2 septembre 2025
Config minimum The Last of Us Part II Remastered : Découvrez si votre PC est à la hauteur !

Config minimum The Last of Us Part II Remastered : Découvrez si votre PC est à la hauteur !

Le portage PC de The Last of Us Part II Remastered suscite une question simple et décisive : la machine installée à la maison est‑elle prête pour l’odyssée de Seattle ? Héritier d’un pedigree PlayStation signé Naughty Dog et édité par Sony Interactive Entertainment, ce titre exige une base solide, mais pas forcément hors de prix. Les configurations actuelles sous Windows 10/11, équipées d’un couple CPU/GPU de milieu de gamme et d’un stockage rapide, peuvent offrir une expérience fluide si l’optimisation est menée avec méthode. L’objectif est donc double : lire clairement les exigences matérielles et apprendre à les confronter à la réalité de son PC, sans se perdre dans les acronymes.

Au programme : les spécifications minimales et recommandées expliquées sans jargon, des pas-à-pas pour contrôler chaque composant, des cas pratiques pour se situer en un clin d’œil, et des réglages concrets pour gagner des images par seconde. La mise à niveau n’est pas toujours nécessaire ; souvent, une simple mise à jour des pilotes NVIDIA GeForce ou AMD Radeon et le passage sur un Samsung SSD suffisent à transformer l’expérience. En fil rouge, un joueur fictif, “Hugo”, servira de repère : ses doutes sont ceux de beaucoup, et ses solutions seront les vôtres.

ÉlémentConfiguration minimaleConfiguration recommandée
Système d’exploitationWindows 10 64 bits (1909+) ou Windows 11Windows 10/11 64 bits à jour
ProcesseurIntel Core i7‑8700 ou AMD Ryzen 5 3600Intel Core i5‑12600K ou AMD Ryzen 5 5600X
Carte graphiqueNVIDIA GeForce GTX 970 4 Go ou AMD Radeon RX 470 4 GoNVIDIA GeForce RTX 2060 Super / RTX 3060 ou AMD Radeon RX 6600 XT
Mémoire16 Go DDR4 (double canal conseillé)16-32 Go DDR4/DDR5 (double canal)
Stockage100 Go libres (SSD fortement recommandé)100 Go sur SSD NVMe (ex. Samsung SSD 980/990)
API graphiqueDirectX 12DirectX 12
ConnexionInternet pour mises à jour et DRMInternet haut débit pour patches et cloud
PériphériquesClavier/souris ou manette (compatibilité PlayStation DualSense possible en USB)Manette recommandée pour immersion

Configuration minimum The Last of Us Part II Remastered : exigences officielles et ce qu’elles impliquent

Les prérequis évoqués plus haut tracent un cadre clair. La base CPU, avec un Intel Core i7‑8700 ou un Ryzen 5 3600, garantit suffisamment de cœurs et de threads pour encaisser l’IA dense, la physique et la gestion de la foule. Ce n’est pas du luxe : le monde de Seattle met régulièrement le processeur à contribution, notamment dans les combats et séquences furtives riches en scripts. En pratique, un hexacœur moderne de milieu de gamme fournit l’élasticité nécessaire pour éviter les chutes brutales.

Côté GPU, l’objectif minimal — une NVIDIA GeForce GTX 970 ou une AMD Radeon RX 470 — fixe une barre d’entrée raisonnable pour jouer en 1080p à faible détail. Ces cartes de génération Pascal et Polaris restent capables si l’on accepte des ombres plus douces, une distance d’affichage raccourcie et des effets post-traitement modérés. L’élément décisif demeure la VRAM : 4 Go est un socle, mais 6 à 8 Go aident à stabiliser les scènes urbaines chargées de textures.

La mémoire vive participe à la fluidité autant que la carte graphique. Le seuil de 16 Go assainit l’expérience en réduisant les accès disque pour les données de textures et les shaders. Le dual channel (deux barrettes identiques) améliore la bande passante et se traduit par quelques FPS supplémentaires et moins de micro‑saccades, surtout sous Windows 11 où les services en arrière‑plan sont nombreux.

Un mot sur le stockage : un SSD n’est pas seulement un confort, c’est un accélérateur. Le premier lancement demande souvent une compilation de shaders ; sur un SSD NVMe — type Samsung SSD 980 ou 990 — l’opération est sensiblement plus courte et les transitions d’aires de jeu gagnent en nervosité. Sur HDD, la patience devient une seconde compétence, et les stutters lors du streaming de données peuvent entamer l’expérience.

La recommandation élève logiquement le GPU vers une NVIDIA GeForce RTX 2060 Super / 3060 ou une AMD Radeon RX 6600 XT. L’intérêt : activer des presets élevés en 1080p à 60 FPS, envisager l’upscaling (DLSS/FSR) et stabiliser les scènes nocturnes. Côté CPU, un Intel Core i5‑12600K ou un Ryzen 5 5600X assurent une marge confortable pour les scènes lourdes, avec des fréquences élevées et une meilleure efficacité par cœur.

Les technologies d’upscaling jouent un rôle d’équilibre. Sur GPU GeForce, le DLSS permet d’augmenter la qualité d’image sans effondrer le framerate. Sur Radeon, FSR 2.x reste une option robuste et compatible. Pour les iGPU ou machines modestes, l’upscaling “Performance” peut sauver une session, au prix d’un peu de netteté.

Pour se repérer à l’achat ou à la mise à niveau, quelques repères pratiques s’imposent.

  • 1080p/30 FPS, faible : GTX 970 / RX 470, CPU hexa‑cœur d’ancienne génération, 16 Go RAM, SSD SATA.
  • 1080p/60 FPS, élevé : RTX 3060 / RX 6600 XT, i5‑12600K / R5 5600X, SSD NVMe.
  • 1440p, élevé : RTX 3070 / RX 6700 XT, 32 Go RAM pour textures hautes.
  • 4K, qualité : RTX 4070/4080 ou RX 7800 XT/7900 XT, refroidissement soigné.

En somme, la “config minimum” est une porte d’entrée ; la “recommandée” offre un spectre d’options graphiques et une stabilité qui rendent justice à la réalisation Naughty Dog. Le cap devient alors la méthode pour vérifier et comparer, sujet du prochain volet.

Vérifier sa configuration sous Windows : méthodes fiables et rapides pour CPU, GPU, RAM et stockage

Avant de comparer, il faut identifier précisément les composants. Sous Windows, plusieurs outils internes et utilitaires gratuits donnent un portrait fidèle de la machine. L’idée n’est pas de devenir technicien, mais de réunir les bonnes informations : modèle de CPU, modèle de GPU, quantité de RAM, type de SSD et version de l’OS.

Contrôler CPU, RAM et version de Windows en 30 secondes

La voie la plus directe passe par les paramètres système. Une fois les étiquettes notées, la comparaison devient immédiate.

  1. Ouvrir Paramètres → Système → Informations système ; relever Processeur, Mémoire installée, Édition de Windows.
  2. Appuyer sur Win+Pause pour un accès rapide à ces mêmes informations.
  3. Dans Gestionnaire des tâches → Performances, vérifier l’utilisation et la vitesse de la RAM (idéalement en double canal).

Pour les processeurs, l’important est le nombre de cœurs/threads et la génération. Un Intel Core i7‑8700 (6c/12t) restera correct ; un i5‑12600K, avec ses cœurs Performance/Efficient modernes, proposera davantage de souffle en charge mixte.

Identifier la carte graphique et sa VRAM

La carte graphique dicte la plupart des réglages visuels. Savoir si l’on dispose de 4, 6, 8 ou 12 Go de VRAM change la manière d’aborder les textures et la résolution.

  1. Ouvrir l’outil DxDiag (Win+R → “dxdiag”) → Onglet Affichage ; noter le Nom du GPU et la mémoire dédiée.
  2. Dans le Panneau de configuration NVIDIA GeForce ou l’application AMD Adrenalin, afficher le modèle et la VRAM.
  3. Utiliser GPU‑Z (gratuit) pour des détails fins : bus mémoire, fréquences, support API.

Astuce : si un iGPU Intel apparaît en premier, forcer l’exécutable du jeu à utiliser le GPU dédié via “Paramètres graphiques” dans Windows ou via les panneaux NVIDIA/AMD.

Vérifier et tester le stockage

Le stockage influe sur les chargements, la compilation de shaders et le streaming des assets. Le passage à un SSD reste l’upgrade au meilleur rapport temps gagné/prix.

  • Dans Gestionnaire de périphériques → Lecteurs de disque, noter le modèle (ex. Samsung SSD 980).
  • Lancer CrystalDiskMark pour mesurer les vitesses ; un NVMe moderne dépasse 2 000 Mo/s en lecture séquentielle.
  • Éviter de jouer sur un HDD externe USB lent ; privilégier un emplacement interne ou un SSD USB‑C NVMe.

Mises à jour des pilotes et de Windows

Les pilotes graphiques conditionnent la compatibilité, les optimisations et la stabilité. Un saut de 10 à 20 % d’images par seconde n’est pas rare après un “Game Ready Driver”.

  • NVIDIA GeForce : GeForce Experience ou drivers “Studio/Game Ready” sur le site officiel.
  • AMD Radeon : suite Adrenalin, mise à jour en un clic et profils par jeu.
  • Windows Update : rechercher les mises à jour facultatives (pilotes) et activer le Mode Jeu.

La combinaison de ces vérifications met sur la table toutes les cartes : on sait ce que l’on a, il reste à voir comment cela se compare aux attentes du jeu.

Ces manipulations prennent moins de dix minutes et évitent des heures de tâtonnements à l’installation. Elles servent de socle au diagnostic qui suit.

Comparer sa machine aux exigences : cas pratiques, écarts types et décisions éclairées

Comparer des fiches techniques abstraites à un PC réel peut dérouter. Pour transformer la théorie en pratique, prenons “Hugo”, joueur régulier, et passons en revue trois configurations typiques afin d’illustrer les décisions à prendre. Objectif : décider de jouer tel quel, d’optimiser, ou d’upgrader.

PC A — Ancien milieu de gamme solide

Configuration : Intel Core i5‑9400F, NVIDIA GeForce GTX 1660 6 Go, 16 Go RAM, SSD SATA 500 Go, Windows 10. Verdict : la GTX 1660 dépasse la GTX 970 ; visuellement, 1080p “moyen” avec FSR sur “Qualité” paraît réaliste à 50–60 FPS. La limite vient de l’absence d’Hyper‑Threading et des presets lourds (ombres, SSR) à modérer. Un passage sur SSD NVMe n’est pas vital, mais réduit les temps de chargement.

  • À activer : V‑Sync adaptative ou limite à 60 FPS pour stabiliser.
  • À baisser : ombres, distance de feuillage, AO, SSR (réflexions écran).
  • À surveiller : VRAM (6 Go) ; textures “Élevé” restent possibles avec prudence.

PC B — Plateforme Ryzen populaire

Configuration : Ryzen 5 3600, AMD Radeon RX 5600 XT 6 Go, 16 Go RAM, Samsung SSD 980 NVMe, Windows 11. Verdict : match presque parfait avec la “minimale+”. Avec FSR 2 en “Qualité”, 1080p élevé cible 60 FPS sur la plupart des scènes. En zones denses, la cadence peut flirter avec 50 FPS ; un léger downscale (95 %) amorce la stabilité.

  • À activer : FSR 2 “Qualité”, cache shaders préchargé si option disponible.
  • À baisser en cas de pics : ombres de contact, volumétriques moyens.
  • À maintenir : pilotes Adrenalin à jour, SAM/Resizable BAR si supporté.

PC C — PC portable récent milieu de gamme

Configuration : Intel Core i7‑12700H, NVIDIA GeForce RTX 3060 Laptop 6 Go (80–115 W), 16 Go RAM simple canal, SSD NVMe, écran 144 Hz. Verdict : très capable, mais deux écueils fréquents : RAM en simple canal (baisse de perf CPU/iGPU) et profils d’alimentation limités. Forcer le mode “Performance”, brancher le chargeur, et si possible ajouter une seconde barrette RAM pour passer en dual channel.

  • À activer : mode haute performance, DLSS “Qualité”.
  • À corriger : RAM en dual channel si faisable.
  • À éviter : jouer sur batterie, leads à un GPU bridé.

Pour matérialiser la prise de décision, voici un pense‑bête qui croise symptômes et mesures correctives.

Signal d’alerteCauses probablesAction rapide
Stutters en explorationHDD, shaders non compilés, VRAM saturéePasser sur Samsung SSD, lancer précompilation, baisser textures
Chute à 40 FPS en combatCPU saturé, ombres trop hautesBaisser qualité des ombres, limiter à 60 FPS, désactiver apps en arrière‑plan
Crénelage visibleUpscaling agressifMonter l’upscale à “Qualité”, activer TAA
Temps de chargement longsStockage lentInstaller sur NVMe, vérifier espace libre (15 % mini)

Ce canevas montre que chaque goulot a son correctif prioritaire. Une stratégie ciblée l’emporte sur l’upgrade impulsif.

Un guide vidéo aide à visualiser l’impact de chaque option graphique, mais rien ne remplace quelques essais dirigés : deux ou trois curseurs bien choisis changent une soirée de jeu.

Optimiser sans changer de matériel : réglages graphiques, pilotes, et hygiène logicielle

Avant de penser “nouvelle carte graphique”, il y a une marge de manœuvre surprenante dans les réglages et l’écosystème logiciel. L’objectif est d’obtenir une stabilité de 1 % low propre (les pires 1 % d’images) autant qu’un framerate moyen élevé. Le jeu étant dense, l’expérience se joue sur la cohérence plus que sur des pics isolés.

Réglages à fort impact visuel pour faible coût de performance

Certaines options coûtent peu et embellissent beaucoup. À l’inverse, d’autres grèvent les FPS pour un gain minime. Savoir prioriser permet de rester proche de la recommandation tout en respectant la “minimale”.

  • Antialiasing : préférer TAA ; si DLSS/FSR actif, garder l’anti‑aliasing intégré.
  • Textures : lier au budget VRAM ; 6–8 Go permettent “Élevé”.
  • Ombres : passer de Ultra à Élevé/Normal libère souvent 10–15 % de perf.
  • Volumétriques/Fog : régler sur Moyen dans les scènes pluvieuses.
  • Reflets SSR : moyen ou off si GPU limité.
  • Upscaling : DLSS/FSR en “Qualité” comme défaut polyvalent.

Pilotes graphiques et options système

Chaque grande sortie voit arriver des pilotes optimisés. Installer les derniers drivers NVIDIA GeForce ou AMD Radeon peut corriger des crashs et optimiser des chemins de rendu spécifiques. Dans Windows, activer le Mode Jeu, désactiver l’overlay d’apps non essentielles et vérifier la planification GPU accélérée (HAGS) offre des gains modestes mais cumulatifs.

  • Drivers “Game Ready”/Adrenalin à jour, profil du jeu appliqué.
  • Plan d’alimentation “Performances élevées”.
  • Nettoyage du démarrage : Task Manager → Démarrage → désactiver le superflu.

Sur portable, brancher le chargeur, choisir le mode maximal dans l’utilitaire du constructeur et, si possible, forcer le GPU dédié pour l’exécutable du jeu évitent des baisses invisibles mais coûteuses.

Gestion des shaders et du stockage

Certains moteurs précompilent des shaders pour éviter les saccades en cours de partie. Laisser le processus se terminer la première fois, installer le jeu sur un SSD rapide (idéalement NVMe), et garder 15–20 % d’espace libre limitent les blocages. Un Samsung SSD 980/990 se distingue par des débits soutenus et une bonne endurance, utiles pour les patches fréquents.

  • Installer sur SSD NVMe si disponible.
  • Terminer la compilation de shaders avant de jouer.
  • Éviter les antivirus trop intrusifs pendant la session ; ajouter le dossier du jeu en exclusion.

Dernier levier, souvent oublié : verrouiller un objectif d’images par seconde. Viser 60 FPS stables plutôt que 75–90 fluctuants offre une sensation plus “propre” et aide le CPU/GPU à respirer, surtout dans les zones chargées de végétation et d’effets météo.

Un fil officiel ou une note de patch peut introduire des optimisations notables ; surveiller ces annonces garantit de profiter des correctifs dès leur disponibilité.

Que faire si la configuration est en dessous : priorités d’upgrade, budget et impacts réels en jeu

Tout le monde n’a pas une tour dernier cri. Bonne nouvelle : l’upgrade intelligent privilégie les percées tangibles au meilleur ratio euros/FPS. En se concentrant sur le goulot d’étranglement principal, “Hugo” peut transformer son expérience sans repartir à zéro.

Hiérarchie des gains : par quoi commencer ?

  • SSD d’abord : passer d’un HDD à un SSD — idéalement un NVMe type Samsung SSD 980/990 — change les temps de chargement, le caching et réduit les stutters liés au streaming. Coût modéré, gain massif en confort.
  • RAM ensuite : de 8 à 16 Go en double canal élimine les swaps disque. Viser 32 Go si l’on streame ou garde de nombreuses apps ouvertes.
  • GPU après : de GTX 970 → GTX 1660 Super / RTX 3060 ou de RX 470 → RX 6600 apporte le plus gros gain de FPS bruts et de VRAM.
  • CPU en dernier : passer d’un quad‑cœur ancien à un Intel Core i5‑12400F / Ryzen 5 5600 débloque la stabilité des 1 % low.

Impacts concrets si l’on reste sous la barre

Rester en dessous des prérequis n’empêche pas toujours de lancer le jeu, mais la facture peut être salée : micro‑saccades à chaque nouvelle zone, textures qui poppent, et parfois crashs au chargement de niveaux. Une VRAM trop petite (3–4 Go) impose des textures basses, sinon la carte jongle en permanence. Un CPU saturé se manifeste par des chutes lourdes en combat et des menus qui laguent. Un stockage lent allonge la compilation des shaders et les temps de chargement, voire bloque le streaming d’assets en pleine action.

Budgets types et parcours d’évolution

Pour un budget contenu, miser sur un duo SSD + RAM remet une machine sur les rails pour de nombreux jeux récents, pas seulement celui‑ci. Un orçamento intermédiaire sollicite le GPU, où une NVIDIA GeForce RTX 3060 ou une AMD Radeon RX 6600 offre une marche décisive vers le 1080p/60 en élevé. Enfin, renouveler le CPU et la carte mère s’envisage seulement si l’on constate un goulot persistant malgré un GPU frais.

  • Pack “confort” : 1 To NVMe + 16 Go RAM ≈ transformation immédiate du quotidien.
  • Pack “FPS” : GPU milieu de gamme récent + optimisation logicielle.
  • Pack “avenir” : CPU moderne + DDR5 + NVMe Gen4 si la plateforme est ancienne.

Au fil des upgrades, ne pas négliger l’alimentation et la ventilation. Une carte plus puissante réclame des connecteurs adéquats et un boîtier qui respire. L’objectif final n’est pas d’atteindre des records synthétiques, mais de jouer longtemps et sans heurts, avec un bruit contenu et des températures maîtrisées. Une règle simple guide chaque décision : viser un équilibre CPU/GPU/stockage cohérent avec la cible 1080p/60.

Préparez votre terrain, calibrez vos attentes, mettez vos pilotes à jour : Seattle n’attend que votre touche “Jouer”.

Comment vérifier si ma carte graphique supporte DirectX 12 et l’upscaling (DLSS/FSR) ?

Ouvrez “dxdiag” et vérifiez l’onglet Affichage pour l’API prise en charge. Pour DLSS, une NVIDIA GeForce RTX est requise. Pour FSR, la plupart des cartes, y compris de nombreuses AMD Radeon et même des GPU plus anciens, sont compatibles. Le menu du jeu indiquera les options disponibles selon votre matériel.

Faut‑il absolument un SSD NVMe pour jouer correctement ?

Le jeu fonctionne sur SSD SATA, mais un NVMe réduit la compilation des shaders et l’hésitation lors du streaming d’assets. Un Samsung SSD 980/990 apporte des débits soutenus et une bonne réactivité ; c’est un confort qui se ressent à chaque session.

16 Go de RAM suffisent‑ils pour The Last of Us Part II Remastered ?

Oui pour un usage standard en 1080p, à condition d’être en double canal. Si vous streamez, laissez des onglets/logiciels ouverts, ou visez des textures élevées en 1440p, passer à 32 Go stabilise les 1 % low et la réactivité globale.

Les manettes PlayStation sont‑elles reconnues nativement sur PC ?

La DualSense peut fonctionner en USB, parfois avec des fonctionnalités étendues selon le support du jeu et du launcher. Les vibrations et gâchettes adaptatives dépendent de l’intégration PC, qui varie titre par titre ; consultez les notes de Sony Interactive Entertainment.

Le jeu plantera‑t‑il si ma configuration est inférieure au minimum ?

Il peut se lancer, mais attendez‑vous à des performances instables, des temps de chargement longs et des crashs potentiels. Abaissez les presets, activez l’upscaling et privilégiez l’installation sur SSD ; si cela reste insuffisant, un upgrade ciblé GPU ou RAM s’impose.

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Clara

Passionnée par les univers vidéoludiques depuis l'enfance, je partage aujourd'hui mes découvertes, analyses et coups de cœur en tant que journaliste jeux vidéo. Toujours prête à tester les dernières nouveautés ou à explorer les pépites indépendantes, je mets un point d'honneur à transmettre ma curiosité et mon enthousiasme aux lecteurs.

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