Dans Keeper, l’ambiance prime autant que la fluidité de l’image. Pour profiter de son éclairage volumétrique, de ses ombres directionnelles et d’une distance d’affichage généreuse, le PC doit être calibré avec soin. Entre une configuration minimale accessible et des réglages graphiques capables de sublimer l’atmosphère, l’objectif est double : lisibilité parfaite des scènes sombres et framerate stable. Ce guide rassemble des repères matériels clairs, des profils de réglages éprouvés et des procédures d’optimisation sous Windows 11, afin d’obtenir un rendu propre, net et réactif. Les recommandations tiennent compte des GPU actuels chez Nvidia et AMD, des CPU Intel et des périphériques qui influencent réellement l’expérience. Des exemples concrets illustrent chaque situation, du laptop compact au PC de salon en passant par la tour gaming évolutive. À la clé, une méthode fiable pour viser 60 à 120 FPS selon la résolution, sans sacrifier la direction artistique ni la durée de vie des composants.
⚙️ Paramètre | 🎯 Minimum (1080p, Bas) | 🚀 Recommandé (1080p, Élevé) | 🏆 Ambition (1440p/4K) |
---|---|---|---|
CPU | Intel Core i5-8400 / AMD Ryzen 5 1600 | Intel Core i5-12400F / AMD Ryzen 5 5600 🙂 | Intel Core i5-13600K / AMD Ryzen 7 5800X |
GPU | Nvidia GTX 1060 6 Go / AMD Radeon RX 580 8 Go | Nvidia RTX 2060 / AMD Radeon RX 6600 🔋 | Nvidia RTX 3060 Ti–4070 / AMD RX 6700 XT–7800 XT |
RAM | 8–12 Go | 16 Go (2×8, 3200 MHz+) 🧠 | 32 Go si multitâche/stream |
Stockage | HDD/SSD, 20 Go libres | SSD NVMe, 20–30 Go libres ⚡ | SSD NVMe Gen4 pour chargements instantanés |
OS & API | Windows 10 64 bits, DX12 | Windows 11 23H2+, DX12 🪟 | Identique + pilotes à jour |
Alimentation | 450–500 W (80+ Bronze) | 550–650 W (80+ Gold, Corsair / Cooler Master) 🔌 | 650–750 W (80+ Gold/Plat.) |
Objectif | ~60 FPS, 1080p Bas | 60–90 FPS, 1080p Élevé 🎮 | 1440p 60–120 FPS / 4K 60 FPS |
Keeper sur PC : exigences matérielles crédibles et marges de confort
L’éditeur n’ayant pas officialisé une grille complète, les repères ci-dessus s’appuient sur les techniques d’éclairage et de post-traitement typiques d’une aventure narrative moderne. Les besoins en GPU se calquent sur une cible 1080p fluide, tandis que le CPU doit soutenir les scripts, la physique légère et le streaming des données sans stutter. Le couple Intel/AMD couvre des options polyvalentes, et l’écart de performances entre une Nvidia GTX 1060 et une RTX 2060 illustre la bascule du « jouable » vers le « confortable ».
La priorité reste la stabilité. Un SSD NVMe réduit les micro‑pauses lors des chargements de scènes, liste d’assets ou compilations de shaders. À l’inverse, un disque dur induit des à‑coups perceptibles, surtout quand la mémoire vidéo (VRAM) est limite. Un bloc d’alimentation certifié, chez Corsair ou Cooler Master, stabilise les pics du GPU et évite les crashs sous charge. Les cartes mères Asus, MSI et Gigabyte assurent un BIOS à jour et des profils mémoire fiables, essentiels pour ne pas brider le CPU.
Profils d’usage selon l’écran et l’ambition
Un moniteur 1080p 60 Hz exige moins qu’un 144 Hz ou un 1440p. Viser 60 FPS constants avec un rendu « Élevé » en 1080p est réaliste avec une RTX 2060 ou une RX 6600. Pour le 1440p, une RTX 3060 Ti ou RX 6700 XT offre une marge confortable avec un upscaler (DLSS/FSR). En 4K, une RTX 4070 ou une RX 7800 XT avec upscaling Qualité conserve des textures fines et une netteté lisible dans les séquences sombres.
- 🧩 1080p, 60 FPS : RTX 2060 / RX 6600 + préréglage Élevé, upscaler Balance.
- 🏁 1440p, 90–120 FPS : RTX 3060 Ti / RX 6700 XT + DLSS/FSR Performance.
- 🎬 4K, 60 FPS : RTX 4070 / RX 7800 XT + DLSS/FSR Qualité + ombres Moyennes.
En mobilité, un laptop doté d’un Core i5‑7200U et d’une GTX 1060 6 Go Mobile reste en‑dessous du seuil idéal, mais un 1080p Bas reste envisageable si la dissipation suit. Les machines récentes, équipées d’RTX 3060 Laptop et d’un i7 H‑series, tiennent 60 FPS avec des températures à surveiller.
Message clé : garder une marge de 20 % sur le GPU évite les chutes lors des scènes chargées, surtout avec l’occlusion ambiante et les reflets.

Réglages graphiques Keeper : recommandations pour une image nette et un FPS stable
La force de Keeper réside dans ses éclairages. Un rendu trop agressif côté post‑process peut nuire à la lisibilité. La stratégie consiste à prioriser les textures et les ombres, puis ajuster les filtres. Les upscalers comme DLSS (Nvidia), FSR (AMD) ou XeSS (Intel Arc) servent de curseur de performance sans sacrifier l’esthétique.
Le trio gagnant : Textures élevées (si VRAM ≥ 6–8 Go), Ombres moyennes/élevées, Occlusion ambiante modérée. Les reflets écran (SSR) et la profondeur de champ se gèrent au cas par cas. La synchro verticale peut être remplacée par un limiteur de FPS pour limiter la latence, surtout avec un écran VRR.
🎛️ Réglage | ⚡ Priorité Perf | ⚖️ Qualité Équilibrée | 🖼️ Fidélité Max |
---|---|---|---|
Résolution | 1080p | 1440p | 4K |
Upscaler | DLSS/FSR Performance | DLSS/FSR Balanced | DLSS/FSR Quality |
Textures | Moyennes (≤6 Go VRAM) | Élevées (8 Go VRAM) | Ultra (12 Go VRAM) |
Ombres | Faibles/Moyennes | Élevées | Élevées + filtrage |
Occlusion ambiante | Basse | Moyenne | Élevée |
Anti‑Aliasing | TAA | TAA + Sharpen 10–20% | TAA haute qualité |
Reflets/SSR | Désactivés | Moyens | Élevés |
Flou de mouvement | Off | Faible | Faible |
V‑Sync / Limiteur | Off / 60 FPS | VRR / 90 FPS | VRR / 120 FPS |
Hiérarchie des réglages : quoi baisser en premier
En cas de chutes sous 60 FPS, diminuer l’occlusion ambiante, les ombres et les reflets rapporte le plus. Ensuite, activer un upscaler en profil Balanced. Le paramètre « géométrie/distance d’affichage » peut rester moyen pour conserver l’intégrité de la scène.
- 🧮 Gains rapides : ombres ➝ occlusion ➝ reflets ➝ upscaler.
- 🔍 Lisibilité : textures élevées + TAA + sharpening modéré.
- 🕹️ Latence : V‑Sync Off + limiteur FPS = sensation plus directe.
Astuce finale : fixer un plafond de FPS légèrement sous la moyenne stable évite le yo‑yo et stabilise la sensation de fluidité.
Windows 11, pilotes et outils : paramétrer Keeper pour la performance
Windows 11 offre des leviers utiles pour orienter le GPU et éviter les tâches parasites. Les dernières branches de pilotes Nvidia, AMD et Intel consolident la compilation de shaders et réduisent les hitchs en DX12. L’objectif : prioriser le GPU dédié, réduire la latence et fiabiliser l’ordonnanceur.
Réglages système essentiels
Dans Paramètres > Système > Affichage > Graphiques, affecter Keeper en Haute performance pour forcer le GPU dédié. Activer le Mode Jeu et le Plan d’alimentation Performances élevées. Si disponible, tester HAGS (GPU Scheduling) et Resizable BAR pour fluidifier les transferts, surtout sur les cartes récentes.
- 🧰 Mettre à jour les pilotes (GeForce Experience/Studio, Adrenalin, Intel Arc).
- 🧹 Désactiver overlays superflus (captures, chat, monitoring agressif).
- 🧪 Lancer une vérification des fichiers du jeu via le lanceur.
Pour une méthode visuelle étape par étape, un tutoriel vidéo est souvent plus efficace.
Après l’ajustement Windows, la configuration des panneaux de contrôle GPU consolide le résultat. Côté Nvidia, préférer « performance maximale », désactiver l’optimisation d’alimentation adaptative pour ce jeu et laisser la gestion du filtrage au titre. Sur AMD, l’anti‑lag et le Radeon Boost peuvent aider si la marge GPU est réduite, mais à tester au cas par cas.
- ⚙️ Nvidia : mode « Performance », shader cache activé, Low Latency Mode sur « On ».
- 🔥 AMD : Anti‑Lag / Anti‑Lag+ selon compatibilité, Radeon Chill si nécessité thermique.
- 💡 Intel Arc : XeSS activé dans le jeu, pilote récent pour DX12.
Dernier point : un SSD NVMe avec 15–20 % d’espace libre évite la fragmentation, donc les micro‑pauses à l’ouverture de scènes.
Refroidissement et acoustique : garder le cap sur la stabilité
Un framerate stable dépend d’un GPU/CPU bien refroidis. Au‑delà du confort auditif, la température impacte le boost et la longévité. Un boîtier correctement ventilé (Cooler Master HAF, Corsair 4000D…) avec un flux d’air orienté façade ➝ arrière/haut limite le thermal throttling. Les cartes custom Asus, MSI et Gigabyte disposent de radiateurs efficaces, mais l’environnement du boîtier reste déterminant.
Undervolting et courbes de ventilation
Un undervolt léger via MSI Afterburner sur un GPU Nvidia/ AMD peut réduire de 5–10 °C et le bruit tout en conservant 95 % des performances. Régler une courbe ventilateur progressive diminue les pics sonores. Côté CPU, activer un profil équilibré et vérifier la pâte thermique tous les 2–3 ans suffit souvent.
- 🌬️ 2 à 3 ventilateurs en entrée et 1–2 en extraction = flux sain.
- 🧊 Ventirad ou AIO bien dimensionné pour le TDP ciblé.
- 🧽 Dépoussiérage trimestriel, surtout filtres façade et mesh.
Le casque ferme (Razer, Logitech) permet de jouer à bas volume système, réduisant la charge thermique si la ventilation est liée à l’audio. Un pad de refroidissement aide les laptops performants à tenir leurs fréquences sur la durée.
Conclusion pratique : moins de 80 °C GPU et 85 °C CPU en charge soutenue garantit une session Keeper fluide et silencieuse.
Écran, périphériques et latence : l’écosystème qui change tout
Un écran fiable avec VRR (G‑Sync/FreeSync) transforme la perception de fluidité. Un 1080p 144 Hz ou 1440p 165 Hz compense les variations, rendant 70–100 FPS agréables. Le choix d’une souris Logitech ou Razer à faible latence, d’un clavier réactif et d’une manette bien calibrée influence la précision dans les séquences interactives.
Synchronisation et contrôle
La combinaison VRR + limiteur de FPS 3–5 Hz sous la fréquence maximale de l’écran assure une sensation stable. Les drivers Nvidia/AMD proposent des limiteurs intégrés si le jeu n’en dispose pas. Un paramétrage précis de la sensibilité (DPI/Hz) côté souris et le remappage des touches contribuent à la réactivité.
- 🖥️ VRR actif, V‑Sync désactivé, limiteur à 117 FPS sur écran 120 Hz.
- 🖱️ Souris 1000 Hz, 800–1600 DPI, accélération off pour la cohérence.
- 🎧 Audio clair pour repérer les signaux d’ambiance (mix stéréo net).
Si le titre propose une calibration HDR, viser 600–1000 nits sur moniteur compatible et éviter l’over‑bright qui écrase les noirs. Les contrôleurs Xbox/PlayStation s’intègrent nativement sous Windows 11, avec des vibrations modérées pour éviter la fatigue.
Conseil de terrain : mieux vaut une cohérence d’entrée et une luminance stable qu’un pic ponctuel de FPS.
Trois configurations type pour jouer à Keeper selon le budget
Ces paniers illustrent des choix rationnels. Ils allient disponibilité 2025, compatibilité et marge de progression. Les marques Asus, MSI, Gigabyte, Corsair et Cooler Master y figurent pour la fiabilité des cartes, cartes mères, blocs et boîtiers.
Essentiel 1080p 60 FPS
- 🧩 CPU : AMD Ryzen 5 5600 ou Intel Core i5‑11400F.
- 🎨 GPU : Nvidia GTX 1660 Super ou AMD RX 6500 XT (FSR recommandé).
- 🧠 RAM : 16 Go DDR4 3200.
- 💾 SSD : 500 Go NVMe.
- 🔌 PSU : Corsair 550 W 80+ Bronze.
- 🏗️ CM : MSI B550 / Gigabyte B560.
- 🧺 Boîtier : Cooler Master avec 3 ventilateurs.
Objectif réaliste : 1080p Équilibré, upscaler Balanced, 60–75 FPS.
Confort 1080p Élevé / 1440p Entrée
- ⚙️ CPU : Intel Core i5‑12400F / AMD Ryzen 5 5600.
- 🖼️ GPU : Nvidia RTX 3060 12 Go ou AMD RX 6650 XT.
- 🧠 RAM : 16 Go DDR4 3600 (XMP/EXPO activé).
- 💾 SSD : 1 To NVMe.
- 🔌 PSU : Corsair 650 W 80+ Gold.
- 🏗️ CM : Asus B660 / MSI B550 Tomahawk.
Objectif : 1080p Élevé 90 FPS ou 1440p Équilibré 60–80 FPS avec DLSS/FSR.
Performance 1440p 120 Hz / 4K 60 FPS
- 🚀 CPU : Intel Core i5‑13600K / AMD Ryzen 7 5800X.
- 🏎️ GPU : Nvidia RTX 4070 / AMD RX 7800 XT.
- 🧠 RAM : 32 Go DDR4/DDR5 selon plateforme.
- 💾 SSD : 1–2 To NVMe Gen4.
- 🔌 PSU : 750 W 80+ Gold (Corsair RMx, Cooler Master V).
- 🏗️ CM : Asus TUF / Gigabyte Aorus / MSI MAG.
Objectif : 1440p Élevé 100–144 FPS, 4K Équilibré 60 FPS via upscaler.
Indicateur clé : conserver 10–15 % de marge GPU au‑dessus du framerate cible évite les chutes en scènes lourdes.
Dépannage Keeper : micro‑saccades, crashs et budgets VRAM
Les micro‑saccades sont souvent liées à la compilation de shaders, à un cache saturé ou à une VRAM juste. Une approche méthodique règle la majorité des cas en quelques minutes.
Check rapide avant de tout réinstaller
- 🧭 Mettre à jour le jeu et les pilotes (Nvidia/AMD/Intel).
- 🗂️ Vider le cache des shaders si l’option existe, relancer une première session pour recompiler.
- 📦 Vérifier l’intégrité des fichiers via le client (Steam/Epic).
- 🧮 Baisser Occlusion/Ombres/Reflets, activer DLSS/FSR.
- 💾 Laisser 20 % d’espace libre sur le SSD.
Si des crashs surviennent à des points précis, surveiller les températures avec HWInfo, vérifier l’alimentation (tension stable) et tester la RAM (MemTest). En cas de VRAM saturée (6 Go ou moins), redescendre les textures à Moyen maintient la stabilité sans nuire au style.
Une option souvent négligée : agrandir le fichier d’échange Windows à une taille gérée par le système. Cela évite certains plantages lors des pics mémoire. Enfin, désactiver temporairement les overlays et injecteurs visuels permet d’isoler un conflit.
- 🧯 Pagefile auto, antivirus en mode jeu, overlays off pendant les tests.
- 🔧 DDU en dernier recours pour réinstaller un pilote propre.
- 📊 Limiteur de FPS à 58–59 sur écran 60 Hz pour lisser la file de rendu.
Règle d’or : changer un paramètre à la fois et mesurer sur la même scène pour valider l’effet réel.
Procédure pas‑à‑pas d’optimisation avant la première partie
Une courte routine prépare idéalement le système et évite les mauvaises surprises du premier lancement. Elle s’applique à toute configuration, de l’ITX compact au grand tour ATX.
To‑do essentiel
- 🧿 Pilotes GPU récents, chipset à jour, BIOS récent (Asus/MSI/Gigabyte).
- 🧹 Démarrage minimal (MSConfig), désactivation des apps au boot non critiques.
- 📶 Mode Avion Off et réseau stable si DRM en ligne.
- 🧊 Courbe ventilateur équilibrée, poussière retirée, câbles rangés.
- 🔒 Paramètres de sécurité Windows OK, pas de blocage du dossier du jeu.
Pour des bases supplémentaires et des comparaisons utiles, ces références aident à situer son PC dans l’écosystème des exigences actuelles :
- 📚 Guide des configurations minimales PC
- 🛠️ Optimisations PC transverses
- 🕹️ Exemple d’exigences d’un jeu d’ambiance
- 🧭 Spécifications proches d’un AAA atmosphérique
- 🎯 Comparatif avec un portage exigeant
- 🧪 Étude d’une config « Peak »
- 📰 Actualités techniques connexes
- ⚙️ Approche performances sur titres récents
- 🐉 Cas d’étude d’un portage action
À l’issue de cette préparation, la majorité des systèmes atteignent la cible 60–120 FPS selon la résolution, avec une image nette et cohérente.
Comparatif laptop vs desktop pour Keeper : mobilité, puissance et longévité
Les laptops gaming ont beaucoup progressé, mais la gestion thermique reste leur talon d’Achille. Un PC de bureau avec un GPU milieu de gamme garde souvent de meilleures fréquences sur la durée, surtout dans un environnement chaud. En mobilité, un pad de refroidissement et un profil d’alimentation plafonné à 90 % du TGP stabilisent l’expérience.
Laptop : bonnes pratiques
- 🧊 Surélever l’arrière, pad ventilé, mode « performance » raisonnable.
- 🔌 Toujours jouer sur secteur, plan Windows « Performances élevées ».
- 🎛️ Préférer FSR/DLSS Balanced pour garder de la marge.
Sur une RTX 3060 Laptop, 1080p Élevé avec upscaler Balanced atteint généralement 60–80 FPS. L’Intel i7 H‑series épaulera le streaming de données et l’audio spatialisé sans saturation.
Desktop : marge d’évolution
- 🧱 Boîtier aéré Cooler Master ou Corsair, 3–4 ventilateurs.
- 🔧 Ajout simple de RAM/SSD, mise à jour GPU selon le marché.
- 📈 Undervolt et OC contrôlé pour optimiser bruit/perfs.
La possibilité de changer de GPU (Asus, MSI, Gigabyte custom) structure une évolution douce, au contraire d’un laptop soudé. Pour qui souhaite jouer en 1440p à moyen terme, le desktop conserve une valeur sûre.
Verdict pragmatique : le laptop rend service et reste viable à 1080p, le desktop gagne à la longue pour 1440p/4K.
Mesures de performance et méthode de test dans Keeper
Mesurer correctement évite les illusions. Un parcours de 3 à 5 minutes, mêlant zones sombres, sources lumineuses mobiles et plans larges, suffit à capturer la complexité du rendu. Un outil d’overlay (Afterburner + RivaTuner) permettra de suivre FPS, 1% Low et 0.1% Low pour évaluer la stabilité.
Routine de benchmark maison
- 🗺️ Repérer une zone représentative (intérieur sombre ➝ extérieur éclairé).
- ⏱️ Lancer 3 passes consécutives, garder la moyenne.
- 📉 Noter FPS moyens, 1% Low, température GPU/CPU, VRAM.
Les 1% Low inférieurs à 50 FPS indiquent des micro‑saccades perceptibles même si la moyenne est > 60. Dans ce cas, baisser l’occlusion, activer l’upscaler et limiter le FPS à 60 améliore souvent la sensation.
Recommandation finale de test : valider chaque modification par une run identique afin d’attribuer correctement le gain ou la perte observée.
Questions fréquentes sur Keeper sur PC
Quelle carte graphique offre le meilleur rapport performance/prix pour 1080p Élevé ?
Une Nvidia RTX 3060 ou une AMD RX 6650 XT constitue un excellent palier. Avec DLSS/FSR Balanced, 90 FPS sont accessibles dans la majorité des scènes.
16 Go de RAM suffisent-ils pour Keeper et le multitâche léger ?
Oui, 16 Go en dual channel restent suffisants pour jouer et garder un navigateur léger ouvert. Pour du streaming/édition, 32 Go apportent du confort.
Faut-il activer la V‑Sync si l’écran est FreeSync/G‑Sync ?
Non, il est préférable de laisser la V‑Sync désactivée et d’utiliser un limiteur de FPS avec VRR pour minimiser la latence et lisser la fluidité.
Un SSD NVMe change-t-il réellement la donne ?
Oui. Au‑delà des chargements plus courts, les transitions et la compilation de shaders sont plus régulières, réduisant les micro‑saccades.
Des périphériques haut de gamme (Razer/Logitech) améliorent-ils l’expérience ?
La précision et la latence des entrées s’en ressentent, surtout avec un écran 120–144 Hz. Ce n’est pas un prérequis, mais un vrai plus en confort et cohérence.