6 septembre 2025
découvrez comment optimiser votre pc et ajuster vos réglages pour profiter pleinement de l'expérience thriller cyberpunk avec la directive 8020. guide complet pour une configuration idéale et des conseils de personnalisation.

Directive 8020 : Configuration PC requise et réglages optimaux pour ce thriller cyberpunk

Entre esthétique cyberpunk et tension narrative, Directive 8020 met la barre haut sur PC. Le jeu revendique un rendu néon dense, des foules crédibles et un éclairage avancé qui sollicitent CPU et GPU au même titre que les meilleures vitrines techniques du genre. Pour éviter les à-coups et tenir les 60 i/s, la configuration matérielle, les pilotes et les réglages graphiques doivent être pensés ensemble. Ce guide rassemble les exigences officielles, des repères réalistes par résolution, et des méthodes d’optimisation éprouvées, que l’objectif soit le 1080p compétitif, le 1440p équilibré ou la 4K cinématographique. Des exemples concrets accompagnent chaque recommandation, avec un fil conducteur autour d’un profil de joueuse, Inès, qui passe d’un PC milieu de gamme à une machine calibrée pour le ray tracing sans sacrifier la stabilité. Les marques et technologies clés sont contextualisées, de Nvidia DLSS à AMD FSR, en passant par les SSD NVMe Samsung et la RAM Corsair, pour guider un achat ou un réglage pertinent.

Niveau ⚙️OS 🖥️Processeur 🧠Carte graphique 🎮RAM 🧩Stockage 💾Cible 📊Notes 📝
MinimumWindows 10/11 64-bitIntel Core i5-8400 / AMD Ryzen 5 1600GeForce RTX 2070 SUPER / Radeon RX 570016 Go70 Go SSD1080p Bas ~30 i/sDirectX 12 requis, clavier/souris
RecommandéWindows 10/11 64-bitCore i7-12700 / Ryzen 7 7800X3DGeForce RTX 3070 / Radeon RX 680016–32 Go70 Go SSD1080p Élevé ~60 i/sMise à jour pilotes Nvidia/AMD 🎯
Ultra 4KWindows 11 64-bitCore i9-12900 / Ryzen 9 7900XGeForce RTX 3080 / Radeon RX 7900 XTX20–32 Go70 Go NVMe2160p Ultra ~60 i/sVRAM 12 Go+, SSD NVMe conseillé 🚀
RT MinimumWindows 10/11 64-bitCore i7-9700 / Ryzen 5 5600RTX 2060 / Radeon RX 6800 XT / Arc A75016 Go70 Go SSD1080p RT Bas ~30 i/sActiver DLSS/FSR/XeSS ⚡
RT RecommandéWindows 11 64-bitCore i9-12900 / Ryzen 9 7900XRTX 3080 Ti / RX 7900 XTX20–24 Go70 Go NVMe1080p RT Ultra ~60 i/sDLSS/FSR + Frame Generation si dispo 🧪
RT OverdriveWindows 11 64-bitCore i9-12900 / Ryzen 9 7900XRTX 408024 Go70 Go NVMe2160p RT Overdrive ~60 i/sDLSS 3 Frame Gen activé 🔥

Configuration système requise pour Directive 8020 : vérification du PC et compatibilité DirectX 12

Avant de lancer Directive 8020, la priorité consiste à valider la compatibilité matérielle avec Windows 10/11 64-bit et l’API DirectX 12. Le moteur du jeu s’appuie sur de lourds calculs d’éclairage et une simulation urbaine gourmande en threads, ce qui exige un CPU 6 cœurs au minimum et un GPU moderne avec 8 Go de VRAM de préférence. L’espace disque demandé, 70 Go, élimine de fait le HDD classique : un SSD est indispensable pour éviter les micro-pauses lors du streaming de textures et des déplacements rapides.

La base réaliste pour un démarrage serein repose sur un Intel Core i5-8400 ou un AMD Ryzen 5 1600, associés à une GeForce RTX 2070 SUPER ou une Radeon RX 5700. Cette combinaison ouvre la porte à un 1080p en qualité basse à intermédiaire, avec un objectif de 30 i/s stabilisés. Pour atteindre un rendu élevé à 60 i/s, une montée vers un Core i7-12700 ou un Ryzen 7 7800X3D couplé à une RTX 3070 améliore significativement la marge.

Un diagnostic initial simple évite des soirées de réglages hasardeux. L’outil DxDiag confirme la présence de DirectX 12, tandis que le panneau de contrôle Nvidia ou AMD vérifie la version de pilote. L’activation du Resizable BAR (Carte mère ASUS, MSI, Gigabyte) apporte un gain notable de bande passante entre CPU et GPU, surtout en 1440p et 4K.

Pour illustrer, Inès disposait d’un PC basé sur un Core i5 hexacœur et une RTX 2060. Après une mise à jour vers une RTX 3070, l’activation de la BAR redresse les performances en 1440p de 8 à 12 %, lissant les marchés de nuit où les foules et l’éclairage volumétrique saturent la carte. Le passage à 16 Go de RAM en double canal et l’installation du jeu sur un SSD NVMe réduisent aussi les pics de latence.

  • ✅ Vérifier DX12 avec DxDiag et mettre à jour Windows 🧩
  • 🔧 Installer les derniers pilotes Nvidia/AMD et activer Resizable BAR 🚀
  • 💾 Prévoir 70 Go libres sur un SSD (NVMe recommandé) 📦
  • 🧠 Viser 16–32 Go de RAM en dual-channel pour la stabilité 🧠
  • 🧪 Lancer un test de charge (MSI Afterburner) pour repérer les goulots d’étranglement 📈

En synthèse, une plateforme correctement mise à jour et réglée sous DirectX 12 garantit la stabilité de base, base indispensable avant toute optimisation avancée.

Processeur et multithreading : dimensionner Intel et AMD pour un monde urbain dense

Le processeur pilote l’IA de la foule, le streaming d’assets et la physique légère. Dans Directive 8020, la charge CPU grimpe lors des scènes de poursuite ou des places bondées, où chaque entité calcule trajectoires et animations. Un 6 cœurs/12 threads constitue le plancher recommandable ; néanmoins, les architectures modernes mixtes (P-cores/E-cores d’Intel 12e–14e génération) ou les caches généreux des AMD X3D adoucissent les creux de performances.

Un Core i5-12400F suffit pour un 1080p élevé si le GPU suit. Le bond vers un Core i7-12700 avec E-cores actifs stabilise la ligne des 60 i/s quand l’occupation CPU dépasse 80 %. Côté rouge, un Ryzen 5 5600 tient la route, mais un Ryzen 7 5800X3D ou 7800X3D ajoute une réserve appréciable grâce à son cache massif, utile dans les carrefours très fréquentés.

La gestion d’affinité sous Windows 11 peut faire la différence. Un plan d’alimentation « Performances élevées » évite l’hibernation agressive des E-cores, tandis que le Game Mode limite les interruptions. Les cartes mères ASUS, MSI et Gigabyte proposent des BIOS avec options de CPPC et de Thread Director (Intel), qui orientent les threads critiques vers les P-cores, gage d’une latence minimale.

Lorsque l’overlay montre un CPU plafonné et un GPU à 70 %, l’optimisation passe par une réduction de densité de foule ou des ombres, qui sont souvent liées aux calculs CPU. Une alternative consiste à viser 50–90 i/s avec G-Sync/FreeSync, moins strict que des 120 i/s constants, réduisant la pression processeur tout en conservant une fluidité perçue.

  • 🧠 6C/12T minimum, idéalement 8C/16T pour les hubs urbains 🏙️
  • ⚙️ Activer Game Mode et vérifier l’affectation des threads sous Windows 11 🔍
  • 🔄 Mettre à jour le BIOS (ASUS/MSI/Gigabyte) pour le Resizable BAR et CPPC 🧭
  • 🎯 Ajuster la densité de foule si le CPU est le goulot, pas le GPU 📉
  • 🧊 Prévoir un refroidissement sérieux pour éviter le thermal throttling ❄️

En bref, la marge CPU détermine la constance des images, condition essentielle pour les scènes complexes que le thriller cyberpunk affectionne.

Cartes graphiques Nvidia, AMD et Intel Arc : choisir le bon palier 1080p/1440p/4K

Le GPU reste le moteur de l’expérience visuelle dans Directive 8020. À 1080p, un niveau RTX 2070 SUPER ou RX 5700 atteint les 60 i/s sur préréglage moyen/élevé avec un post-traitement soigné. Pour du 1080p élevé stable avec RT léger, une RTX 3070 offre une marge confortable, surtout en combinant DLSS Qualité. En 1440p, le palier optimal se situe autour des RTX 3080 et RX 6900 XT/7900 XT, tandis qu’en 4K, une RTX 3080/4080 ou une RX 7900 XTX devient la norme si l’objectif est 60 i/s.

Les architectures récentes tirent parti de techniques d’upscaling. Nvidia DLSS 2/3, AMD FSR 2/3 et Intel XeSS modulent la résolution interne pour maintenir la fluidité, un atout quand l’éclairage volumétrique et les réflexions alourdissent le pipeline. Les cartes Nvidia de série 40 déverrouillent la Frame Generation, ce qui se combine parfaitement avec l’anti-crénelage temporel du jeu.

Le besoin en VRAM grimpe avec les textures haute définition. 8 Go fonctionnent en 1080p, mais 12 Go assurent un 1440p durable, surtout avec un RT activé. Le suivi de la mémoire via l’overlay (MSI Afterburner) évite les swaps disques coûteux. Attention aux scènes de pluie, plus lourdes en particules et reflets.

  • 🎮 1080p élevé: RTX 3070 ou RX 6700 XT
  • 🖼️ 1440p ultra: RTX 3080 ou RX 7900 XT 🏁
  • 🧪 4K ciné sans RT: RTX 3080/4080 ou RX 7900 XTX 🎬
  • 🔦 RT jouable: démarrer au niveau RTX 3080 Ti / RX 7900 XTX
  • 🧠 VRAM 12 Go+ recommandée en 1440p/4K avec textures élevées 📦

En définitive, le bon GPU se choisit d’abord par résolution-cible et tolérance au RT, puis par l’écosystème d’upscaling préféré.

RAM et stockage NVMe : 16 Go minimum, 32 Go idéal, 70 Go à dédier au SSD

Directive 8020 aime la mémoire. Entre les textures haute définition, les caches d’ombres et la simulation urbaine, 16 Go de RAM constituent un point de départ, mais 32 Go offrent une respiration utile sur les préréglages élevés et le 1440p. Le dual-channel est impératif : deux barrettes Corsair ou équivalent garantissent la bande passante nécessaire au flux de données du moteur.

Côté stockage, le jeu impose 70 Go, et les chargements profitent nettement d’un SSD NVMe. Un modèle Samsung 980/990 Pro ou un Gigabyte AORUS Gen4 soutient des vitesses séquentielles élevées et, surtout, un accès aléatoire rapide, crucial pour les transitions d’intérieur/extérieur et les voyages rapides. Éviter les HDD supprime les micro-saccades liées aux files d’attente d’I/O.

La configuration d’Inès illustre bien ce point : après passage de 16 à 32 Go (DDR4 3200), les fluctuations d’images lors des cinématiques ont diminué, tandis que la migration du jeu d’un SSD SATA vers un NVMe a raccourci de moitié les chargements. Le shader cache étant volumineux, prévoir un espace libre supplémentaire est prudent.

  • 💡 16 Go suffisent, 32 Go mieux pour 1440p/RT 🔋
  • 🚀 NVMe (Samsung/Gigabyte) recommandé pour le streaming d’assets 📚
  • 🧩 Dual-channel obligatoire, optimiser les timings mémoire 🕒
  • 🧼 Nettoyer le cache et laisser 15 % d’espace libre sur le SSD 🧽
  • 🔐 Activer HAGS/Resizable BAR pour mieux alimenter le GPU 🪛

Au final, un couple RAM généreuse et SSD NVMe robuste constitue l’assurance anti-stutter la plus efficace sans toucher aux réglages visuels.

Réglages graphiques optimaux pour Directive 8020 : méthode de calibration pas à pas

Un réglage méticuleux apporte souvent plus que l’ajout de 100 MHz au GPU. La méthode consiste à fixer une cible (ex. 60 i/s) puis à équilibrer les options les plus coûteuses : ombres, réflexion, occlusion ambiante, densité de foule, qualité des transparences. Désactiver le flou de mouvement et l’aberration chromatique rehausse la clarté sans impact sur les performances, un choix logique pour les scènes d’action nocturnes.

Commencer par un préréglage Élevé puis baisser les options dominantes permet d’approcher l’objectif avec une image cohérente. L’éclairage volumétrique et la distance d’affichage des lumières ont un poids spécifique dans ce moteur, surtout près des marchés et enseignes. Les réflexions en plan écran (SSR) bénéficient d’une réduction d’un cran pour supprimer des pics GPU dans les avenues mouillées.

Option 🔧Impact moyen 🧮Recommandation 🎯
OmbresÉlevé (CPU+GPU)Moyen en 1080p, Élevé en 1440p+
Éclairage volumétriqueTrès élevé (GPU)Baisser d’1 cran, garder la qualité globale
Réflexions SSRÉlevé (GPU)Moyen si RT désactivé
Densité de fouleÉlevé (CPU)Réduire d’un cran si CPU limite
TexturesMoyen (VRAM)Élevé avec 12 Go VRAM

Appliquer un upscaler en mode Qualité (DLSS/FSR/XeSS) conserve la netteté tout en stabilisant la cadence. Pour un écran G-Sync ou FreeSync, verrouiller la limite d’images 3–4 i/s sous le taux maximal de rafraîchissement assure une marge électronique à l’overdrive du moniteur. Un frame cap stable réduit l’oscillation de la file d’attente de rendu, soulageant le GPU.

  • 🧭 Fixer une cible (ex. 60 i/s) et itérer sur 3 options coûteuses 🔁
  • 🧼 Désactiver flou de mouvement et aberration chromatique pour la lisibilité 👀
  • 🧪 DLSS/FSR/XeSS en Qualité avant de toucher à la résolution 🧯
  • 🧱 Limiter la fréquence d’images pour la cohérence sur écran VRR 🧷
  • 📊 Vérifier l’utilisation CPU/GPU en parallèle pour isoler le goulot d’étranglement 🔍

Démo vidéo: profils 1080p/1440p prêts à l’emploi

Une recherche ciblée permet d’observer en conditions réelles l’impact de chaque curseur.

Après avoir visionné un comparatif, ajuster les options en gardant une cohérence d’image évite les artefacts visuels fréquents sur les reflets et les lumières volumétriques.

Ray tracing, DLSS/FSR/XeSS et Frame Generation : quand activer les technologies avancées

Le ray tracing sublime l’ambiance nocturne de Directive 8020, mais il se monnaie en temps de calcul. En RT faible, la priorité va aux ombres et aux réflexions de base ; en RT ultra, les rebonds supplémentaires modèlent les enseignes et intérieurs avec une précision remarquable. Pour un 1080p à 60 i/s en RT, le binôme RTX 3080 Ti et DLSS Qualité/Balancé fait sens. Côté AMD, une RX 7900 XTX reste à l’aise en 1080p/1440p RT avec FSR 2/3 activé.

La Frame Generation change l’équation sur les cartes Nvidia série 40 et sur certaines implémentations FSR 3. En doublant virtuellement la cadence, elle adoucit les mouvements de caméra et les traversées rapides ; en contrepartie, la latence d’entrée augmente. Un Reflex activé sur GPU Nvidia compense en partie, surtout avec une souris Razer à 1000 Hz et une limite d’images contrôlée.

Les contraintes CPU ne disparaissent pas avec ces technologies. Si le processeur sature, la Frame Gen n’évitera pas les arrêts. Le bon ordre est : stabiliser le CPU, régler la qualité native, activer l’upscaler, puis la génération d’images en dernier ressort pour lisser l’expérience.

  • 🔦 RT « Faible » + DLSS/FSR Qualité = bon compromis visuel ⚖️
  • Frame Generation utile au-dessus de 50 i/s natifs pour limiter l’input lag 🕹️
  • 🛡️ Activer Nvidia Reflex et limiter les i/s pour stabiliser la latence ⏱️
  • 🧪 Sur Intel Arc, privilégier XeSS et pilotes à jour pour RT 🧬
  • 🔍 Surveiller VRAM et chauffes en RT, coûts multipliés en 4K 🌡️

Comparatifs en conditions réelles : RT vs SSR, DLSS vs FSR

Observer le rendu en mouvement éclaire le choix entre SSR soigné et RT activé. Le néon, les flaques et la densité de signalétique typiques du cyberpunk rendent l’écart particulièrement visible.

En synthèse, le RT se réserve aux GPU haut de gamme couplés à un upscaler, tandis que la Frame Generation sert à lisser au-delà de la cible sans masquer un déficit structurel CPU/GPU.

Refroidissement, alimentation et stabilité : garder le silence sans écraser les fréquences

Les charges de longue durée de Directive 8020 révèlent leurs exigences thermiques au bout de 20–30 minutes. Un boîtier ventilé, une courbe de ventilateurs adaptée et une alimentation fiable évitent la baisse de fréquence sous contrainte. Les alimentations Corsair (RM750e, RM850x) et Gigabyte (UD850GM) fournissent une réserve confortable pour des GPU affamés, tandis qu’un ventirad de 150 mm ou un AIO 240/360 mm maintient un Intel ou un AMD moderne à bonne température.

Le power limit du GPU constitue un levier : une réduction de 10–15 % peut diminuer la consommation de 30–40 W pour une perte d’à peine 2–3 i/s, utile dans les nuits d’été. L’undervolt guide la carte vers une tension plus basse au même boost, opération courante sur les MSI Gaming Trio ou ASUS TUF. Un contrôle via MSI Afterburner ou l’outil du constructeur encadre ces changements.

La poussière reste l’ennemie invisible. Un dépoussiérage trimestriel, un filtre nettoyé et un repositionnement des câbles améliorent la pression d’air. Les boîtiers modernes d’Alienware ou d’ASUS ROG proposent des flux frontaux généreux, ce qui profite aux sessions longues.

  • ❄️ Viser 70–75 °C GPU et 80–85 °C CPU max en charge 🧊
  • 🔌 Prévoir une alimentation 750–850 W pour une config RT haut de gamme ⚡
  • 🌀 Courbe ventilateurs progressive pour éviter l’effet yoyo sonore 📈
  • 🧽 Nettoyage filtres et gestion câbles pour un flux d’air libre 🧹
  • 🧰 Undervolt léger pour un ratio perf/watt optimal 🛠️

Résultat : un PC qui respire maintient ses fréquences, garantissant un framerate stable et un bruit contenu, parfait pour l’immersion nocturne.

PC portables gaming et écrans : ASUS, MSI, Alienware et la pertinence du VRR

Le jeu sur portable impose des compromis. Un châssis ASUS ROG, MSI ou Alienware avec GPU mobile (RTX 4070/4080 Laptop) tient le 1440p en élevé si le TGP est généreux. La gestion thermique et la qualité du refroidissement dictent souvent le plafond, davantage que la puce elle-même. Un mode « Performance » et une plaque de ventilation aident à stabiliser la cadence.

Les écrans méritent une réflexion spécifique. Un 1080p 144–165 Hz avec FreeSync ou G-Sync Compatibles offre une perception de fluidité supérieure aux 60 Hz stricts, même si la moyenne tourne autour de 70–90 i/s. En 4K, un Samsung Odyssey 120–144 Hz sublime le néon et la densité urbaine ; néanmoins, la limite GPU sera tangible avec RT activé.

Les claviers et souris influencent aussi la constance. Une souris Razer à 1000 Hz et un clavier mécanique à activation rapide réduisent l’input lag, particulièrement visible quand la Frame Generation est active. L’audio spatialisé (système compatible Dolby Atmos) renforce l’ambiance des ruelles, rendant la provenance d’un drone ou d’une alarme évidente.

  • 💼 Portables: chercher un TGP élevé et un mode refroidissement agressif 🧊
  • 🖥️ 1080p 144 Hz VRR > 4K 60 Hz si l’objectif est la réactivité ⚖️
  • 🎧 Dolby Atmos recommandé pour la verticalité sonore 🛰️
  • 🖱️ Périphériques Razer / autres 1000 Hz pour une réponse nette 🏹
  • 🧯 Throttle check: surveiller fréquences CPU/GPU en session longue 📉

Résumé pratique : viser un écran VRR de qualité et un châssis bien ventilé rend l’expérience sur portable étonnamment proche d’un PC fixe bien réglé.

Dépannage rapide : pilotes, shaders, réseau et paramètres Windows à ne pas oublier

Même une configuration puissante peut trébucher si la couche logicielle n’est pas carrée. Le premier réflexe consiste à mettre à jour les pilotes Nvidia/AMD via GeForce Experience ou Adrenalin, puis à vider/reconstruire le shader cache du jeu après un gros patch. Les outils de monitoring aident à détecter les goulots : si le GPU reste sous 80 % alors que le CPU plafonne, viser les options côté CPU ou réduire la densité de foule.

Windows 11 offre des leviers utiles. Le Game Mode, HAGS et l’activation du Resizable BAR au BIOS couplé à un pilote chipset à jour (Intel/AMD) stabilisent les communications internes. Sur certaines configurations, désactiver les overlays concurrents limite les conflits d’API. Côté réseau, privilégier une connexion filaire pour la synchronisation des services en arrière-plan.

Inès a résolu un stutter récurrent en déplaçant le jeu d’un SSD saturé à un NVMe rapide et en désinstallant une surcouche RGB intrusive. Les services de ventilation de cartes MSI ou ASUS doivent être réglés pour ne pas monopoliser le CPU lorsqu’ils scrutent trop finement les capteurs.

  • 🧭 Pilotes Nvidia/AMD + chipset à jour = base saine 🧱
  • 🗂️ Recompiler le cache shader après mise à jour majeure 🧪
  • ⚙️ Désactiver overlays multiples et limiter les apps en arrière-plan 📴
  • 🔌 Connexion Ethernet pour éviter les pics de latence réseau 🌐
  • 🧰 Vérifier l’intégrité des fichiers de jeu en cas de crash répété 🧯

Dernier conseil : tenir une liste de contrôle et appliquer les changements un par un pour attribuer les gains ou les régressions sans ambiguïté.

Checklist de performance par scène

Trois scènes typiques mettent en évidence des profils différents : carrefour bondé (CPU), ruelle humide nocturne (GPU/RT), plan intérieur avec particules (mémoire/VRAM). Planifier des points de test évite les conclusions hâtives.

Exemples de configurations complètes par budget et écosystème

Assembler une configuration cohérente simplifie la maintenance et les mises à jour. Voici trois profils représentatifs qui alignent CPU, GPU, RAM et stockage autour d’un objectif clair, le tout en restant attentif à la qualité d’alimentation et de refroidissement.

Le profil « Équilibré 1080p60 RT allégé » combine un Core i5-12400F avec une RTX 3070, 16 Go de RAM Corsair et un SSD Samsung NVMe de 1 To. L’objectif est d’activer un RT discret et d’utiliser DLSS en Qualité. La carte mère MSI B660 et une alimentation Corsair 750 W sécurisent la marge d’évolution.

Le profil « 1440p Élevé 90 i/s » se construit autour d’un Ryzen 7 7800X3D et d’une RX 7900 XT avec 32 Go de RAM, boîtier ventilé ASUS et SSD Gigabyte Gen4. L’objectif est un framerate élevé sur écran VRR 165 Hz, en gardant SSR propres et options volumétriques solides, avec FSR en mode Qualité pour la constance.

Le profil « 4K Ultra/RT » repose sur un Core i9-12900 ou un Ryzen 9 7900X, une RTX 4080, 32 Go de RAM et un SSD NVMe 2 To Samsung. Le RT s’active en Ultra avec DLSS 3 et Reflex. L’alimentation Gigabyte 850 W ou Corsair 850 W et un AIO 360 assurent la stabilité thermique et électrique.

  • 🧩 1080p60: i5-12400F + RTX 3070 + 16 Go + NVMe 1 To ✅
  • 🏁 1440p90: 7800X3D + RX 7900 XT + 32 Go + NVMe Gen4 ⚡
  • 🎬 4K/RT: i9-12900/7900X + RTX 4080 + 32 Go + NVMe 2 To 🔥
  • 🔌 PSU 750–850 W (Corsair/Gigabyte) selon GPU 🎛️
  • 🧊 Refroidissement adapté (AIO 240/360) et boîtier ventilé 🌀

Des marques comme ASUS, MSI, Alienware, Nvidia, AMD, Gigabyte, Corsair, Razer et Samsung structurent l’écosystème, facilitant les choix et la compatibilité.

Exemple en vidéo : de la théorie au terrain

Comparer un 1080p DLSS Qualité face à un 1440p natif permet d’estimer la valeur des upscalers selon l’écran.

Avec ce cadre, les évolutions futures se planifient sans se tromper de goulet.

Ressources complémentaires

Pour des profils prêts à l’emploi, un moteur de recherche ciblé sur « PC build Directive 8020 RTX 3070 » ou « 7800X3D 1440p settings » renvoie vers des configurations détaillées et comparatifs pertinents.

Questions fréquentes

Faut-il absolument 32 Go de RAM pour jouer confortablement ?
Pas obligatoirement. 16 Go suffisent pour 1080p/Élevé sans RT. En 1440p, 32 Go ajoutent une marge utile pour les textures et le cache, surtout avec RT ou multitâche.

Une RTX 2060 est-elle suffisante pour le ray tracing ?
Pour un RT faible en 1080p avec DLSS activé, oui, mais une RTX 3070 ou mieux améliore la constance. Viser 60 i/s suppose des compromis visuels.

Le jeu tourne-t-il sur HDD ?
Techniquement, les développeurs recommandent un SSD et arrêtent le support HDD pour de bonnes raisons. Le HDD introduit des saccades lors du streaming d’assets et allonge les chargements.

Quel écran choisir : 1440p 165 Hz ou 4K 60 Hz ?
Pour la réactivité, un 1440p 165 Hz VRR procure une sensation plus fluide. Pour l’esthétique pure et le RT, le 4K 120 Hz est idéal si le GPU suit, tel un RTX 4080 ou RX 7900 XTX.

DLSS, FSR ou XeSS : lequel privilégier ?
DLSS sur GPU Nvidia RTX, FSR sur cartes AMD et XeSS sur Intel Arc. Le choix pratique dépend du GPU et de la qualité d’image recherchée en mode Qualité.

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Clara

Passionnée par les univers vidéoludiques depuis l'enfance, je partage aujourd'hui mes découvertes, analyses et coups de cœur en tant que journaliste jeux vidéo. Toujours prête à tester les dernières nouveautés ou à explorer les pépites indépendantes, je mets un point d'honneur à transmettre ma curiosité et mon enthousiasme aux lecteurs.

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