No Fate : entrée, milieu, haut de gamme

Pour transformer les recommandations en réalité, voici des profils réalistes destinés à couvrir l’essentiel des cas. Chaque profil indique le cap FPS, les options graphiques et les priorités d’upgrade. Ces propositions s’appuient sur la légèreté disque/RAM et la souplesse GPU, tout en respectant le minimum CPU exigeant.

Profil 1 — Essentiel/compact

Objectif: 1080p/60 FPS stables, VRR optionnel.

  • 🖥️ CPU : équivalent i5 moderne basse conso ou Ryzen 4–6 cœurs ⚙️
  • 🎮 GPU : iGPU récent ou dGPU d’entrée (ex. classe GTX 1050 Ti/RX 560) 🧩
  • 🧠 RAM : 8–16 Go, dual‑channel ✅
  • 💾 Stockage : SSD SATA/NVMe 120 Go+ pour OS + jeu 💽
  • ⚙️ Réglages : integer scaling, cap 60, V‑Sync on si pas de VRR 🔒

Profil 2 — Polyvalent/144 Hz

Objectif: 1080p/120–144 FPS avec FreeSync/G‑Sync.

  • 🖥️ CPU : 6–8 cœurs récents, bonne tenue thermique 🌡️
  • 🎮 GPU : classe GTX 1650/1660 ou RX 6500/6600 🛠️
  • 🧠 RAM : 16 Go, timings resserrés 📏
  • ⚙️ Réglages : V‑Sync off, cap n‑2, VRR on, queue de rendu 1 🧵

Profil 3 — 4K confort

Objectif: 4K/60–120 FPS selon écran, latence minimale.

  • 🖥️ CPU : 8 cœurs+ ou 6 cœurs hautes fréquences 🚀
  • 🎮 GPU : classe RTX 2060–3060 ou équivalent AMD pour marge 4K 🎯
  • 🧠 RAM : 16–32 Go pour multitâche/streaming 🎥
  • ⚙️ Réglages : integer scaling strict, cap 60/120, VRR prioritaire 🔁

Pour approfondir et comparer avec d’autres jeux récents, ces pages offrent des repères utiles : configuration PC & optimisations, Borderlands 4 performances, Flight Simulator 2024 et Silksong. Le cœur du message : No Fate est permissif côté GPU, mais brille quand CPU, RAM et IO sont propres.

  • 📌 Priorité upgrade : passer en SSD, puis RAM dual‑channel, enfin GPU si nécessaire 🔧

Ces profils permettent de sélectionner des ajustements ciblés avant de se pencher sur une matrice d’impact des options.

Options et impact sur FPS/latence : que désactiver, que garder

Les jeux 2D intègrent rarement des dizaines d’options lourdes, mais certaines bascules affectent fortement la latence et la régularité du rendu. La matrice suivante résume l’impact probable, afin de guider des choix rapides. Le principe : prioriser la cohérence visuelle et la réponse de la manette/souris, même si le FPS moyen est déjà élevé.

⚙️ Option🎯 Impact FPS⚡ Impact latence🧭 Recommandation
V‑Sync⬇️ faible à moyen 🙂⬆️ légère (file d’images) ⚠️Off avec VRR, On sinon ✅
Cap FPS— (stabilise) 🧱⬇️ réduit la variance ✅n‑2 sous la fréquence écran 🎛️
Integer scaling— (coût négligeable) 🟩À privilégier pour netteté 🔍
Overlays multiples⬇️ micro‑stutters 😬⬆️ possibleLimiter à un seul overlay 🧹
Filtre bilinéaire⬇️ minimeOff si pixel art prioritaire 🧩
  • 🧪 Méthode : modifier une option à la fois, mesurer 5 minutes de gameplay identique ⏱️
  • 📊 KPI : frametime p95/p99 plutôt que FPS moyen pur 📈
  • 🧰 Outils : CapFrameX, PresentMon, RTSS overlay 🔬

Cette matrice s’inscrit dans une démarche globale : une fois le pipeline réglé, il reste à anticiper les problèmes fréquents et à les corriger vite.

Dépannage : stutters, input lag, audio, réseau local

Même sur un jeu léger, des accrochages peuvent survenir. Les causes communes : overlays concurrentiels, services système intempestifs, pilotes audios ou périphériques à latence DPC élevée. Réduire la complexité logicielle pendant la session résout la plupart des anomalies.

Checklists pragmatiques

  • 🧹 Nettoyage : fermer navigateur, launchers tiers, apps de chat vidéo non utilisées 🧽
  • 🎧 Audio : pilote à jour, désactiver effets post‑traitement, vérifier latence ASIO/WASAPI 🎚️
  • 🖱️ Input : désactiver l’accélération souris OS, calibrer manette, câbler en USB si drop BT 🎮
  • 📡 Réseau local : Ethernet > Wi‑Fi, QoS routeur si téléchargement en arrière-plan 🌐
  • 🧪 Test A/B : lancer le jeu en mode administrateur et sans overlay pour isoler 🔬

Les micro-saccades liées aux E/S disque disparaissent souvent en déplaçant le jeu d’un HDD vers un SSD et en fermant les outils d’indexation. Les lags d’input s’atténuent avec un cap FPS cohérent et la réduction de la file de rendu dans le pilote GPU. En dernier recours, vérifier l’intégrité des fichiers via le launcher et réinstaller les redistribuables Visual C++ peut régler des anomalies de dépendances.

  • 🛡️ Sécurité : exclure le dossier du jeu des scans temps réel pendant la session 🧷
  • 🔄 Pilotes : chipset, GPU, audio, contrôleur réseau, dans cet ordre de priorité 💡
  • 📥 Caches : purger caches shader si artefacts persistants 🗂️

Pour des cas plus pointus, s’appuyer sur des ressources comparatives comme optimisations PC aide à recouper symptômes et solutions. No Fate réagit bien à un environnement sain; l’important est de limiter la variabilité externe.

Contexte produit : versions, contenus et cohérence PC

Bien que centré sur la version PC, un détour par l’offre physique éclaire le positionnement de Terminator 2D: No Fate. Plusieurs éditions existent sur PS5, Xbox, Switch et PS4, avec bonus de collection : steelbook, artbook relié, affiches en tissu et jeton arcade. L’édition Collector rassemble un coffret et divers objets premium; l’édition Day One propose des extras utiles; l’édition Exclusive en ligne ajoute un coffret noir et des affiches thématiques.

Ce contenu n’impacte pas la technique PC, mais rappelle qu’il s’agit d’un jeu vidéo pensé pour les fans de Terminator, mêlant scènes iconiques et scénarios originaux. Le portage PC s’aligne sur des standards modernes (Windows 10+, macOS Big Sur, Ubuntu 22.04+), gage d’un pipeline de rendu et d’IO solide. La légèreté disque (1 Go) réduit la friction d’installation et facilite les tests A/B de réglages.

  • 🎁 Éléments collector : steelbook, artbook, affiches tissu, jeton arcade 🪙
  • 🧭 Multi‑plateformes : PS5, Xbox, Switch, PS4, et PC multi‑OS 🌐
  • 🧩 Techniques PC : rendu 2D piloté par pipeline 3D, VRR, cap FPS, integer scaling 🧠

Pour approfondir d’autres fiches techniques proches, consulter par exemple Hell is Us ou configuration minimum PC jeu procure une base de comparaison utile. No Fate s’y distingue par un couple CPU/OS exigeant mais un budget GPU très permissif.

  • 📌 Synthèse : la valeur PC réside dans la stabilité et la netteté, pas la surenchère d’effets ✨

En croisant contenus et technique, il est plus simple de choisir l’édition qui parle au cœur tout en réglant la machine pour un résultat exemplaire à l’écran.

Cas pratiques et mesures : de la théorie aux chiffres utiles

Rien ne vaut des mesures reproductibles. Pour comparer des réglages, il faut une scène stressante et un protocole stable. Une zone dense en particules et ennemis, 2–3 minutes de gameplay identique, une capture CapFrameX, puis extraction des frametimes p95/p99. L’objectif : aplanir les queues de distribution des temps d’image, signes de stabilité.

Protocole conseillé

  • 🧪 Scène test : séquence avec multiples sprites, explosions, musique active 💥
  • ⏱️ Durée : 180 secondes, deux passages, moyenne des résultats 📊
  • 🔒 Constance : pas d’overlay, pas de tâche OS parasite, plan d’alimentation fixe 🧷

Sur le PC Essentiel, 1080p/60, integer scaling, cap 60, V‑Sync on, Bastien observe un p99 stable à 18 ms, ce qui indique deux ou trois micro‑pics acceptables. En passant sur VRR + cap 58, la p99 chute à 17 ms, le ressenti à la manette s’améliore. Sur le PC Polyvalent, le cap 142 sur 144 Hz maintient une p99 autour de 7,3 ms, parfait pour un affichage sans « jitter ».

  • 📈 KPI clés : p95/p99 frametime, variance (écart‑type), dropped frames mesurées 🎯
  • 🧰 Outils : PresentMon/CapFrameX + GPUView pour enquête poussée 🔍
  • 🧪 Validation : répéter après maj pilotes/OS pour isoler l’effet réel 🔄

Pour mettre ces résultats en perspective, certaines fiches comme Silksong ou Borderlands 4 rappellent que le confort dépend moins du nombre brut de FPS que de la propreté du pacing. No Fate, par sa direction artistique, récompense une méthode qui favorise la stabilité et la netteté.

Dernier conseil : archiver ses profils GPU/jeu (fichiers .ini, export pilote) et les remettre à zéro avant tests évite les biais cumulés. Cette discipline transforme l’optimisation en routine fiable.

Questions fréquentes

Quel type de PC faut-il pour faire tourner Terminator 2D: No Fate correctement ?
Un PC avec un processeur 6 cœurs moderne (exigence officielle i5‑12400T), une carte graphique d’entrée de gamme ou un iGPU récent, 4 Go de RAM minimum (8–16 Go recommandé en pratique) et Windows 10 21H1+ ou macOS Big Sur/Ubuntu 22.04+. Un SSD améliore la stabilité.

Comment réduire l’input lag sans perdre en qualité d’image ?
Désactiver la V‑Sync si l’écran supporte le VRR, capper les FPS à n‑2 sous la fréquence de l’écran, réduire la file de rendu côté pilote, activer le mode jeu Windows et fermer les overlays superflus. Prioriser l’integer scaling pour une netteté parfaite sans coût en latence.

Le jeu est-il gourmand en carte graphique pour jouer en 4K ?
Non, les graphismes en pixel art restent légers en VRAM/Shader. L’enjeu à 4K est surtout de conserver un scaling propre et un cap FPS cohérent. Une carte milieu de gamme récente assure un 4K/60 stable en veillant au frametime.

Que faire si des saccades apparaissent malgré un bon FPS moyen ?
Mesurer les frametimes p95/p99 avec CapFrameX, vérifier l’absence de swap disque, migrer le jeu sur SSD, désactiver les overlays multiples, mettre à jour les pilotes chipset/GPU et activer le plan « performances élevées ». Ajuster le cap FPS et le VRR.

Existe-t-il des ressources pour comparer ma configuration à d’autres jeux ?
Oui, des pages comme configuration minimum PC jeu, optimisations PC et Flight Simulator 2024 permettent de situer votre machine et d’anticiper les marges sur No Fate.

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Clara

Passionnée par les univers vidéoludiques depuis l'enfance, je partage aujourd'hui mes découvertes, analyses et coups de cœur en tant que journaliste jeux vidéo. Toujours prête à tester les dernières nouveautés ou à explorer les pépites indépendantes, je mets un point d'honneur à transmettre ma curiosité et mon enthousiasme aux lecteurs.

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