Un monde partagé, des combats nerveux et une réalisation ambitieuse : ARC Raiders multiplie les effets volumétriques, les IA en essaim et les environnements destructibles. Pour éviter les chutes de framerate au plus fort d’un raid, il faut anticiper les Spécifications système et préparer des Paramètres PC adaptés. Ce guide détaille la Configuration minimale et la Configuration recommandée issues des derniers tests techniques, puis traduit ces chiffres en conseils concrets d’Optimisation PC, un vrai plus pour toute session de Performance gaming fluide en 1080p, 1440p et au-delà. Les profils CPU/GPU, la gestion de la VRAM, la latence réseau et un Guide d’installation clair composent une feuille de route immédiatement actionnable. Les joueurs qui hésitent entre mise à niveau et nouveaux composants y trouveront aussi des recommandations de Matériel informatique par budget, avec des exemples réalistes. L’objectif est simple : transformer une configuration standard en une machine prête pour ARC, avec une image stable, des temps de chargement courts et une réactivité constante.
🎮 Profil | 🖥️ OS | 🧠 Processeur | 💾 Mémoire | 🖼️ Carte graphique | 🧭 DirectX | 📦 Stockage | 🌐 Réseau |
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Configuration minimale ✅ | Windows 10 64-bit | Intel Core i5-2500K ou AMD équivalent | 8 Go RAM 💡 | NVIDIA GTX 660 (2 Go) ou AMD équivalente | DX11 | 20 Go d’espace libre | Connexion haut débit 🌐 |
Configuration recommandée 🚀 | Windows 10 64-bit | Intel Core i7-4770K ou AMD équivalent | 16 Go RAM 🔧 | NVIDIA GTX 1060 (6 Go) ou AMD équivalente | DX11 | 20 Go d’espace libre | Connexion haut débit 🌐 |
ARC Raiders : Spécifications système et réalité terrain pour le PC de jeu
Le studio a publié des repères techniques cohérents avec les derniers essais publics, et les résultats en Jeu vidéo confirment des charges variables selon la densité des événements et l’IA. La Configuration minimale permet de lancer ARC Raiders en 1080p faible avec un budget thermique contenu, alors que la Configuration recommandée sécurise un 1080p élevé stable et pose une base crédible pour le 1440p à l’aide d’un upscaler. Cette lecture doit être contextualisée : nombre d’ennemis, météo dynamique et particules multiplient les pics d’utilisation CPU/GPU, ce qui impose des marges. Un i7-4770K reste pertinent grâce à ses threads, tandis qu’une GTX 1060 6 Go s’en sort grâce à sa VRAM plus généreuse.
Dans un monde ouvert instancié, la charge n’est pas uniformisée. Les tours ARC déclenchent des vagues et des effets d’explosion entraînant des charges simultanées sur CPU (physique, scripts) et GPU (post-traitement, transparences). D’où l’intérêt d’un rééquilibrage des Paramètres PC : réduire subtilement l’occlusion ambiante ou les ombres volumétriques stabilise le GPU, et les threads supplémentaires aident le CPU à gérer l’IA et la simulation.
Profils 1080p/1440p adaptés à ARC Raiders
Une approche pragmatique consiste à décliner des profils d’objectifs réalistes. En 1080p faible-moyen, un Core i5 de la génération Sandy Bridge et une GTX 660 tiennent le cap avec une cible à 60 ips, à condition d’accepter une réduction des reflets de l’espace-écran. En 1080p élevé, un i7-4770K et une GTX 1060 profitent de 16 Go de RAM pour absorber l’overhead moteur et les textures plus lourdes. Pour le 1440p, l’upscaling type DLSS/FSR devient un allié précieux afin de préserver la netteté sans asphyxier le fill rate.
- 🎯 1080p/Low : textures moyen, ombres moyen-bas, post-traitements allégés.
- ⚡ 1080p/High : textures élevé, ombres élevé, occlusion ambiante moyen pour lisser les pics.
- 🧠 CPU budget : limiter l’IA hors-champ via distance de foule réduite.
- 🧰 VRAM : 6 Go idéal pour éviter le swapping texture sur GTX 1060.
Un exemple utile est celui d’un groupe de trois joueurs affrontant un Drone Titan sous tempête : la pluie, les éclairs et la fumée multiplient les transparences, très coûteuses pour les cartes vieillissantes. En basculant l’occlusion ambiante sur “moyen” et les ombres volumétriques sur “bas”, on récupère 10 à 15 % d’images/s sur des GPU de milieu de gamme, sans sacrifier toute la profondeur visuelle. Le constat est clair : les Spécifications système ne sont qu’un départ, c’est la calibration fine qui fait la différence sur le terrain.
- 🔎 Éviter les goulets : contrôler l’utilisation CPU dans le gestionnaire de tâches en raid.
- 🛡️ Stabilité : verrouiller la limite d’ips (60/90) pour réduire le jitter d’animation.
- 📦 Stockage : privilégier un SSD pour le streaming des données d’environnement.
Ce premier cadrage ouvre la voie à une optimisation ciblée, essentielle pour maintenir une expérience cohérente même lorsque la bataille se densifie.
ARC Raiders et le processeur : threads, scheduling et réglages Windows
Le cœur du pipeline d’ARC Raiders implique une IA multi-agent, des scripts événementiels et une physique de projectiles susceptibles de saturer des cœurs sous-dotés en cache. Les anciens quad-cores tiennent encore grâce aux fréquences, mais l’ordonnancement des tâches en arrière-plan perturbe vite les raids. L’axe prioritaire consiste à libérer des threads, réduire l’overhead des services et s’assurer d’une alimentation énergétique stable pour éviter le downclock.
Un Core i7-4770K tire son épingle du jeu grâce à ses huit threads, en particulier lors des affrontements en zones denses. Les processeurs Ryzen d’entrée de gamme avec SMT actif se comportent bien dans les mêmes scénarios, à condition d’éviter les saturations causées par des utilitaires tiers (overlay, enregistreurs, navigateurs laissés ouverts). Une cible d’utilisation CPU autour de 60-70 % en raid intense laisse une marge aux pics, ce qui réduit les saccades.
Réglages CPU et système pour ARC Raiders
Des ajustements dans Windows et dans le BIOS/UEFI permettent une meilleure réactivité. Le plan d’alimentation “Performances élevées” ou un plan personnalisé empêche la mise en veille agressive des cœurs. Le désamorçage de la mise à l’échelle d’horloge trop conservatrice évite un délai à la montée en fréquence au moment où l’IA déclenche une nouvelle vague.
- 🔧 Alimentation : profil “Performances élevées”, désactiver la mise en veille sélective du processeur.
- 🧹 Arrière-plan : fermer navigateur, agents RGB, apps chat en overlay; garder seulement le client ARC.
- 🧩 BIOS : activer SMT/Hyper-Threading; vérifier la RAM en dual channel pour la bande passante CPU.
- 🧊 Températures : maintenir le CPU sous 85°C pour éviter le throttling en combat prolongé.
Le streaming des objets et la simulation réseau ajoutent une variabilité CPU. Un débit trop juste amplifie la charge d’interpolation et augmente le coût des corrections côté client. Mieux vaut donc traiter la couche réseau en amont (voir section dédiée) pour décharger le processeur des rattrapages de netcode.
Pour les configurations orientées productivité, la désactivation ponctuelle des services de virtualisation ou d’indexation lourde pendant la session réduit les pics. De même, un antivirus en mode jeu est recommandé : un scan de fichiers au moment d’un chargement de zone peut provoquer une micro-coupure sensible.
- 🧠 Objectif utilisation : viser 60 % en campagne, 70 % en raid massif.
- 🚫 Éviter : profils éco agressifs, overlay multiples, capture 4K non nécessaire.
- ✅ À faire : limiter le framerate à une valeur stable pour lisser les spikes CPU.
La morale est simple : un CPU “dans le vert” en permanence crée un coussin de sécurité qui rend les combats nettement plus fluides sous pression.
GPU, upscalers et Paramètres PC visuels d’ARC Raiders
ARC Raiders combine éclairage volumétrique, VFX lourds et de nombreuses surfaces transparentes. Ces éléments pénalisent surtout les GPU modestes, tandis que la VRAM devient un facteur critique dès que l’on bascule les textures au-dessus de “moyen”. Avec une GTX 660, la cible réaliste est le 1080p en qualité réduite; une GTX 1060 6 Go autorise un 1080p élevé, et un 1440p fluide si l’on s’appuie sur un upscaler moderne.
Les technologies d’upscaling comme DLSS, FSR et XeSS s’avèrent incontournables pour préserver la Performance gaming. La qualité “Balanced” est souvent le meilleur compromis, gardant une netteté satisfaisante sans amplifier les artefacts sur les silhouettes en mouvement rapide. L’activation d’un antialiasing post-process doux, combinée à un sharpening modéré, stabilise l’image.
📐 Résolution | 🖼️ Qualité cible | 🧳 GPU conseillé | 🧪 Upscaler | 🎯 FPS visé |
---|---|---|---|---|
1080p | Faible/Moyen | GTX 660 / RX 5600 équiv. | FSR “Performance” 😉 | 60 |
1080p | Élevé | GTX 1060 6 Go / RX 580 8 Go | DLSS/FSR “Balanced” 👍 | 60-90 |
1440p | Élevé | RTX 2060 / RX 5600 XT+ | DLSS/FSR “Quality” ✨ | 60 |
Réglages graphiques à prioriser
Le moteur apprécie particulièrement une VRAM suffisante et un fill rate stable. Les paramètres les plus sensibles aux performances sont l’occlusion ambiante, les ombres volumétriques et les transparences (fumée, pluie). À l’inverse, la qualité des textures a un coût modéré quand la VRAM est disponible, ce qui justifie 6 Go comme “sweet spot”.
- 🌫️ Occlusion ambiante : passez de élevé à moyen pour +10 % d’ips typiquement.
- 🌪️ Volumétriques : tempête et poussière coûtent cher; “bas-moyen” en cartes anciennes.
- 🧵 Textures : “élevé” ok si 6 Go VRAM; sinon “moyen” pour éviter le swapping.
- 🧿 Sharpening : modéré, surtout avec DLSS/FSR, pour éviter l’oversharp sur les silhouettes.
Un cas concret : l’escouade “Nora” utilise une RTX 2060 et un i7-4770K. En 1440p, DLSS “Quality” avec ombres sur “moyen” et occlusion “moyen” délivre une image stable à 60 ips, y compris lorsque plusieurs drones explosent simultanément. La même logique s’applique aux cartes AMD avec FSR, en ajustant le sharpening dans le jeu pour compenser la reconstruction.
La clé est d’approcher chaque paramètre comme un levier à effet mesurable, en priorisant la fluidité dans l’action et la lisibilité des silhouettes adverses.
Mémoire, stockage, système d’exploitation et DirectX pour ARC Raiders
La Configuration minimale à 8 Go de RAM autorise un lancement et des combats en 1080p faible, mais laisse peu de marge pour le multitâche. En pratique, 16 Go s’imposent dès que l’on passe en textures élevées et que l’on garde des applications en arrière-plan (chat vocal, navigateur, overlay). La bande passante mémoire en dual channel évite des lenteurs ponctuelles lors des gros chargements d’assets.
Le stockage influe sur les temps d’accès et le streaming. Un SSD SATA suffit pour limiter les micro-hésitations en explorant une zone. Un NVMe apporte un confort supplémentaire, surtout si l’on installe d’autres jeux gourmands; la recommandation “20 Go” d’espace libre est un minimum opérationnel, mais prévoir 2 à 3 fois plus garde une réserve pour les patchs et les dossiers de shader cache.
DirectX et pilotes
Le jeu fonctionne sous DirectX 11. Cela garantit une compatibilité étendue avec les GPU un peu datés, mais exige des pilotes à jour pour profiter des améliorations de compilation de shaders et des correctifs de stabilité. Les branches “Game Ready/Adrenalin” récentes débloquent souvent des gains gratuits, en particulier sur les effets de post-traitement et de synchronisation.
- 💡 RAM : viser 16 Go pour éliminer les fermetures d’applis en arrière-plan.
- 📀 Stockage : SSD obligatoire pour streaming fluide; NVMe recommandé si disponible.
- 🧩 Pilotes : mettre à jour avant chaque raid majeur; nettoyer via DDU si nécessaire.
- 🧷 DX11 : plus tolérant avec le vieux matériel, à condition de drivers frais.
Pour les curieux des comparatifs multis-jeux, des analyses connexes confirment ces tendances : les profils mémoires et l’empreinte texture se retrouvent dans des fiches techniques comme Kingdom Come: Deliverance 2 ou encore Metal Eden, où 16 Go de RAM est devenu un standard confortable. Le parallèle éclaire les arbitrages à opérer sur ARC Raiders.
- 🧭 Réserve disque : garder 15-20 % d’espace libre sur le SSD pour la longévité et les caches.
- 🧯 Prévenir la fragmentation : inutile sur SSD mais utile de purger les caches obsolètes.
Un système propre, une RAM suffisante et des pilotes soignés sont les trois piliers silencieux d’une expérience fluide.
Réseau, latence et paramètres en ligne pour les raids d’ARC
Le netcode d’ARC Raiders mise sur la cohérence du mouvement et la réactivité des esquives. Une latence élevée ou variable inflige un “rubber banding” perceptible et alourdit le travail de correction côté client. La priorité consiste à stabiliser le chemin réseau et à minimiser la gigue (jitter), plus nuisible que la latence pure quand elle varie d’une seconde à l’autre.
Un branchement Ethernet reste idéal. Le Wi-Fi peut tenir si la bande est propre et les interférences contrôlées. Désactiver la mise en veille de la carte réseau, forcer la préférence pour IPv4 quand le routeur le permet et ouvrir les ports recommandés par le jeu sont des réflexes payants. Enfin, un serveur proche géographiquement est toujours le meilleur choix tant que la population y est suffisante.
Checklist réseau rapide
- 🌐 Ethernet : prioritaire pour raids; Wi-Fi 5/6 acceptable si RSSI fort.
- 🚪 Ports : ouvrir/UPnP activé selon la doc; éviter le double NAT.
- 📶 Channels : scanner et choisir un canal Wi‑Fi peu encombré.
- 🧪 Tests : mesurer ping et jitter avant un événement majeur.
La bande passante requise n’est pas énorme mais la stabilité est cruciale. Un débit trop juste oblige le client à extrapoler davantage, ce qui peut induire des erreurs de placement, notamment dans les esquives à la frame près. La mise en file d’attente du routeur, s’il est ancien, aggrave le phénomène lors d’un téléchargement en arrière-plan.
Pour une veille efficace des réglages et des retours joueurs, un flux social ciblé aide à anticiper les ajustements réseau recommandés par la communauté.
- 🧹 Fond déconnecté : suspendre cloud sync/updates pendant les raids.
- 🧭 Serveur proche : toujours prioriser la région la plus proche.
- 🛡️ QoS routeur : prioriser le trafic du PC par adresse MAC.
Une route propre et prévisible entre votre PC et le serveur ARC fait autant pour la victoire que 10 % de FPS supplémentaires.
Guide d’installation d’ARC Raiders et préparation du système
Un Guide d’installation clair évite les surprises le jour J. Le prérequis est simple : Windows 10 64 bits, 20 Go d’espace, pilotes graphiques récents. La préparation consiste à valider l’intégrité des fichiers, fixer les privilèges nécessaires et aligner les dépendances Visual C++/DirectX si le launcher ne s’en charge pas. Un SSD réduit à la fois les chargements et les pauses de streaming in-game.
Étapes recommandées
- 📦 Espace disque : prévoir 40-60 Go libres pour patchs et caches, au-delà des 20 Go requis.
- 🧩 Pilotes : installer la dernière version WHQL; sauvegarder un profil stable.
- 🔐 Droits : lancer le client en mode administrateur pour la première configuration.
- 🧰 Redistribuables : mettre à jour VC++ runtimes et DirectX End-User.
- 🧹 Nettoyage : purger les caches shader au besoin pour éviter le stutter initial.
Une fois en jeu, commencer par un profil vidéo “Élevé” en 1080p si la machine correspond à la Configuration recommandée, puis valider la stabilité en combat. Ajuster ensuite chaque curseur par paliers, en observant l’impact FPS et la lisibilité visuelle. Les guides d’autres titres hybrides open-world/instanciés, comme Indiana Jones ou Towa Guardians, proposent des méthodologies comparables de calibration pas à pas.
- 🧭 Diagnostic : activer l’overlay de frame-time pour repérer les microcoupures.
- 🔎 Validation : tester une zone calme, puis une zone de raid sous tempête.
- 🧯 Fallback : sauvegarder un preset “Safe 60” (textures élevé, ombres moyen, AO moyen).
En suivant ces étapes, la mise en route devient prévisible, et l’optimisation n’est plus une loterie mais un processus reproductible.
Optimisation PC avancée et dépannage pour ARC Raiders
Lorsque la configuration correspond aux Spécifications système mais que des saccades persistent, c’est souvent une question de micro-optimisations. Le trio coupable le plus courant regroupe la saturation VRAM, la synchronisation verticale mal calibrée et les services en arrière-plan imprévus. Examiner les graphes de frametime est plus instructif que la moyenne d’ips : une courbe dentelée trahit un souci de ressources ou de streaming.
Procédure d’optimisation
- 🧪 Test A/B : comparer vsync off / adaptive / Fast Sync; retenir la plus stable.
- 🧳 VRAM : baisser textures d’un cran si usage > 90 % en combat.
- 🧰 Threading : réduire l’overlay et l’encodage vidéo simultané.
- 🧼 Caches : régénérer shaders après gros patchs.
Quand un patch introduit un stutter, reconstruire les caches et réinitialiser un profil de pilote peut suffire. En cas de crash, penser au check d’intégrité des fichiers et au log d’événements Windows. Sur les configurations mixtes iGPU+dGPU, forcer l’utilisation de la carte dédiée dans le panneau du constructeur évite les performances catastrophiques.
Des démos d’analyse FPS et des comparatifs de presets aident à objectiver les choix. Une vidéo technique centrée sur les variations de frame-time et l’upscaling permet de reproduire une méthodologie robuste.
Le dépannage gagne à s’inspirer de pratiques éprouvées sur d’autres jeux récents aux budgets techniques comparables. Les ressources comme Hell is Us ou Dying Light Beast illustrent bien l’importance du suivi pilote et de la VRAM.
- 🛡️ Safe mode : redémarrer le jeu avec preset bas pour valider la cause GPU/CPU.
- 🧭 Limiteur : fixer une limite d’ips 3-5 % sous la moyenne pour lisser la ligne.
- 🧯 Dernier recours : DDU + réinstallation pilote propre.
Résoudre les irrégularités à la source consolide la sensation de contrôle et augmente la régularité du tir et de l’esquive.
Paramètres PC recommandés dans ARC Raiders : lisibilité, input lag et confort
Le meilleur preset n’est pas seulement celui qui maximise l’ips, mais celui qui garantit la lisibilité des menaces et un input lag bas. Dans ARC Raiders, la perception de la trajectoire des drones et des éclats au sol prime sur des reflets subtils. Un FOV maîtrisé et un motion blur réduit renforcent la précision, tandis qu’une gestion intelligente de la synchronisation évite le déchirement sans pénaliser la réactivité.
Réglages conseillés
- 👁️ FOV : +5 à +10 degrés au-dessus du défaut pour couvrir davantage de périphérique.
- 🌀 Motion blur : faible ou off pour suivre les cibles rapides.
- 🔦 Reflets SSR : moyen; élevé à réserver aux cartes modernes.
- 🪫 V-Sync : off + limiteur driver, ou Adaptive selon l’écran; privilégier VRR si disponible.
Pour les écrans 144 Hz, viser 90-120 ips sur les scènes moyennes et stabiliser à 90 en charge lourde offre un excellent compromis. Sur 60 Hz, la priorité va à la stabilité absolue; mieux vaut un 60 “solide” qu’un 60-80 oscillant. Les réglages finaux dépendent du couple CPU/GPU et des préférences de confort visuel.
Les approches issues d’autres guides de calibrage, comme Skate 4 ou Voyagers Nera, montrent l’efficacité d’un preset “Lisible” pour l’action pure : ombres moyen, AO moyen, densité de particules modulée. ARC Raiders récompense les mêmes choix orientés combat.
- 📈 Cohérence : viser un frame pacing régulier plutôt que la moyenne brute.
- 🎯 HUD : ajuster la taille à la distance œil/écran pour la lecture instantanée.
- 🔊 Audio : activer la spatialisation pour repérer les drones hors champ.
Un preset axé lisibilité libère du temps de réaction et augmente mécaniquement l’efficacité en raid.
Configurations types et évolutions matériel 2025 pour ARC Raiders
Pour clarifier les décisions d’achat, trois profils de Matériel informatique permettent de couvrir la majorité des besoins. La philosophie est d’exploiter au mieux l’existant, puis d’ajouter la brique qui débloque l’objectif d’ips visé. Les références d’autres fiches, comme HYKE ou Dragon Ball Gekishin, confirment l’intérêt d’une VRAM 6 à 8 Go et de 16 Go de RAM.
Trois paniers de référence
- 💡 Essentiel 1080p/60 : i5 équivalent 2500K, 8 Go RAM, GTX 660; textures moyen, AO bas, FSR Performance.
- 🚀 Confort 1080p/Élevé : i7-4770K, 16 Go RAM, GTX 1060 6 Go; DLSS/FSR Balanced, 60-90 ips.
- 🔭 Évolutif 1440p : CPU 6c/12t moderne, 16-32 Go RAM, RTX 2060+; DLSS Quality, 60 ips stable.
“Nora”, joueuse régulière, migre d’une GTX 970 4 Go à une GTX 1060 6 Go : à paramètres équivalents, les micro-stutters liés au swapping de textures disparaissent, et le 1080p/Élevé devient sa nouvelle norme. La suite logique sera un CPU 6 cœurs pour gagner en constance lors des raids les plus chargés.
Sur le plan économique, mieux vaut moderniser par étapes. La carte graphique offre le gain le plus tangible à court terme, surtout si la VRAM actuelle est inférieure à 6 Go. Ensuite viennent la RAM (passage à 16 Go) et le stockage (SSD/NVMe). Les comparatifs d’optimisation sur Metal Eden soulignent la même hiérarchie de gains perceptibles.
- 🧱 Priorité 1 : GPU avec 6-8 Go VRAM.
- 🧱 Priorité 2 : 16 Go de RAM en dual channel.
- 🧱 Priorité 3 : SSD rapide et espace pour caches.
Ce plan par briques transforme un PC correct en machine prête pour ARC Raiders, sans surinvestissement.
Questions fréquentes
Quelle est la configuration minimale pour lancer ARC Raiders ?
Windows 10 64 bits, processeur équivalent Core i5-2500K, 8 Go de RAM, carte graphique type GTX 660 2 Go, DirectX 11, 20 Go d’espace et une connexion haut débit.
Quelle configuration recommandée pour jouer en 1080p élevé ?
Windows 10 64 bits, CPU équivalent Core i7-4770K, 16 Go de RAM, GPU type GTX 1060 6 Go, DX11 et 20 Go d’espace. Activer DLSS/FSR “Balanced” pour plus de stabilité.
ARC Raiders tourne-t-il bien sur un SSD SATA ?
Oui. Un SSD SATA réduit nettement les chargements et le stutter de streaming. Un NVMe apporte un confort supplémentaire mais n’est pas obligatoire.
FSR/DLSS sont-ils indispensables ?
Pas à 1080p faible-moyen, mais fortement recommandés en 1080p élevé et 1440p pour maintenir un framerate stable, surtout lors des raids sous météo dynamique.
Où trouver d’autres repères de configurations proches ?
Des fiches pratiques semblables sont disponibles pour Indiana Jones, Towa Guardians, Hell is Us ou Dying Light Beast.